[AV/T - JH] Suzuka Orihime
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[AV/T - JH] Suzuka Orihime

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[AV/T - JH] Suzuka Orihime || Sam 1 Sep - 1:39

Suzuka Orihime




NOM & PRÉNOM : Suzuka Orihime
ÂGE : Dix-sept ans, presque dix-huit.
SURNOM : Aucun. ( Éventuellement : Tairyouhakaiheiki / Mass destruction weapon / Arme de destruction massive, Mokushiroku / Apocalypse, Ragnarök, etc. Bref vous avez compris. )
RANG : A ?  (Ce que vous jugerez le plus pertinent.)
ALIGNEMENT : Loyal neutre ou « Juge »
PROFESSION : Danger public Ex-paysanne, cuisinière & femme de chambre pour l'hotel capsule dans lequel elle vit aujourd'hui.
ALTER : Transformation : titan mécanique L'utilisateur se transforme en une armure mécanisée de grande taille, dont la puissance n'a d'égal que le danger qu'elle représente pour tout ce qui l'entoure
AVATAR : Zealot-chan - Hushabye Valley
[AV/T - JH] Suzuka Orihime W1pXw

Origines


Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?
Aucun avis. Je ne suis pas capable de jauge ou juger mes propres actes et honnêtement, je n'ai pas la moindre envie de le faire. Je reconnais mes torts, je ne vais pas accuser mon alter d'être ce qu'il est. Il est une partie de moi, le fait que je ne l'ai jamais entraînée avant qu'une catastrophe n'arrive était tout à fait de ma faute et si je n'ai pas fait de prison, seulement deux ans en centre de jeunesse, j'aurais tout à fait acceptée cette sanction comme n'importe quelle autre. C'est pour cette raison que je me rends à tous mes rendez-vous sans le moindre retard, par respect pour les forces de police qui ont mieux à faire que d'attendre une petite idiote incapable d'être plus ponctuelle qu'efficace avec son propre pouvoir.

Je paye mon loyer, mes dettes, tout ce qu'il faut. J'arrive même à mettre de côté pour pouvoir me payer mon futur logement. Jusqu'à mes six - huit ans, j'étais une enfant, par la suite j'ai été une bombe a retardement insouciante et stupide. L'innocence n'existe pas et si cela devait être le cas, ce ne serait pas une excuse pour ce que j'ai fait. Jour après jour, je savais que j'aurais dû parler de ce... Cette chose presque aussi haute qu'une grange, parlant étrangement et ressemblante à un gros véhicule militaire, mais tout rouge, cet autre moi-même. Ignorante, j'ai sous-estimé ce qu'il était, après tout, les gens contrôlent leurs alter comme ils contrôlent leurs bras ou leurs têtes ? Les jeunes se croient toujours invulnérables, je n'ai pas échappé à cette douloureuse méprise.

Quatorze ans, l'incident... Les terres de notre famille léguée de père en fils, au fil des générations... Constellée de trou, créer par des explosions plus impressionnantes et flamboyantes les unes que les autres. Notre ferme à feu et à sang, je ne sais pas par quel miracle ma famille a été épargnée, mais "ils" n'ont pas eu cette même chance. Est-ce qu'ils étaient des criminels ? Oui, est-ce que pour autant j'avais la prétention, même inconsciemment via ma faculté, d'être juge, jury et surtout bourreau ? Cette vue, ces images alors que petit à petit, ils étaient transformés en moins que rien, jusqu'à littéralement disparaître après n'être que des morceaux... Me hantera a jamais, marquant mon esprit comme ma peau l'est par ces brûlures.

La seule chose qui m'a empêché de me laisser mourir, c'est l'idée de traumatiser davantage mes chères petites pousses, mon petit frère, ma petites sœur, je leur ai promis qu'on serait de nouveau ensemble et à partir de cet instant, j'ai voué m'a vie à ce but. Plus ou moins indirectement on va dire. Tant que nos parents refuseront qu'on se revoie, alors ça sera impossible. Alors je travaille dur, j'économise pour avoir un jour un foyer qui pourra les accueillir même juste de temps en temps.

J'essaye de vivre honnêtement depuis que j'ai quittée le centre, de suivre mes devoirs et d'obéir autant que possible. Je ne veux pas une fois encore sortir du droit chemin... En attendant un meilleur lendemain, même si aujourd'hui n'est pas si terrible.

Quels sont vos rêves et idéaux ?
Qu'est-ce que je pourrais dire ? Cela n'aide pas réellement, je sais, mais cette question me prend un peu de court aussi. L'injonction de la cour m'interdisant d'approcher de ma famille, c'est certainement le coup le plus dur que j'ai reçu... Oui j'y arrive, donc, j'aimerais évidemment retrouver suffisamment la confiance des miens pour pouvoir les retrouver, être de nouveau dans leurs vies. Si on exclut ce petit roublard de Akihiko qui a déjà réussi, je ne saurais dire comment, une fois à me retrouver jusqu'au cœur de ce quartier malfamé. Cela m'a brisé le cœur quand je l'ai raccompagné à la police, en lui expliquant que même si j'étais heureuse de le voir en bonne santé, de le voir simplement... Que l'on pourrait m'accuser de l'avoir enlevé ou plus certainement d'avoir brisé mon interdiction de l'approcher. Il m'a juré en larme qu'il trouverait un moyen d'être avec moi, j'ai dû lui promettre de tout faire pour que l'on soit de nouveau réuni. Fukumi elle... Fais la même chose, mais de manière plus calme, plus sournoise. Une conversation vidéo par ci, une lettre par là.

Alors, je mets des sous de côté, dépense le moins possible et accumule sur un compte en banque en espérant pouvoir avoir un vrai foyer plus tard. Je pourrais économiser davantage en vivant chez ma tutrice, mais... Je ne souhaite pas être un poids pour elle, comme je l'ai été pour ma famille. Je me rachèterai auprès de la société, de mon pays, de ma nation et peut-être que j'arriverai à faire de même aux yeux de mes parents. Pour qu'il en arrive à couper les ponts avec moi, à m'abandonner, j'ai vraiment...

Je ne dis pas qu'ils ont eu tort, juste que ça fait mal tout de même. Je ne retrouverai jamais ces jours heureux à la ferme, simplement parce que je l'ai transformée malgré moi en champ de bataille, en un amoncellement de ruines fumantes et calcinées perdu au milieu des cratères. Ce fut si violent, si horrible que la nature n'a même pas encore retrouvé ses droits sur l'endroit quatre ans après le drame, enfin presque. D'après un expert, il se pourrait que les munitions de mon alter ait peut-être contaminé la flore, qu'elles ne se renouvellent pas avant une ou deux bonnes décennies. C'est triste, c'est horrible et c'est tout à fait ma faute.

Pouvoir enlacer mon petit frère et ma petite soeur, les embrasser, suivre leurs évolutions. J'aimerai tellement cela, pour moi ? Un mariage simple avec un homme qui supporterai ma vue et aurai les nerfs assez solides à cause de... Moi. De mon don, ou ma malédiction, allez savoir. Fonder une famille, avoir un travail honnête, ce qui est déjà le cas aujourd'hui d'ailleurs. Puis avoir mes propres enfants, ce serait beau. En attendant, je me contente de ce que j'ai, un logement, petit, mais avec un entourage amical, bien que très hétérogène.

Devenir une héroïne ? C'est une plaisanterie ? Jamais je n'oserai utiliser mon alter en public, je tremble y l'idée de l'employer dans un lieu désert et en présence d'un héros professionnel, alors imaginez dans tous autres cas... Je ne sauverais jamais personnes avec une puissance aussi monstrueuse, je ne serais bonne qu'à finir en prison, faire des victimes et détruire des biens publics. Je serais très bien dans mon coin, à vivre une vie tranquille loin de tout conflit. Cela vaudra mieux pour tout le monde.

Quelle est votre opinion sur votre alter et comment percevez-vous l'existence des alters ?
Une dame d'un certain âge et pourtant d'une grande beauté... Pour peu que l'on accepte un aspect un peu ? Bestiale ? Elle remet bien droite sa blouse par-dessus sa peau d'albâtre constellé d'excroissance osseuse, ajuste ses lunettes fasse à ses yeux, deux points lumineux inquiétants luisants d'un bleu inhumain. Se gratte la tête d'une griffe, juste à côté d'une de ses quatre cornes. Pas que le confort soit sa première préoccupation, mais trouver un fauteuil qui puisse l'accueillir elle et ses deux semblant d'ailles, qui en plus de la gêner n'ont pas la délicatesse de pouvoir lui permettre de voler est.. Tendu. Elle doit avoir changé une demi-douzaine de fois.

Soupirant, elle vérifie sa montre au moment où une personne frappe à la porte de son bureau : [ 09h58 / sam 21 juin 298 ]. Puis hausse les épaules, se met une petite claque sur les joues devant un miroir pour se remuer et se laisser gagner par une pensée positive pour afficher son plus beau sourire. Avant de dire d'entrée d'une voix amicale, bien qu'un peu trop suave.

Elle observe une demoiselle en tenue d'hôpital entrer, son regard la jauge de haut en bas puis se concentre sur ces vilaines brûlures qui la marquent. Elle se dit que c'est un beau gâchis en l'invitant à s'installer en face d'elle, après avoir reçu une courte, mais respectueuse révérence. Il ne faut pas longtemps à la professionnelle pour remarquer les symptômes communs dû à un profond traumatisme et à un profond manque de sommeil. Les bras croisés devant elle est le premier rempart qu'elle fera tomber, en temps et en heure.

Présentation d'usage, relecture rapide de son dossier, la dame comprend vite à quoi elle a affaire. Sa nouvelle patiente sera donc ici à la fois pour la psychothérapeute, mais aussi pour "Kuusou ni fukeru" celle qui entre, étudie, joue et manipule les rêves d'autrui. Bon, elle commence par la taquiner pour briser la glace, lui disant qu'elle est à croquer d'une voix mielleuse. Une fois sa proie rouge comme une écrevisse, elle la rassure sur le fait qu'elle n'a rien d'une pédophile et profite de l'ouverture qu'elle a créée pour aborder avec elle un sujet sensible, l'image de soi surtout avec de telles cicatrices.

Les séances s'enchaînent, la petite brebis égarée et pleurnicheuse se raffermit mentalement, les sujets se suivent, la médecin réussit même pendant de brèves périodes à décrocher de l'esprit de cette pauvre victime, son vilain cauchemar, sa hantise. Vient finalement le sujet le plus difficile, le plus tabou, plutôt le plus sensible de tous.

Les alters, mais surtout le siens.

Elle sait que ça va être compliqué, mais c'est son métier. Elle entraîne la conversation pour que celle-ci puisse venir plus naturellement. Orihime résiste, mais finit par céder du terrain et finalement quand le mot est enfin évoqué... Elle fond en larmes. Trop tôt ? Elle déteste trop s'attacher à un patient, se laisser trop approcher, mais son ego et son instinct de femme la poussent à tirer la jouvencelle contre elle. La laissant baver et pleurer, tâcher son haut préféré... Rien qu'un passage au teinturier ne puisse régler. Il lui faudra un bon quart d'heure pour la calmer, elle a plus l'impression d'avoir une enfant paniquée qu'une adolescente contre elle, mais se tient bien de faire ce genre de remarque bien entendu.

Kanon, écrit avec les kanjis signifiants doux rêve... Parfois, elle se dit qu'elle est surtout un vilain songe. Maintenant que la gamine au corps bien développée est calme, elles peuvent en revenir à sa thérapie, a la discussion. Attentive, elle n'a pas pu s'empêcher d'observer la fillette approcher son doigt d'une de ses protubérances osseuses, sans oser réellement aller plus loin. Un mélange de peur et de curiosité, beaucoup plus classique que certains l'imaginent. Finalement, le premier pas vers l'acceptation de soi, sera peut-être de commencer par le fait d'accepter les singularités de chacun, de ne pas les observer comme des bêtes curieuses ou des monstruosités. Elle lui prend la main, la pose sur une de ses cornes, se laisser ainsi tâter est un peu trop tendancieux à son goût, même si pour le coup elle est plus vue comme une bête de foire qu'une femme, mais si c'est pour son bien-être et tant que cela ne va pas vers des zones que la raison et les bonnes manières interdit de mentionner... Pourquoi pas ? Cornes, griffes, le cuir et le cartilage des ailles qui n'en sont pas vraiment, les plaques d'os, elle touche, jauge, comme une petite fille qui apprend par le toucher à reconnaître son environnement.

Finalement, et par la suite, elle fera se rencontrer sa patiente et d'autres personnes possèdent des alters et ayant acceptée de l'aider. Le processus recommence, un mélange de frayeur et d'envie de connaître l'autre qu'elle manipule pour renforcer la seconde partie tout en essayant de minimiser la première. Émission, mutation puis finalement transformation, il devient de plus en plus évident, surtout avec le temps, qu'une fois qu'elle sera psychiquement rétablie elle restera prudente, anxieuse face aux alters comme on l'est face à une arme à feu surtout quand on ne sait pas s'en servir. Pour le sien, c'est beaucoup plus complexe, le traumatisme est encore trop intense pour que cela disparaisse avec de simples mots.

C'est suite à ses échanges que Nakamura Kanon, alias "Kuusou ni fukeru" est devenu la tutrice légale de Susuki Orihime. Elle l'a aidée à se rétablir et une fois ses deux années purgées en centre de jeunesse, à trouver un héros pour accepter de l'aider à dépasser sa peur en faisant passer cela pour des stages obligatoires pour s'assurer que la jeune Orihime ne refuse d'y aller. Elle serait fichue d'utiliser des arguments idiots comme de ne pas vouloir "gêner les autres". C'est à la demande de sa protégée qu'elle lui a trouvée un travail. Il reste encore aujourd'hui un bras de fer entre les deux femmes et un sujet de tension principal, le fais que celle-ci vive dans un pseudo-cercueil plutôt que chez elle alors qu'elle serait ravie d'avoir un peu de compagnies et pouvoir agir sur son sommeil au jour le jour.


Trame


Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?
Des champs verdoyants, laissant doucement pousser diverses plantations. L'astre solaire se lève doucement, mais déjà la petite famille s'active. Les deux plus jeunes après le petit-déjeuner concocté par l'aînée vont s'amuser. Courant dans l'herbe, mais en restant en vu des plus grands. Plus calmement, celle aux cheveux descendant jusque son épais et voluptueux fessier sourie, puis range et nettoie ce qui doit l'être. Elle coche un calendrier, un jour de plus les faisant arriver en fin d'été de l'année 297. Elle a quatorze ans depuis peu, ce fut son anniversaire il y a peu, pourtant ce jour ne lui importe pas plus qu'un autre. Elle retrouve ses parents dans la grange et prend de quoi s'occuper du bétail à l'air libre.

Rapidement, on lui demande de plutôt tourner son attention vers le potager, son géniteur lui met une petite tape sur le haut du crâne, avec un grand sourire. Ce n'est ni un jour spécial, ni particulier, le temps est beau bien que les chaleurs commencent à être lourdes. Pas plus ou moins de responsabilité qu'avant. Un jour, une année somme tout aussi fades que bien heureux.

Trempée de sueur, un peu crasseuse aussi, l'ainée des Suzuka a fini d'aérer la terre. Malgré son jeune âge, elle pourrait très bien reprendre le flambeau, enfin elle a les connaissances pour, mais pas forcément la maturité, quoi que ? L'école ? L'apprentissage oral est très bien, de toute manière, ce n'est pas comme si elle avait un autre rêve ou une autre vocation que de reprendre la ferme, ses enfants feront de même et ainsi de suite.

Par contre, ce n'est pas le cas de Akihiko et Fukumi, qu'elle a accompagnée au petit matin dans le village proche, il est maintenant temps d'aller les chercher d'ailleurs. Elle va se rafraîchir, met des vêtements qui sont un peu plus... Présentable ? Salopette courte, qui s'arrête au même niveau qu'un short à cause de la saison, brassière, c'est à la fois un peu léger et très bien. Elle à la main un panier en osier, on va goûter au village, faire une ou deux emplettes puis rentrer.

Les deux jeunes ne sont visiblement pas assez fatigués par leurs journées, ils se jettent sur leurs collations, mais après avoir fait de même sur leurs grande-sœur pour la câliner, frottant leurs joues sur elle en racontant à un rythme inhumain leurs journées. Ils ont le droit à une caresse dans les cheveux, de quoi manger et un dernier tour au marché avant de rentrer par la route.

Une route globalement vide, habituellement mise à par un tracteur ou un véhicule de temps à autre il n'y a pas grand-chose. Sauf cette fois-là. Elles croisent des délinquants presque à la fin de leur chemin, que faisaient-ils là ? À en croire par l'incartade entre les membres et les vociférations par-dessus une carte, ils semblent perdus. C'est ce que la demoiselle pense, ce n'est pas pour autant qu'elle s'arrête. Elle prend ses deux frères et sœurs par la main et accélère un peu le mouvement. Ils la remarquent, ricanent, observent son séant. Ils la hèlent, elle continue, allant un peu plus vite encore. Marche rapide, ils suivent, eux ont des motos déformées, colorées, modifié aux couleurs de leurs communautés. Des Bōsōzoku... Qu'ils soient réellement mauvais ou simplement de grande gueules ne l’intéresse pas, la sécurité des siens, par contre, oui.

Ils continuent de les suivent, les hélant, elle espère qu'ils se laceront, qu'il la lâcheront surtout en approchant de la ferme. Elle ordonne aux petits de s'enfermer à l'intérieur. Ils insistent sur le fait qu'ils ont juste besoin d'un renseignement, malgré cela ce ne sont pas ses yeux qui fixent et ils semblent bien moins omnibulés par leur situation géographique. L'un d'eux essaye d'enfoncer la porte de la ferme à coup de pied comme dans les films, sauf qu'une porte en bois massif... Il se tord de douleur pendant qu'un autre se moque de lui, d'autres comme un groupe de vautour tourne autour et attrape leur morceau de viande de la soirée. Un peu jeune, mais juteux et puis comme ils le disent

"Un trou c'est un trou, la bite n'a pas d'oeil !"

Peut-être que c'est simplement pour l'intimider, ou plus... Au loin, vu le fatras des moteurs, les parents ont déjà appelé la police et hésitent à intervenir. Pour être plus précis, le père tente de retenir sa femme qui a la ferme intention de copier les voyous, mais en les empalant à la place avec une belle fourche bien solide. Ils n'auront pas le temps d'approcher, une main approchant trop près du haut des cuisses de la victime, un mot de trop, la fenêtre qui elle cède laissant entrevoir ou plutôt imaginer ses protégés devenir des otages ou pire...

Divers bruits grondant, mécanique, comme si de grands mécanismes s'emboîtaient les uns dans les autres, les premiers cris de stupeur et de frayeur... Un instant plus tard, ils observent l'immense colosse de métal qui brille d'une lueur jade des plus sinistres, comme des idiots scrute un raz de marée près à les engloutir sans réagir. Curiosité morbide ?

"Famille = danger. Paramètre : INACCEPTABLE ! "

Dans un état second, la demoiselle transformée en forteresse écarlate pointe ses immenses armes vers ses cibles, ils commencent à comprendre trop tard qu'ils sont déjà morts.

"Lancer Annihilation.exe"

Il va pleuvoir, les missiles et les morceaux de cadavres volent bas... La suite ne fut que feu, sang et larme. Même sans impact direct sur la ferme, l'incendie créé par les munitions s'est propagé, les rares bêtes épargnée par la destruction, affolées, se sont éparpillées. Les deux parents n'avaient rien eu, les deux plus petits eux ont étaient sauvé par leurs sœur bravant les flammes une fois revenu à elle, pour les chercher dans le charnier créé par... Elle-même.

Elle se réveillera finalement à l'hôpital de Tokyo, dans le service des grands brûlés dans lesquels elle restera une année entière. Les gangers ? Ils se sont littéralement vaporisés, ce n'est pas une image, il ne restait même pas une once d'ADN d'eux après le ménage par le vide du titan d'acier rouge... Ce jour restera gravé en elle, encore aujourd'hui elle en fait des cauchemars et ce sera vrai à jamais. Il ne reste de ce qui fut leur foyer, qu'un champ de ruines calcinée et jonchée de cratères, ainsi que de nombreux remords. Passer deux pauvres années en centre de jeunesse ne suffira pas à ses yeux à réellement payer pour ses erreurs, mais jamais elle ne remettrait en question la décision de la cours, de la justice de son pays.

Comment votre personnage réagirait-il s'il était témoin d'un crime ?
Une journée comme une autre, cauchemars, bain, travail et ensuite je pars en ville, ou plus particulièrement vers le commissariat. Toutes les semaines, je pointe et remplis des formulaires parfois, c'est aussi l'occasion pour le service technique de vérifier mon bracelet électronique. Je le regarde, il est encore à ma cheville et sa diode éclairée. J'imagine que c'est comme pour une montre ou un portable, si c'est lumineux et qu'il n'y a pas de bruit bizarre, tout va bien ? En même temps, je pense que le jour où il tombera en panne, je serais la première à le savoir. Je me suis toujours demandée comment ça se passerait... Peut-être un appel pour me demander le pourquoi du comment ? Directement une patrouille ? Un super-héros ? Même si je suis curieuse, je ne le ferais pas sciemment, nos forces de police et de répression des vilains ont mieux à faire, je m'en veux déjà assez pour les dégâts produits jusqu'à présent, je ne vais pas allonger ma liste d'erreurs.

Je vagabonde dans les rues, l'hôtel capsule où je vis et travail étant lui-même dans une portion de la ville... Pas très bien loti, je peux voir ici et là des choses qui ne me plaisent pas. Le temps aurait du m'apprendre à fermer les yeux, mais surtout et a force au tout début de signaler le moindre crime, je me suis fait taper sur les doigts. Disons que si cela a été très subtilement sous-entendu, de manière assez soignée pour que même moi puisse le comprendre... Ce qui est un exploit au passage. Ils laissent faire certaines petites choses à certaine personne. La justice aveugle ? Corruption ? Non, c'est une manière de se concentrer sur des cas plus urgents, observer pour attraper la source plutôt que les conséquences de certains trafics. Mais aussi d'éviter de mettre les rues à feu et à sang.

Est-ce que ça me plaît ? NON ! Est-ce que je dois laisser faire, je suis impuissante ? Tout à fait. Discrètement, une photographie avec le portable ici, un rapport par là quand j'ai le temps et que je vais au commissariat. Mais ça ne changera pas grand-chose au final, un peu de grain à moudre, une plainte parmi des centaines. Cela ne m'empêche pas de les faire et les déposer à chacun de mes passages, je me doute qu'une partie va peut-être droit à la poubelle, mais... conjecture ? Oui.

Mais aujourd'hui est différent, un cas un peu plus singulier, pas un petit échange d'argent ou de drogue, pas une taxe de protection ou une rixe plus ou moins bon enfant. Étrangement, les Nekketsu alors que ça signifie généralement "tempérament sanguin" sont au contraire plus calmes et mesurés qu'on ne le pense. Évidemment, ce sont des criminels, mais aussi paradoxal cela puisse être, leur présence évite une partie de gros incidents qui peuvent avoir lieu ailleurs. Les crimes de sang, les gros dangers sont plus ou moins naturellement écartés, une paix illusoire, mais bien présente.

Mais alors, pourquoi aujourd'hui est différent. J'observe Matsuho-nii-san discuter avec deux autres membres que je ne connais pas dans une ruelle. Même si je n'ai qu'entrevu son visage, il n'a pas son sourire carnassier, son assurance habituelle, ce qui m'intrigue. Je m'arrête un instant, puis me dit que ce ne sont pas mes affaires.

Il serre des dents, j'avance et à ce moment-là... Je vois que l'un d'eux cache mal une grosse bosse, qui a une crosse. Cette fois-ci, je m'arrête vraiment. Je prends mon portable et appeler les secours... L'un d'eux m'a vu les regarder ET avec un portable contre le visage. Il semble interloqué, en même temps, c'est un peu tard. Je n'avais pas remarqué que les deux autres n'ont pas les couleurs des Nekketsu. Ils ont des foulards et bandeaux sur le visage, ils s'approchent, semblent remontés. J'ai le droit aux garçons qui roulent des mécaniques et les "r", me pousse contre un mur en beuglant avec un bras qui me frôle sans me toucher. Puis l'un d'eux met le pistolet directement sur ma joue, un peu plus et il me le met dans la bouche... Je leurs faits remarquer qu'ils feraient mieux soit d'attendre la police, soit de partir... Mais que leur action immédiate est totalement inutile.

Un gyrophare, ils prennent la poudre d'escampette. Le stage avec le héros va aujourd'hui se muer en déposition, portrait robot, description de l'arme. On a échappé au pire, un peu plus et IL, mon autre moi intervenait et du haut de sa taille et son armement colossale les dégâts auraient étaient terribles.

À quoi ressemblerait une journée type de votre personnage ?
Des champs verdoyants, laissant doucement pousser diverses plantations. Une jeune demoiselle essayant de tirer de terre quelques légumes, pendant que ses deux jeunes frères et sœurs gambadent en jouant, en riant. Une journée comme une autre. Pourtant, le ciel s'assombrit, rougissant alors que des bruits mécaniques, métalliques se font entendre... En l'air, une immense silhouette sombre se forme puis s'écrase au sol en faisant trembler la terre. Les champs sont en feu, le bruit des pas lourds du béhémoth se mélangent aux déflagrations, aux râles d'agonie et aux cris de panique.

Larme, sang et sueur...

La demoiselle se réveille, tremblant encore, le coeur battant la chamade et paniquée... Il lui faut un instant pour se ressaisir, se rappeler qu'elle est relativement en sécurité, puis prendre une position foetale et fondre en larmes, encore.

Cette jouvencelle, c'est moi. Je suis dans une chambre minimaliste... Euphémisme, je n'ai jamais pris la peine de la décorer, d'y mettre la moindre touche personnelle. À quoi bon, même si j'avais le droit de le faire, vu la taille... Vous trouvez que votre logement est petit ? Je vis dans un hôtel capsule. On croirait que cela sort tout droit d'une oeuvre de science-fiction, mais non, c'est bien le cas. La bonne nouvelle est qu'on retrouve tout de même une section dédiée aux bains permettant de casser un peu la claustrophobie, ce qui en fait un lieu de relaxation agréable pour peu qu'on ne soit pas gêné de se promener nu au milieu de dizaines d'autres femmes... Les débuts ont été très durs.

Depuis que je suis sortie du centre, je vis au jour le jour, économisant le moindre yen dans le but de pouvoir me payer un vrai logement et pouvoir revoir ma famille, ceux pour qui j'existe encore. Je n'ai toujours pas le droit de voir Akihiko et pas plus ma chère petite Fukumi. Ils m'envoient très régulièrement des messages sur cette chose qui s'appelle un portable et que je comprends à peine. Comment les gens peuvent-ils préférer ça à une conversation en direct ? De plus, je mets plusieurs minutes à écrire le moindre message là où on me répond en quelques poignées de secondes à peine. Quant à eux, mes parents refusent catégoriquement que je les approche. Je comprends tout à fait pourquoi, même si ça ne m'aide pas plus que cela à supporter la blessure profonde que cette séparation m'inflige.

Mon petit frère, ma petite soeur eux au moins ils vont bien, ils sont dans une bonne école, ont des amis, c'est ce genre de pensées qui me poussent à me lever tous les matins et à avancer. Une fois propre et fraîche, à peu près, je vais m'occuper du premier ménage. Le soleil n'est pas encore levé, que je passe un coup de serpillière, vérifie la propreté de la buanderie en libre-service, retire le peu de déchet qu'il peut y avoir dans les communs. Généralement, quand il n'y a pas d'étranger, c'est très propre. Il n'y a guère que les touristes pour se croisent tout permis... Enfin soit, ensuite, les repas : je revêts la tenue complète avec les gants, la charlotte et tout ce qui va bien, même un masque type bec-de-canard... Vous savez ce truc qu'on met sur le visage pour éviter de transmettre ses germes ? Bon moi, c'est parce que je postillonne aussi et pour cacher un peu mon visage de grande brûlée qui n'est déjà pas agréable, ce n'est pas pour le montrer a n'importe qui. Le patron est très content de moi, depuis que je fais les repas pour son hôtel capsule, il parait qu'il y a plus d'habitués et de résidents permanent. Pour ce que ça me fait, tant que ça me permet de garder mon emploi.

L'heure du repas est passée, je profite du fait que les capsules soient globalement vide pour les nettoyer. Même si c'était pour rire à la base, le propriétaire avait parlé de m'augmenter si je portais une soubrette. Depuis, je l'ai sur moi tous les jours, utilisant des gants et des collants pour cacher au maximum mes brûlures, du maquillage, mais même avec tous les artifices du monde ne me rendrons pas jolie à mes yeux. Mais au moins, je suis suffisamment présentable pour ne pas faire fuir les gens. Enfin, ça, c'est mon avis, il paraît que je suis encore bien mignonne et qu'avec mes formes généreuses, voluptueuses cela compense.

Bref, le ménage est fait, début d'après-midi, je mets une tenue qui couvre au maximum ma peau. Généralement une combinaison allant des chevilles jusqu'au cou et qui couvre les bras jusqu'aux poignets avec par-dessus une robe ou quelques de plus passe-partout. Le tout avec une paire de gants fins et noirs, une paire de lunettes de soleil et un masque respiratoire. Quand je peux, une capuche au-dessus en prime... J'ai une allure de criminelle qui tente de se cacher plus que d'honnête citoyenne, mais c'est cela ou les bandages et ça, c'est cher à force. Comme tous les débuts de la semaine, je vais d'abord pointer au commissariat, vérification de mes papiers, que je n'ai pas fait de bêtises, que mon bracelet électronique est bien en place et fonctionne toujours. Tout ce qui va bien. Heureusement que les gens ont plus tendance à admirer mes brûlures, ma poitrine ou éventuellement ma croupe plutôt que mes pieds, ce genre de dispositif à tendance à ne pas faire du bien socialement parlant, même si je comprends et accepte son principe en bonne citoyenne. Avoir un Alter dangereux ne veut pas dire que je souhaite qu'il le soit.

Une fois tout cela réglé, je pars pour mes heures de stages auprès d'un héros officiel et sous licence. Parfois c'est de la théorie, de temps en temps, plus rarement, j'ai le droit à un peu d'exercices pratiques. Mais au vu des problèmes et de la puissance de mon Alter, c'est assez rare et généralement loin de la ville. De la remise en forme et parfois un peu de self-défense dont j'ai le droit de manière bien rationnée et raisonnée.

Fin d'après-midi, début de soirée, je reviens lessivée et pourtant, je n'ai pas le droit de flancher, ni pour moi, ni pour la société et encore moins pour Akihiko et Fukumi. Une dose massive de caféine pour tenir bon, je n'en suis pas encore à prendre des substances illicites et il n'en est pas question de toute manière. Déjà, parce que c'est illégal, c'est dans le nom, mais ensuite même si, avec mes contrôles réguliers, il ne manquerait plus que je passe par un dépistage, je ne tiens pas spécialement à finir en prison. En passant, j'ai le droit aux hommes les plus lourds, ceux pour qui un trou est un trou, l'alcool aidant ou non... Généralement, je n'ai pas à appeler à l'aide ou autre, le quartier étant sous protection d'un gang, ils interviennent bien assez tôt. Bienveillance ? Hé puis quoi encore ?! Enfin oui et non, avec le temps j'ai sympathisé avec certains d'entre eux, mais globalement, ils ont surtout peur qu'un jour, un porc ou un mec stupide aille trop loin et que je me déchaîne. Les rumeurs vont bon train et si la police devait venir faire le ménage juste derrière, ils seraient ceux qui ont le plus à perdre. Du coup au moins, j'ai le droit à un minimum de respect pour mon intégrité physique. Réussir à rester pur pour son futur mari, c'est bien beau, mais en même temps qui irait épouser un monstre de métal sans le sou, défigurée et qui vous réveillerai à cause de ses cauchemars presque toutes les nuits ?

Enfin bref, je remets ma tenue de cantinière, prépare le repas du soir, nettoie la cuisine puis, vais m'écrouler dans mon lit. J'ai besoin d'être aussi fatiguée, de multiplier les heures supplémentaires en dépit du bon sens pour être suffisamment vannée pour réussir à m'endormir malgré ce qui m'attend... Une nuit de hantise et une journée qui sera la même que la précédente et la suivante. Mais au moins, c'est une vie honnête et qui sait, un jour, j'aurais mérité le pardon de Tokyo, du Japon, de la société que j'ai trahie par mon existence, de mes proches et pourrais revoir ceux que j'aime ?

Est-ce que parfois, je rêve de me laisser aller, de me laisser lever par le premier venu qui soit assez fou ou bourré pour me prendre ? Où simplement laisser mon pouvoir tout détruire sans la moindre vergogne... Parfois, ensuite je me rappelle que l'ordre et la loi est ce qui fait entre-autre de nous des Hommes et non des animaux...


Derrière l'écran


Pseudo : Makina
Âge : 31 piges
Comment as-tu connu le forum ? : DC de Hayasa Ryūmi J'ai demandé à Hibiki Ayane par MP vers le 19 Août... Un petit peu en avance donc.
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme :
 maxou’


Dernière édition par Suzuka Orihime le Dim 9 Sep - 22:49, édité 1 fois
Nakano Jin Soo
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Re: [AV/T - JH] Suzuka Orihime || Dim 9 Sep - 21:16

Heyo Orihime ~

C'est qu'elle était dure à lire, cette présentation. Pas vraiment une question de Longueur bien au contraire : le développement de l'Histoire était parfait, et je n'ai pas vu le temps passer. C'est plutôt une question de contenu, qui a bien failli me faire verser ma petite larme : La façon dont tout s'est produit, les enfants, tout ça.

Très belle présentation, donc.

Toutefois, je vais avoir un éclaircissement à voir avec toi, avant de passer à l’étape suivante. Le point principal étant la découverte de l’Alter, dans la partie Trame. Vu l’injonction par rapport aux parents, l’affaire a été porté devant les tribunaux, et son Alter a été considéré comme dangereux (raison de la surveillance dont tu fais également mention.) En raison de cela, Orihime aurait certainement été placée en centre de Jeunesse en guise de verdict.  J’imagine que la partie « Opinion concernant l’Alter » traite de la case «Hôpital » en raison des blessures qu’elle a eu lors des événements à la ferme. Mais dans ma lecture, je n’ai pas l’impression qu’il y ait une autre étape après l’hôpital.
Du coup, il me faudrait juste une petite explication là-dessus, et me confirmer qu’après ça, elle  se serait bien rendue dans cet établissement là. Parce que je vois que Nakamura est devenue sa tutrice légale, mais il ne faut pas oublier qu'un jugement a été rendu !

Autre petit point, mais c’est juste un rappel : Nakamura Kanon semble utiliser son Alter dans son travail. Attention à ce que le PNJ ait bien une autorisation (Licence) pour cela. Si ce n’est pas le cas, et qu’elle venait à être dénoncée, elle en subirait les conséquences.

Bonne soirée à toi,

Jin H.
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Invité
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Re: [AV/T - JH] Suzuka Orihime || Dim 9 Sep - 22:32

Asano Jin Hyeon a écrit:
Toutefois, je vais avoir un éclaircissement à voir avec toi, avant de passer à l’étape suivante. Le point principal étant la découverte de l’Alter, dans la partie Trame. Vu l’injonction par rapport aux parents, l’affaire a été porté devant les tribunaux, et son Alter a été considéré comme dangereux (raison de la surveillance dont tu fais également mention.) En raison de cela, Orihime aurait certainement été placée en centre de Jeunesse en guise de verdict.  J’imagine que la partie « Opinion concernant l’Alter » traite de la case «Hôpital » en raison des blessures qu’elle a eu lors des événements à la ferme. Mais dans ma lecture, je n’ai pas l’impression qu’il y ait une autre étape après l’hôpital.
Du coup, il me faudrait juste une petite explication là-dessus, et me confirmer qu’après ça, elle  se serait bien rendue dans cet établissement là. Parce que je vois que Nakamura est devenue sa tutrice légale, mais il ne faut pas oublier qu'un jugement a été rendu !

Honnêtement, je n'y ai pas pensée et effectivement c'est une erreur. Donc en prenant cela en compte la nouvelle chronologie serait :

297 (14 ans ) : Jour de l'incident.
298 (15 ans ) : Elle sors de l’hôpital au bout d'un an et est placée au centre de Jeunesse
300 (17 ans ) : Suite à deux ans au centre de jeunesse, elle trouve un travail grâce à sa tutrice.
301 (Actuellement, presque 18 ans) : Cela fait presque un an qu'elle travail et vit à l'Hotel Capsule. Sa tutrice se bat encore avec elle pour la faire venir chez elle.

Si deux ans au centre de jeunesse ne suffit pas, j'adapterai son âge et l'histoire.

Asano Jin Hyeon a écrit:
Autre petit point, mais c’est juste un rappel : Nakamura Kanon semble utiliser son Alter dans son travail. Attention à ce que le PNJ ait bien une autorisation (Licence) pour cela. Si ce n’est pas le cas, et qu’elle venait à être dénoncée, elle en subirait les conséquences

Logiquement elle est passée en son temps par la case Yuei et à une autorisation pour l'utiliser. ( uniquement dans un cadre professionnel. )
Nakano Jin Soo
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Re: [AV/T - JH] Suzuka Orihime || Lun 10 Sep - 19:27


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Pas de problème, ça arrive !
Du coup, les centres de Jeunesse c'est généralement jusqu'à 17 ou 18 ans. Et étant donné les conditions de l'utilisation de l'Alter, les deux ans devraient aller, pas de soucis. Concernant ton PNJ, c'est noté également. Du coup, tout est bon. Je te valide donc rang B, te donne ta couleur et tes accès, puis t'ajoute dans les listings.

Amuse-toi bien avec ce personnage !

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─ Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
─ Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
─ Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
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