[AV/T - JH] Tokugawa Kenji - Kill me if you can
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[AV/T - JH] Tokugawa Kenji - Kill me if you can

Ernst Schaftel
Vilain
Ernst Schaftel
Surnom : Dunkelheit
Profession : Mercenaire
Rang : A
Points d'expérience : 595
Renommée : 150
Alignement : Esprit Libre
[AV/T - JH] Tokugawa Kenji - Kill me if you can || Dim 9 Sep - 11:30

Nom Prénom




NOM & PRÉNOM : Tokugawa Kenji
ÂGE : 30 ans
SURNOM : Scar
RANG : A
ALIGNEMENT : Destructeur.
PROFESSION : Prendre l'argent des mains des autres lorsqu'il en a besoin.
AFFILIATION : Nope.
NOTORIÉTÉ : Meurtre, cruauté, vol, braquage, viol, prise d'otage, et bien plus encore. Tous ses crimes ne lui sont pas attribués, mais il a tout de même sa petite notoriété dans le milieu. On l'évite, et à raison.
ALTER : Undying – Super-Régénération
AVATAR : OC - CTK Cave
[AV/T - JH] Tokugawa Kenji - Kill me if you can Chroni10

Origines


Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?
Ils font toujours semblant de s'intéresser à ta vie. Pour être poli.pour attirer de la sympathie, p'tet.

Si vous lui posez la question, il commencera comme ça. Puis il enchaînera, simplement. Il vous expliquera qu'il est né fils d'une mère barmaid et d'un connard. « j'te laisse deviner qui m'a servi de modèle », ajoutera-t-il ironiquement. Ce père ne lui a montré que le pire de ce que peut être un être humain. Parfois, père absent, parfois, père ivre, souvent, père brutal. Il vous expliquera tout ça avec un certain sourire sur le visage, difficile à déchiffrer. Puis il continuera.

Il vous expliquera qu'étant jeune, c'était pas un mauvais garçon. Que déjà, il avait ce tempérament impulsif, ces soucis de gestion de colère, mais qu'il essayait de bien faire. Parce que sa mère faisait ça pour lui, alors il lui devait bien ça. Il  a grandi en l'observant encaisser pour lui, ramener l'argent qui faisait subsister le foyer tandis que le père dilapidait les économies qu'il emmagasinait via diverses affaires louches dont il n'a compris la nature que plus tard. Alors il a essayé. Il a tenté de ramener de bonnes notes de l'école, malgré qu'il n'était pas particulièrement savant, ni particulièrement intéressé. Par effort, il a réussi, mais sans plus. Moyen, médiocre, dans le milieu. Banal.

Il a tenu bon. Il est resté fort face aux crasses d'un père sale et mauvais, sans démordre. « Comme maman ». Cette mère qui étant jeune s'est entichée du mauvais homme, et n'a pas su se rendre compte de son erreur avant de vieillir. De donner vie. Depuis, elle est coincée avec ce gosse à élever, et cet homme qu'elle n'ose pas quitter. Par peur. Alors oui, le gosse a longtemps essayé de ne pas être une seconde épine dans le pied, d'être meilleur. Mais tout au fond, derrière le masque d'impassibilité, il y avait cette constatation qui lui tournait en tête. Ce sale refrain qui joue, cette vérité qui fait mal :

Quand il rentrait papa, il souriait. Quand il nous faisait du mal aussi. Il souriait, et elle jamais. Il était heureux, elle, non.
Moi non plus.


ça lui est longtemps resté à l'esprit. Ca alors qu'à l'école, son Alter lui valait la cruauté d'autres que son père. Lorsque les yeux étaient détournés, il servait de souffre-douleur à quelques Caïds de cour de récré qui voulaient se passer les nerfs. Eux aussi souriaient. « De toute façon tu te régénères, oui ? », qu'on lui disait

« De toute façon tu te régénères, oui ? » Répéta-t-il un jour, au-dessus d'un de ses tyran au visage bosselé maculé de rouge, du sang plein ses poings, du sourire plein ses lèvres.

Ce jour-ci fut le jour du premier Sang. Un déclencheur, quelque part, puisque ce fut aussi celui du premier sourire. Le premier sourire sincère. Celui d'un gosse qui en a blessé un autre, et qui aimé ça.

Ca vous change une vie, de laisser libre-cour aux pulsions. De vivre selon ses propres lois, pas les leurs.

Il vous expliquera que sa mère l'a grondée, ce jour-ci, là où son père a plutôt eu un regard presque... Appréciateur. Presque. Le genre de regard qui dit « t'es peut-être pas totalement la chiffe-molle que je pensais » Dira-t-il. Puis il vous dira que c'était difficile. Tiraillé, hésitant, jeune et indécis. Choisir entre la voie honnête et morne d'une mère qu'il aime et respecte, ou la façon de faire violente et instinctive d'un père qu'il déteste. Un autre long moment, il est resté entre les deux. Assidu en classe et sociable, mais impulsif et prompt à la réponse violente. Travailleur, mais allergique à l'autorité.

Bref, j'avais le cul entre deux chaises. Et ça a duré longtemps. Après l'école, après tout. Jusqu'à ce que je puisse plus.

Ne plus pouvoir. Oui, c'est sûrement ce qu'il a ressenti, le jour où il a tout lâché. Où il s'est saboté lui-même, où il a ruiné toutes les maigres chances de s'intégrer à la société qu'il lui restait, pour ensuite disparaître et laisser une mare de sang dans son sillage. Une scène qui s'est par après répétée, encore. Et encore, et encore.

Et depuis ce jour, j'ai décidé d'être qui je suis aujourd'hui. Et ça a commencé.

Depuis ce jour, Kenji est devenu cet homme sans loi si ce n'est la sienne, sans obligation si ce n'est celle de suivre ses propres envies. Alors il a tué, par Pêché de Colère – et parfois d'Orgueil. Volé, par Pêché d'Avarice – et parfois Gourmandise. Violé, par Pêché de Luxure – et parfois d'Envie.
Il a cédé. Cédé à ses pulsions, failli à sa promesse, trahit sa mère et ses espoirs. Il a choisit la facilité, par Pêché de Paresse.

Petit à petit, il s'est fait un nom parmi les « Vilains », comme cet homme sans motivation ni but, cet homme inarrêtable qui justifie toutes ses exactions par « j'avais envie ». Il vous expliquera tout ça, puis il se grattera le menton.

Alors j'te dirais pas qu'j'ai eu une enfance totalement misérable. J'ai eu des bons moments, avant de tout envoyer chier. J'ai eu des potes, une bonne mère, une chance. Mais j'ai aussi eu un père de merde et tout un tas de connards sur mon chemin, déterminés à me gâcher ma chance. Et ils ont réussi. Ma mère voulait que je joue le jeu du Système, mais le Système m'a dégoûté. Alors j'ai quitté la table, et j'ai décidé de jouer avec mes propres règles. Celles qui disent : Fais ce qu'il te plaît, quand il te plaît, parce qu'il te plaît.

Et depuis, je gagne au jeu. Alors je continue.



Quels sont vos rêves et idéaux ?
Heh. T'as pas compris, toi, hein.

Il vous répondra ça en souriant. Puis il enchaînera.

Il vous expliquera qu'il n'est pas de ceux à avoir des rêves et des idéaux. Qu'il vit au jour le jour, sans limite si ce n'est celles qu'il s'impose. Qu'il détruit par envie de voir les ruines tomber, le sang couler, et qu'il laisse vivre par envie de voir la vie continuer. Par caprice.

Le monde ne m'a pas appris à respecter la vie d'autrui. Il m'a appris à marcher sur les autres pour gravir les échelons. Mais même ça, j'ai pas envie. Alors j'leur marche dessus juste parce que j'peux.

Il dira ça, presque philosophique dans sa démarche, ce sourire inquiétant à ses lèvres. Il vous déclarera finalement que si un jour il devait avoir un idéal, quelque chose à défendre, il le ferait soit plus par curiosité et amusement, soit... Soit qu'il a vraiment changé.

A la fin de la journée, ce que tu construis, n'importe qui peut décider de le détruire. L'homme vraiment libre, c'est celui qui ne s’embarrasse ni de la morale, ni de l'éthique, ni de quelconques liens à ce monde.
Beaucoup de branlette intellectuelle pour te dire : J'ferais c'que je veux jusqu'à ce que je tombe sur quelqu'un d'assez fort pour m'en empêcher.


Quelle est votre opinion sur votre alter et comment percevez-vous l'existence des alters ?
C'est plutôt pratique, de pouvoir survivre à quasi tout.

Laconique, il répondra ça. Puis il donnera son avis : les Alters sont ce qu'on en fait, comme toute source de pouvoir. Lui, il a décidé de se servir du sien pour ses propres intérêts et envie, rien de plus. La vie a fait de lui un homme impulsif qui trouve son plaisir dans les affrontements, le stupre et la décadence, alors son Alter est une arme de destruction. D'autres préfèrent aider leur prochain, combattre le mal. D'autres préfèrent le cacher, l'oublier. D'autres s'en servent comme tremplin pour une carrière.

Des outils. De formidables, redoutables et fantastiques outils, mais des outils quand même. Rien de plus.


Trame


Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?
Hmmmm. Bah, autant te parler du jour où « Scar » est né, huh ? Le jour où j'ai décidé d'arrêter d'être pris pour un con.

Agacé par les études, harassé par le travail, tourmenté par son foyer, Kenji était à l'époque un Salaryman tout droit sorti de ses études direction un emploi en agence temporaire, travaillant d'arrache-pied pour ramener un salaire. Travailler parmi ces collègues méprisants, parce que les tempos sont toujours regardés de haut, travailler malgré la pression, travailler jusqu'à s'en ruiner la santé. Travailler, encore et toujours.
En fait, ce jour-ci n'était pas un jour très spécial, avant la drame. C'était juste... Un jour comme les autres.

Un jour comme les autres, alors que depuis des mois, chaque jour, il se retient de lâcher la bride, céder, faire ce que sa mère lui a défendu. Dire « non », un Non teinté du Rouge de tous ceux qui sont l'origine de cette pression quotidienne contre son crâne.

Kenji se retient, oui. De laisser parler ce tempérament brutal qu'il a hérité de son père, de libérer la frustration accumulées depuis des années, d'écouter la part plus sombre de son être. Celle qui lui dit d'être comme son père, cet homme détestable, détesté, qui gagne sa vie de l'illicite, ignore son foyer,  abuse sa femme. Et longtemps, cette simple idée « d'être comme son père » a suffit à calmer ses nerfs, refréner ses instincts.

Et pourtant, ce jour-ci, lorsqu'il a passé le seuil de la porte à son retour des bureaux, ce n'était pas la même mine fatiguée, désabusée mais résignée de tous les soirs, sur son visage. Ni ces bras ballants, cette silhouette lente qui se traîne jusque vers une chambre à l'étage. Non, rien de tout ça.
C'était la haine sur les traits, la colère au poing, et une sorte de vive impulsivité dans sa gestuelle.
Également, du rouge sur ces poings fermés, et sur ce costume déchiré.

Ce jour-ci, Kenji était hors de lui en rentrant. Et une fois passé la porte du foyer, rien n'a aidé à le calmer. Depuis le salon, les bruits d'une rixe, la voix de sa mère qui hurle. Commune, la scène s'est jouée plus d'une fois aux oreilles du fils Tokugawa. À ses yeux, parfois. Et à chaque fois, il a laissé faire. Parce que sa mère lui a défendue d'intervenir. Par peur de ce que ce père ferait, à elle, à lui, à eux. Pour le protéger, en somme.
Bienveillante et inquiète, la mère de Kenji ne s'est jamais vraiment rendu compte que son fils avait grandi. Que les rôles étaient inversés, et qu'aujourd'hui, ce n'était plus tant de ce que ce père pourrait lui faire que de ce qu'il pourrait faire à son père, qu'il fallait avoir peur.

Ce jour-ci, Kenji est rentré dans ce salon, le visage fermé, fixant son père avec des yeux de foudre alors que celui-ci s'acharnait sur sa mère. Il était de dos, il n'a pas vu l'ombre de son désormais imposant fils peu à peu progresser vers lui. Kenji a frappé. Une fois, deux fois, quatre. Huit, seize. Il a frappé et lutté, et les deux hommes se sont bousculés d'un bout à l'autre de la pièce. Le père a sorti son fidèle couteau, et il a planté. Là aussi, une fois, deux fois, puis quatre, et huit et seize.

A chaque plaie ouverte sur la peau de Kenji, la précédente se refermait. Et au dix-septième coup, le fils a mis sa main en opposition à la lame, pour la bloquer dans sa paume en refermant sa pogne sur celle du paternel. De son autre main, il a frappé à plusieurs reprises, jusqu'à mettre au sol. Puis il a refermé ses doigts sur le cou, et il a serré.

Deux secondes, puis quatre, et huit et seize. Puis plus, bien plus longtemps encore.

L'adrénaline au corps, le cœur battant et les yeux pleins de fureur, il a regardé son père droit dans les yeux tout le long de l'étranglement. Dans son dos, sa mère crie, mais n'intervient pas. Dessous lui, son père meurt, mais n'arrête pas pour autant de sourire. C'est peut-être la seule chose qui le rend encore amer aujourd'hui. Son seul regret.

Même aux portes de la mort, son père souriait. Même quand il a cessé de respirer, quand les yeux se sont éteints. Même là, il montrait ses sales dents jaunies par la cigarette en un large rictus.

A la conclusion de tout ça, le fils Tokugawa s'est contenté d'embrasser sa mère sur le front une dernière fois, puis faire ses affaires à l'étage. Un sac de sport, quelques souvenirs, le nécessaire, et se changer. Un appel aux urgences, l'adresse donnée, le téléphone raccroché. Sans un regard en arrière, il est parti, laissant le cadavre d'un père prés de la table basse, et la silhouette recroquevillée d'une mère en larmes sur le canapé rougi de sang.

Une enquête se sera ouverte peu après. Les policiers apprendront que le jour des faits, Kenji s'est fait licencier malgré les promesses d'emploi à temps plein. Qu'il a agressé son supérieur hiérarchique et quelque-uns de ses collègues en saccageant les locaux, à peine ralenti par la sécurité, fou de rage. Qu'il a pu partir avant l'arrivée des autorités pour finalement rentrer chez lui. Quelques questions et déductions auront suffit à comprendre que le jeune employé était destiné au licenciement par sa seule position d'employé temporaire, Que les tensions tacites avec certains de ses collaborateurs étaient nombreuses.

L'enquête révélera l'évident : ce fait divers est celui d'un homme qui a craqué. Les médias s'empareront de l'affaire le temps de quelques papiers, rapidement. Les témoignages et récits de ceux présents dans les locaux parleront d'un individu invulnérable, parsemé de plaies et hématomes, de naissances de cicatrices avortées en une régénération instantanée. Quelques secondes, et le cadavre en devenir redevenait entier. Encore, encore et encore. Un ballet infini de cicatrices ouvertes, puis refermées.

C'est un jeune reporter qui aura eu l'idée, en entendant ces descriptions. « Scar ». Dix ans plus tard, le nom continue de retentir de temps à autre dans les médias. Dix ans, pour un enfant qui est devenu un homme bien différent.
 

Comment votre personnage réagirait-il s'il était témoin d'un crime ?
A l'envie.

Comme d'habitude. Kenji peut être auteur, témoin, et même victime, en soi. Comme tout le monde. Il peut être l'auteur de bien des choses, et sa façon de faire dépend de bien d'autres choses encore. Agresser par appât du gain, par ennui, par colère... Il a déjà tué pour de l'argent, et a déjà refusé de mener des contrats jusqu'à leur fin par caprice. Parce qu'arrivé devant sa cible, il a décidé qu'il l'aimait bien, parce qu'il ne s'est pas levé, pour x autre raison. D'autres fois, il a juste fait son travail.
Ce qu'il fait, il le fait soit avec le détachement moral d'un homme qui a décidé de se couper des bases éthiques de la société moderne, par intérêt ou envie, soit avec la colère d'un homme qu'on a fait sortir de ses gonds, par impulsivité.

En tant que témoin, là aussi, tout se fait à l'envie du moment. Observer de loin, ou mettre son grain de sel, en la faveur ou défaveur des différents partis. Agresser des agresseurs, voir une émeute de loin et s'y joindre, sauver une femme violentée par seul espoir d'un Juste retour des choses... Ses réactions face au crime sont aussi nombreuses que variées.

En tant que victime, la finalité reste généralement la même : il finit par se défendre, et rendre les coups plus fort qu'ils n'ont été reçus. Ce qui peut changer selon l'humeur, c'est comment il s'y prend, et le temps qu'il passe à « laisser faire ».
Laisser un racketteur déblatérer ses petites menaces, par amusement, pour rire. Ou lui mettre sa semelle au visage dés les premiers mots. Tout dépend.
'Sont de toute façon pas nombreux à avoir voulu racketter un type avec ma trogne.

À quoi ressemblerait une journée type de votre personnage ?
Me causez pas de journée type. J'ai enterré la routine métro/boulot/dodo en même temps que la carcasse défigurée de mon connard de père.

Ca ; c'est ce qu'il vous dira, la réalité est différente : la réalité, c'est que tout le monde a sa petite routine, au moins un minimum. La Routine de Kenji consiste à se réveiller chaque jour dans lieu nouveau : parfois, une chambre d'hotel achetée ou « empruntée », parfois, dans le lit d'un appartement « réquisitionné », parfois, dans couche d'une fille d'une nuit, d'autres fois sur le bitume, sur un banc.

Dés lors, chercher à se nourrir. Ouvrir les meubles d'une cuisine s'il en a une à portée de main, se payer un en-cas en magasin s'il a de l'argent en poche. « L'emprunter », si ce n'est pas le cas. Peu importe tant que le petit-déjeuner est pris : la bouffe c'est sacré.

Ensuite vient la variété. Il s'agit de s'occuper, de vivre. Tout peut être très différent selon sa situation du moment : parfois à rue, parfois hébergé, parfois dans une planque. Parfois seul, parfois mal accompagné. Le reste de la journée, il le consacre à vivre selon les principes qu'il s'est forgé : faire selon son envie et ses besoins immédiats, sans se soucier du reste. Alors la journée de Kenji peut varier énormément, partant de là. Un désir d'adrénaline pourrait le voir partir à la chasse aux boulots douteux, aux sales combines. Un désir matériel le pousserait vers les magasins. La ville est un grand terrain de jeu plein d'aires de divertissement différentes, et il est habitué à toutes les parcourir. Parfois discret, parfois non, il est comme dépeint par les quelques médias qui se sont intéressés à son cas : imprévisible. Parmi ceux qui connaissent son visage, il y a amis et ennemis, quelques personnes de l'ombre qui savent plus sage d'en faire un allié que l'inverse, quelques esprits vengeurs et justiciers qui préféreraient le voir mort ou derrière les barreaux. Il vagabonde entre les deux, tire son divertissement des deux.

A la fin, tout est bon pour remplir son objectif double : tromper l'ennui, bafouer le système. Car aussi désintéressé qu'il aime se faire paraître, il tire un certain plaisir à malmener les bases de cette société qui l'a trop dégoûté.

Entre ça tout ça, déjeuner et dîner, car comme pour le petit dej', la bouffe c'est sacré. Puis lorsque la nuit tombe, un choix s'impose : s'accorder le repos du guerrier, ou pousser encore un peu plus les limites et partir en une nuit de débauche.

Et le lendemain, recommencer. Tout ça jusqu'à ce qu'un jour, quelqu'un arrive à le changer. Le changer pour qu'il cesse de respirer, ou le changer pour qu'il cesse d'être lui. Bonne chance pour les deux.




Derrière l'écran


Pseudo : DC De Seiko
Âge : 21
Comment as-tu connu le forum ? : c séko ki ma di, fo lui doné ler parénaj (comment ça ça marche pas comme ça?)
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : Concrètement c'est un peu mon perso défouloir pour contraster avec Seiko qui a des objectifs définis et une trame plus ou moins tracée. Il est pas dit qu'il finisse pas par avoir un réel idéal à suivre ou quoi, qu'il change de chemin, mais en l'état actuel, son but, c'est d'écouter ses tripes, faire ce qui lui plaît, et lever un ou deux majeurs à la société lorsque l'occasion se présente.  
 maxou’
Nakano Jin Soo
Héros professionnel
Nakano Jin Soo
Profession : Archéologue - Héroïne
Rang : B
Points d'expérience : 44
Renommée : 120
Alignement : Rebelle
Re: [AV/T - JH] Tokugawa Kenji - Kill me if you can || Lun 10 Sep - 19:37


Bienvenue sur le forum


Quand tu parlais de personnage défouloir, tu ne mâchais pas tes mots. En tout cas, j'ai apprécié ma lecture. Et le mélange troisième et première personne, c'était bien vu. Dans l'ensemble, rien à redire sur la présentation - si ce n'est la partie "Alter" un peu courte par rapport à tes habitudes. Le personnage n'a pas de but défini, mais il est puissant - tout en ayant des faiblesses, a de l'expérience (Qu'il est vilain.), et gère son Alter. Donc c'est bon. Je te valide donc rang A, te donne ta couleur et tes accès, puis t'ajoute dans les listings.

Infos/Rappels :
─ Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
─ Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
─ Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
─ Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

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