[AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole
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[AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole

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[AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole || Dim 21 Oct - 0:30

Yao Kame




NOM & PRÉNOM : Yao Kame
ÂGE : 18 ans
SURNOM : Wormhole
RANG : B (si possible)
ALIGNEMENT : Indécis (Neutre Neutre)
PROFESSION : Homme à tout faire, "ancien" esclave
AFFILIATION : Syndicat

ALTER : Blink, téléportation de Yao et toute chose à son contact, limité par son champ de vision. Validé

NOTORIÉTÉ :
* Inconnu de tout système administratif japonais (sans papier).
*Rapport datant de quelques années sur un gamin étranger mendiant dans la rue, toute tentative de l'approcher pour l'interpeller ont échoué.
* Plus récemment, rapport sur un jeune homme en compagnie de personne peut recommandable mais aucune raison d'interpellation à premier vu.
* Fuite d'un individu correspondant lors d'une descente de police dans un établissement contrôlé par des yakuzas, mais enquête abandonné car manque de preuves.
* Suspicions d'activités criminelles liée au syndicat commis par un homme tatoué, mais manque de preuves pour toute inculpation.

PARTICULARITÉS :
* Yao est couvert de tatouages rougeâtres de la tête aux pieds. Il serait bien incapable de dire pourquoi exactement, mais il suppose que cela devait être un signe distinctif de sa famille, avant d'être vendu.
* Il a tendance à se trimbaler torse nu, simplement couvert d'une vieille cape, plus simple à téléporter avec selon lui. Il préfère cela plutôt qu'avouer qu'il n'a pas vraiment les moyens pour se racheter des vêtements.
* Il est très docile, éduqué à être un esclave sage et obéissant.
* N'ayant jamais été à l'école, il est illettré et ne connaît les bases du calcul uniquement pour additionner les sommes d'argent qu'il doit ramener à ses maîtres. De part son manque d'éducation, il est extrêmement naïf sur le monde qui l'entoure.

AVATAR : SCP 076 Abel - SCP Fondation
[AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole F5hv

Origines


Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?
Yao est originaire d'Afrique, né au sein du royaume de Saba. Du moins, c'est ce qu'il pense parce qu'il ne se rappelle plus vraiment ces jeunes années dans son pays d'origine. Il se souvient bien de quelques détails, comme la chaleur, la faim, la soif, le bruit... Mais rien qui ne sorte de l'ordinaire pour son esprit d'enfant.

Très tôt, il a été arraché à sa famille, ou du moins ceux qui aurait pu être sa famille. Du peu de souvenir qui lui reste de cette période, il pense que ce fut peut après l'apparition de son alter. Sa famille devait être désespérément pauvre pour le laisser partir si facilement avec des inconnus, sûrement aidés dans leur deuil par quelques pièces sonnantes et trébuchantes.

Yao fut vendu à un quelconque groupuscule au nom depuis bien longtemps oublié et qui achetait, exploitait et revendait les gamins qu'ils arrachaient à leur famille pour faire leur sale boulot, prendre les risques à leur place pour leur rapporter chaque jour les quelques pièces qui avaient servit à acheter leur liberté.

Enfant soldats et esclaves, obligés d’obéir à des adultes cruels pour obtenir le droit de dormir ou à peine de quoi sustenter les corps en pleine croissance. Ce fut son quotidien durant ces jeunes années, et encore aujourd'hui, il se demande comment il parvint à survivre là où d'autres abandonnèrent.

Inutile de dire qu'il n'aura jamais eut droit à une éducation en bonne et due forme, une éducation qu'il ne recevra sans doute jamais. Il sait ce qu'il doit faire pour survivre et ça lui suffit.

Puis vint le jour où il fut revendu à d'autres maîtres sans grande surprise, qu'importent les raisons de la vente, que ce soit pour ses capacités ou pour son physique exotique, exotique pour l'endroit où on le mena, lui et d'autres camarades.

Avant de poser un pied au Japon, il ne connaissait pas ce pays, mais il apprit à le connaître au fil des ans qu'il passa ici, à travailler au sein du syndicat qui avait racheté sa peau. Il taira tout ce qu'il fut obligé de faire pour eux, préférant clairement oublié la plupart des travaux qu'on le força à faire, qu'il continue à faire encore aujourd'hui. Mais il ne se plaint pas, c'est tout ce qu'il sait faire, obéir pour survivre, quitte à se salir les mains.

Cela fait déjà quelques années qu'il travaille pour le syndicat, tenu en laisse par ces derniers. Il aura appris la langue, difficilement à force d'observer et d'écouter. Il fut ballotté ici et là partout dans le pays selon les besoins des différents petits groupes qui composaient l’organisation, ne restant que rarement au même endroit, ou son mot à dire. Du moins jusqu'à aujourd'hui, semble-t-il. Réussira-t-il à se trouver une place dans ce monde ? Ou au moins au sein de ce syndicat qui aura acheté sa vie ?

Quels sont vos rêves et idéaux ?
Posez lui la question et Yao vous répondra qu'il n'a ni rêve ni idéaux, ou que s'il en a ils sont liés à l'extension du syndicat et rien d'autre.

Il ne cherche qu'à survivre. Vivre un jour de plus, avoir la possibilité de manger chaud et d'avoir un toit sur la tête une fois la nuit tombée.

Et pour cela il est obligé d'obéir presque aveuglément à tout ordre que lui donnerait le syndicat, au risque de se recevoir une punition ou pire, d'être livré à lui même dans un monde qu'il a appris à connaitre mais qui ne l'acceptera jamais, lui l’étranger sans papier avec à peine un nom pour se présenter.

Le syndicat représente peut être sa prison quelque part, les maîtres qui tienne sa laisse mais aux moins ils lui permettent de survivre alors il les suit sans rechigner, sans se plaindre, qu'importe ce qu'on lui demande de faire.
Cependant, il mentirait s'il disait ne jamais avoir rêver, ou au moins pensé à sa liberté, à comment sortir de ce monde pour peut être un jour vivre une vie normal bien qu'il sache, au fond de lui, que cela n'arrivera jamais, pas avec son histoire et tout ce qu'il a pu faire et été forcé de faire, sur sa terre natal ou dans ce pays qu'il a appris à appeler sien à présent.

Quelle est votre opinion sur votre alter et comment percevez-vous l'existence des alters ?
Son alter, aux yeux de Yao, est à la fois sa malédiction et le pourquoi il a réussi à survivre jusqu'ici.

Sa malédiction parce que c'est sans doute à cause de cette formidable capacité que ceux qui aurait dû être sa famille le vendirent pour quelques pièces au premier groupuscule sans scrupule qui passa par leur village.
Cependant, il a appris a relativisé sur la chose, qu'importe son alter ses parents l'aurait vendu, n'ayant sans doute pas les moyens de nourrir une bouche de plus dans la famille. Au moins, avec sa capacité, il aura pu rapporter quelque chose.

Sans Alter, il aurait fini abandonné dans un caniveau, il n'aurait pas tenu plus de quelques jours seuls. Bien qu'il ne soit pas fier de son enfance en Afrique, à se battre chaque jour pour voir le soleil se lever le jour suivant, il doit reconnaître que faire parti d'un groupe, même pet accueillant et très abusif, a ses avantages. Son alter contre de quoi manger et quelques heures de sommeil. Ce fut un bon deal.

Encore aujourd'hui, il ne doit sa survie qu'à son alter, qui le rend utile. Il ne peut pas se permettre de devenir inutile, cela signerait son arrêt de mort.

Sinon, niveau "capacité", il n'a pas à se plaindre de son alter, il est plutôt cool et pratique, surtout pour tout ce qu'on lui demande de faire. Il n'a cependant pas le temps de s'amuser à l'utiliser pour juste lui-même et s'amuser. Il doit conserver ses forces pour mieux travailler.


Trame


Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?
Le garçon ouvrit doucement les yeux, un instant aveuglé par le soleil agressif de sa terre natale. Il n'eut guère le temps de s'adapter et de regarder les alentours qu'un pied vint rencontrer sa hanche douloureusement, signe qu'il valait mieux se lever rapidement pour ne pas se recevoir le deuxième, plus pressant encore.

Le garçon se redressa sans un mot, tout comme ses camarades à ses côtés. Aucun ne se plaignit du comportement brutal de leur gardien, ni même de la soif qui se faisait cruellement sentir après avoir attendu si sagement en plein désert.
Du coin de l’œil, le garçon pouvait voir que les plus faibles d'entre eux ne supporteront sans doute pas le voyage retour, car il savait, par expérience, qu'ils ne toucheront pas une seule goutte d'eau avant leur retour au camp improvisé par leur geôlier, et ce, s'ils étaient chanceux. Ce ne serait pas sûr pas le cas, les adultes qui les gardaient semblaient plutôt agacé du retard de ceux sensé les retrouvé ici, perdu dans le néant et la chaleur.

Déjà, le bruit d'une chaîne cliquetante se fit entendre, suivit du bruit sourd d'une chute. À peine un regard fut lancé sur l'enfant venant de tomber dans le sable brûlant, pas un geste pour l'aider. Leurs geôliers se contentèrent de grogner d'agacement avant de reprendre leurs plaintes entre eux sur cette putain de chaleur les assommant. Les camarades de l’évanoui n'osèrent pas esquisser le moindre mouvement, par peur de se faire punir si jamais les chaînes entravant leur poignet ce m’étaient à faire trop de bruit au goût des adultes.

Et puis que pouvaient t'il faire ? L'enfant à terre semblait condamné à présent et personne parmi les prisonniers n'était près à sacrifier le peu de force qui leur restait pour le tirer avec lui. C'était un coup à finir derrière et mort.
Le garçon n'y prêta pas plus attention, il en avait l'habitude à force, de voir ces camarades tombé petit à petit autour de lui. Les plus faibles et plus jeunes partaient toujours rapidement et rare étaient ceux qui arrivait à un âge tel que le sien.
Ils avaient eut le temps, des années durant, pour apprendre à se détacher de tout autre chose que sa survie seul. Ici, c'était du chacun pour soit après tout.

Le garçon sembla apercevoir au loin un nuage de poussière s’élever au-dessus de l'horizon. Quelle que soit la chose provoquant ce phénomène, il sembla se rapprocher et bien vite le garçon devina la nature de la chose, principalement grâce aux reflets du soleil sur les capots métalliques des voitures arrivant.
Les geôliers ne semblèrent pas avoir remarqué l'arrivé de leur invité, trop occupé à se plaindre du retard de ces derniers.

"Maîtres.", interpella-t-il de sa voix devenu rauque par la soif, pointant du doigt vers les arrivants encore loin.

Bien qu'agacés d'être interrompu, les adultes ne semblèrent pas énervé et aucune punition ne vint, plutôt content au contraire d'avoir été averti avant d'être pris par surprise.
Il ne fallu que quelques minutes pour que les invités arrivés dans leurs belles voitures et camionnettes scintillantes, comme si le sable du désert n'avait pas encore commencé à rongé leur carrosserie propres et parfaites.

Le garçon observa un instant avec curiosité les hommes qui en sortirent, mais finit, comme tout les autres, par baisser la tête, soumis face à eux. Il y été habitué à présent, ce n'était pas la première fois qu'il changeait de main, qu'un groupe échangé ses esclaves et enfants soldats avec un autres contre de l'argent. Cela était son quotidien depuis bien longtemps, pourtant, c'était bien la première fois qu'il vit des hommes étrangers à sa terre natal prendre part à un tel marché. Où allaient ils encore être trimbalé ? Il n'en savait rien, et il valait mieux qu'il n'en sache rien, qu'ils suivent le mouvement et les ordres à la lettre, c'était son seul moyen de survivre après tout.

Les enfants furent parqués dans les différentes camionnettes sans qu'une seule parole ne leur soit adressée. Les acheteurs ne se plaignirent même pas qu'une de leur marchandise n'ai pas tenu le coup à cause de leur retard. D'autres tomberont avant d'arrivée à destination de toute façon.
Et le voyage fut long pour certains, toujours privé d'eau ou de nourriture, ne sortant du véhicule les transportant uniquement pour mieux les parquer dans un autre enclôt scellé.
Quand les portes se rouvrirent, ce ne fut pas sur la chaleur et le désert de leurs terres natales, ce fut sur une nouvelle vie, peut être pire que leur précédente, dans un monde se prétendant civilisé.


Comment votre personnage réagirait-il s'il était témoin d'un crime ?
Yao est constamment témoin d'un crime. Sa propre existence n'est elle pas un crime ? Lui l'étranger sans papier travaillant pour le syndicat pour assurer sa propre survie ?
Yao est devenu insensible, ou du moins, il aime à le penser. Voir un crime ne le dérange plus, il en voit tous les jours après tout. Lui-même, parfois, est l'auteur de crime, contre sa volonté la plupart du temps, mais pour survivre il n'a guère le choix.
Tout tourne autour de sa survie, c'est ça le secret. Il est capable de fermer les yeux même sur le pire crime qui soit si c'est mieux pour sa survie.

Yao tache de rester discret cependant, de ne pas se faire remarquer, que ce soit au sein du syndicat par peur de se recevoir une quelconque punition au moindre faux pas, ou par le reste de la société, surtout par tout ce qui touche à l'autorité. Un simple contrôle d'identité sur sa personne pourrait se révéler désastreux après tout, lui le sans papier sans identité, avec seulement un nom que lui-même s'est attribué dans ses jeunes années.

Alors il vit dans les bas-fonds, là où la loi ne s'applique plus, là où la lie de la société se regroupe pour comploter et mal agir. Il ne peut se permettre d'être choqué à chaque fois qu'il voit quelque chose d'illégal... Ou même un corps de temps en temps. C'est toujours mieux que ce qu'il aurait pu voir sur sa terre natale, plus violente encore.

À quoi ressemblerait une journée type de votre personnage ?
Levé avec l'aube, ou plus tôt si quelqu'un vient le réveiller, souvent sans aucune douceur, aka pas besoin de passer par la case douche si c'est le cas.
Pas de petit déjeuné la plupart du temps, ou s'il a eut suffisamment de chance d'avoir eut suffisamment de nourriture la veille pour en garder un peu au réveil.
Non, il n'a pas vraiment le temps de chômer. Chaque minute compte, car chaque minute représente de l'argent à gagné pour le syndicat.
Le contenu de la journée dépend du travail qu'on lui confit. On lui confit souvent le sale travail que personne ne veut faire.

Sa capacité à se déplacer si rapidement le rend utile pour le transport de marchandises ou d'informations entre les différentes planques du syndicat. Il en connaît la plupart, petite ou importante, quelles entreprises servent de couvert à des activités illégales, quels magasins doit de l'argent au syndicat pour leur "protection".
Il se retrouve souvent chargé d'aller récupérer les "loyers" par ailleurs, l'obligeant à se montrer violent lorsque le besoin se fait sentir, à être insensible face aux suppliques des gens, parce que repartir sans cet argent est synonyme de punition pour sa pomme.
Cela en plus des autres corvées qu'on lui attribue selon la planque qui lui sert provisoirement de toit. Ne serait ce que les corvées de ménages, et ce n'est pas forcément que de la poussière qu'il doit nettoyer. Certaines scènes de crimes méritent d'être camouflées des yeux de la police après tout.

Et ce n'est qu'une fois ses missions terminées qu'il peut penser à lui, et par "lui" il entend juste ce qu'il faut pour se garder en vie. Manger, dormir et autres commodités vitales ne viennent que là, en dernier et souvent le manque de temps se fait sentir sur ce point. Mais Yao ne s'en plaint pas, parce que c'est la seule manière qu'il connaisse pour avoir un repas chaud le soir et un toit pour dormir.

Yao est considéré comme un moins que rien par les membres de l'organisation, plus par les petits nouveaux qui s'amuse à le "bizuter" que par les vétérans qui l'ignore tout simplement en dehors de ordres qu'ils lui gueule à la figure. Après tout, il est "l'esclave avec un alter utile" rien de plus.

Toute autre activité est superflue. Yao n'a pas le temps de s'amuser ou même de se détendre. Tout son temps libre est concentré sur sa survie et rien d'autre.

Cependant, il semblerait qu'avec sa dernière "affectation du moment", sa routine soit encore bouleversé. Ce nouveau maître, Omikage Kaname, il semble être plus enclin à vouloir le tabasser/l'entrainer avec les recru plutôt qu'à l'envoyer faire les corvées ?


Derrière l'écran


Pseudo : Gaarasabla
Âge : 23 patates :3
Comment as-tu connu le forum ? : sur top site (je ne sais plus lequel par contre ;3; )
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : premier forum my hero academia, je n'ai pas de but précis pour Yao pour l'instant :3
 maxou’
Invité
Invité
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Re: [AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole || Lun 22 Oct - 21:27

Sorry pour le double post ;3; Petit up pour dire fiche fini, alter validé. Je suis près à passé sous votre tabl... Marteau monsieur/madame le/la juge ! :3
Gyō Y. Yuna
Chasseuse de Monstre - Apprentie Héroïne
Gyō Y. Yuna
Surnom : Kitsune
Profession : Troisième Année - Filière Héroïque & Stagiaire au Centre d'Appel de Reiwa
Rang : C
Points d'expérience : 172
Renommée : 00
Alignement : Esprit Libre
Re: [AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole || Mer 24 Oct - 21:17


Bienvenue sur le forum


Bonsoir !

J'espère que tu vas bien ! je tiens à m'excuser pour ce léger retard mais je tiens à t'annoncer que je te valide.

J'aime beaucoup ce côté mystérieux et le fait d'être clandestin. Il est clair que tu as tout intérêt à rester dissimulé si tu veux rester ici. Pour moi, tout est okay.

Je tiens quand même à rappeler que le Syndicat est désormais dans l'Ombre et non plus une sorte d'agence de regroupement de Vilains.

Je te souhaite un très bon jeu parmi nous !

Infos/Rappels :
─ Ta couleur et ton rang te sera donné prochainement.
─ Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
─ Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
─ Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
─ Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

Bon RP sur Dawn of Heroes

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Re: [AV/T - YY] Yao Kame - Wormhole ||

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