[AV/T] Majima Sayaka - civile
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[AV/T] Majima Sayaka - civile

Majima Sayaka
Civil
Majima Sayaka
Surnom : Sorcière des Souvenirs
Profession : Étudiant au collège
Rang : C
Points d'expérience : 5455
Renommée : 42
Alignement : Bienfaitrice
[AV/T] Majima Sayaka - civile || Lun 23 Juil - 20:32

Majima Sayaka




NOM & PRÉNOM : Majima Sayaka
ÂGE : 12 ans (née en 289)
SURNOM : /
ANNÉE : 1ère année (collège)
RANG : C
ALIGNEMENT : Neutre Bon (bienfaitrice)
ALTER : Manipule-Mémoire permet d'accéder aux souvenirs d'autrui et de les falsifier (lien).
AVATAR : Hinazuki Kayo - Boku dake ga inai machi (Erased)
[AV/T] Majima Sayaka - civile  18072308333145412

Origines


Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?
La petiote résumerait ainsi son vécu empli d’amertume, un enfer pavé de bonnes intentions, où nul ne saisissait vraiment la détresse de ses pas silencieux, des regards fuyants d’embarras mais encore des sourires aussi fugaces que ses prunelles n’étaient ternes. Si elle n’avait plus tant souvenance d’avoir jamais été traitée avec des égards des plus conviviaux, avant de connaître le mépris et la méchanceté des individus côtoyés, elle répugne encore l’inimitié. Ce fléau pouvant se répandre avec aisance. Sa confusion ne s’en trouva que plus grande lorsqu’elle dut traverser des épreuves infamantes et en conserver les vives blessures, stigmates invisibles qu’elle s’efforçait de voiler au mieux, afin de ne pas susciter la pitié ou l’aversion des autres. Comme le fait d’être soudainement trahie par ses camarades et traitée en pestiférée suite à l’étalage d’un scandale. Mais l’enfant n’avait pas choisi des parents criminels, ni dévoilé les signes d’une quelconque dégénérescence. Aussi était-ce bien absurde de médire tandis qu’elle demeurait cette mioche irréprochable d’antan. Et quelle vertu y avait-il à stigmatiser et diffamer l’innocence ? La malheureuse s’imaginait d’ailleurs que l’entrée au collège d’Hosu lui vaudrait plus de répits, au lieu de quoi elle allait s’empourprer face à la cruauté abusive et institutionnalisée par l’environnement éducatif, telle l’affreuse pratique du bizutage et ces professeurs passifs. Son alter lui apparaissait dont nécessaire dans les heures sombres. Il lui épargnait d’être davantage meurtrie et lui offrait l’occasion de se reconstruire, voire même de nier l’évidence. La sordide vérité s’effaçant au profit d’une délectable alternative, un mielleux mensonge, une délivrance imposée à ces diables la persécutant. Et pouvait-elle seulement concevoir l’aspect vil de la chose, geste au demeurant bien égoïste et amoral ? Elle redoutait tant la solitude, les crachins populaires et autres bassesses de l’âme humaine qu’on pouvait lui infliger en toute impunité. La jeune fille s’aime encore à penser que chacun choisit ce qu’il lui plait à ériger comme vérité immuable, pouvant même se bercer d’illusions et souffrir de déni par automatisme, plutôt que de croire aveuglément les faits établis ou d’admettre que la vie est affreuse. Voilà qui justifiait à son sens l’usage intempestif de son pouvoir.

Quels sont vos rêves et idéaux ?
C’est lors de ses nobles exactions qu’elle s’interrogeait sur l’âme humaine. Certes la démarche pseudo-scientifique paraissait maladroite et son raisonnement aussi frêle que sa pensée, mais la sensible et taciturne donzelle trouvait quelque intérêt à s’y adonner. Elle voulait croire qu’elle comprendrait ces gens méprisables, ces ignares se défiant de sa personne. Ces étrangers pouvaient-ils seulement concevoir sa peine quotidienne, ce chagrin aggravé par leurs regards et palabres blessantes et dédaigneuses ? A vrai dire, chacun semblait délivré de cette vilenie une fois soumis à son sortilège. Une emprise bénéfique qui métamorphosait ces drôles. Nul ne lui apparaissait plus tant enclin à la malveillance, une fois le processus achevé. Si bien qu’elle s’interrogeait quand à l’impact des perceptions, de l’éducation reçue et de l’effet de groupe, tant de facteurs pouvant influer voire même conditionner la bêtise collective, la terrible norme qui l’éprouvait. Loin d’envisager une carrière de psychologue, la gamine fabulait juste à l’intérêt mutuel de ses actes. Convaincre un individu en falsifiant sa mémoire ne pouvait que le rendre meilleur, le laisser entrevoir le bonheur et ne plus être esclave de perfides influences. Elle offrait cette chance d’être un autre ou d’échapper aux maux enfouis, tels les traumatismes ou les souvenirs douloureux en tout genre. Elle espérait éradiquer la noirceur dans les cœurs, guérir les misérables, balayer sa souffrance.

Quelle est votre opinion sur votre alter et comment percevez-vous l'existence des alters ?
La naïve jouvencelle s’est longtemps interrogée sur la nature de ces fabuleux et terrifiants pouvoirs dont seraient dotés une minorité d’individus, y voyant-là la manifestation d’un phénomène autrement plus surnaturel que la simple réalité de l’évolution de sa propre espèce. Aussi s’imagine-t-elle que ces facultés et les cas de morphologie étranges ne peuvent qu’insinuer l’émergence d’êtres fabuleux dont la simple existence tenait du mythe, des yôkai. Et de cette hypothèse somme toute enfantine, la petiote en vint à penser maladroitement que l’apparition d’alter prenait un tout autre sens, puisque les êtres de fables de jadis demeuraient porteur d’un message et véhiculaient une morale ; au-delà des êtres simplement effrayants et malveillants. Le sien devait donc servir en ce sens là, au vu de l’utilité et du caractère bénéfique dégagé. Et elle s’estime assez veinarde de ne pas être un kappa voire un affreux gashadokuro. Si bien qu’elle et ne comprend pas vraiment la politique qui prohibe l’usage des pouvoirs en dehors du cadre héroïque, puisqu’elle a su démontrer comme bien d’autres que ces derniers pouvaient se rendre grandement utiles dans le civil ou le secteur privé. Mais son raisonnement parait bien vague et maladroit, un brin ardu à formuler et expliquer avec aisance dans sa bouche de jeune fille en pleine éclosion. Son argumentaire peut donc paraître naïf et idéaliste. Elle se défie pourtant des fanatiques et des rebelles en tout genre qu’elle reconnait comme des nuisances et éléments à risque pour la société. En plus d’admirer ces braves défenseurs des justes et des opprimés, un peu farfelus et étranges parfois mais tout de même exemplaires. Elle espère juste qu’on ne l’enverra pas croupir en prison, tout en la traitant en mécréante.


Trame


À quoi ressemblerait une journée type de votre personnage ?
La petite se déclamait péniblement, ses hantises qu’elle se refusait d’éradiquer lui labouraient d’aventure les entrailles. Son existence l’amenait encore à regretter le temps jadis et l’insouciance qui en découlait, alors que depuis ce fameux jour elle s’extirpait du lit avec angoisse ou lassitude, et s’y effondrait en larmes retenues dans la journée. Le souvenir de ses instants de dépression lui revenait parfois, où elle envisageait d’achever le supplice par un acte inconsidéré, avant de se raviser sans trop comprendre. Son indescriptible souffrance, qu’elle savait si bien taire, s’évanouirait peut-être un beau jour. Là elle oublierait volontiers ces horreurs afin de se reconstruire véritablement. En l’attente de quoi la gamine s’essaye à les éluder un maximum, en plus de s’adonner à quelques rêveries bien venues. L’une d’elles constituait cette réponse décalée mais plaisante, touchante. Et tandis qu’elle narrait son idée d’une journée idéale à valeur de banalité allègrement désirée, tout la ramenait à cesonge d’une nuit d’été, doux souvenir romancé par un air songeur. La mioche ne semblait pas réaliser sa confession somme toute vécue. Le psychologue de l’établissement appréciait de la voir enfin à l’aise et souriante, cette révélation lui ravivant quelque jovialité. A vrai dire, l’esseulée d’ordinaire taciturne ne tarissait pas d’éloge son portrait du jour parfait. Il s’agissait là de s’arracher d’un bon sommeil en compagnie d’un chant de plaisants volatiles, de festoyer et de se vêtir d’un bel ensemble, puis d’aller retrouver un galant jouvenceau sur le pas de sa porte et de porter la balade en divers endroit, sans jamais lui déplaire ni avoir à user de son alter.


Derrière l'écran


Pseudo : Mad Omura
Âge : 27 ans
Comment as-tu connu le forum ? : ancien d'FnO
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : Aider les gens, voir s'envoler leurs souffrances. (voir si une gamine peut faire la différence)
 maxou’
Hibiki Ayane
Civil
Hibiki Ayane
Surnom : Sound Wave
Profession : Actrice
Rang : S
Points d'expérience : 1724
Renommée : 290
Alignement : Juge
Re: [AV/T] Majima Sayaka - civile || Mar 24 Juil - 2:13


Bienvenue sur le forum


Sasa <3 Quelle amour ta petite gamine <3 Je l'aime déjà beaucoup Very Happy

Alors, sans trop de problème, je te valide Rang C parmi les civils.

Merci pour la plume d'ailleurs <3 C'est bien écrit :3

Je te souhaite la bienvenue ! Et si tu as des questions, n'hésite pas <3

Infos/Rappels :
─ Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
─ Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
─ Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
─ Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

Bon RP et des gros bisous <3

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