Surnom : Suijin
Profession : Mercenaire
Rang : B
Points d'expérience : 0
Renommée : 145
Alignement : Destructeur
| [AV/T] Nishiki Saitô || Mar 24 Juil - 2:34 | |
| NOM & PRÉNOM : Nishiki Saitô
ÂGE : 27 ans
SURNOM : Big Bang
RANG : A
ALIGNEMENT : Malfaisant
PROFESSION : Ingénieur - Traqueur
AFFILIATION : Tsukeru
NOTORIÉTÉ : Connu publiquement sous le nom de Big Bang
ALTER : BOOM! - L'art de l'autodestruction
AVATAR : Hirako Shinji - Bleach |
|
Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?Trépidante et infiniment délicieuse.
Après avoir été l'enfant parfait d'une famille encore plus parfaite, Saitô a suivi une scolarité parfaite. Jusque-là, tout semblait parfait, ce qui va de soi, n'est-ce pas ? Sauf qu'il y a toujours un "mais", ou un "sauf", pour notre cas. Sauf que, disions-nous, Saitô exprimait déjà des désirs pervers qu'il cachait le plus parfaitement possible (on y revient) afin de profiter encore plus goulument de cette sorte d'aura de sainteté qui planait autour de lui, et qui le laissait rouler des yeux sur des ambitions espiègles et sournoises. Sauf que, déjà enfant, il ressentait une joie curieuse en voyant les gens souffrir et se rapprocher un peu plus de la mort, au point de croire parfois que la fin de l'homme était le moment de sa vie le plus extraordinaire, si tenté qu'on puisse considérer la mort comme un moment de la vie, vous suivez ?
Sauf que, après avoir suivi le droit chemin pendant deux belles décennies, l'enfant atomique décida de laisser son cerveau se reposer et c'est son coeur qui guida ses pas, l'enfonçant presque inexorablement vers les sinistres sentiers du côté obscur de la Force. Un sentier le long duquel s'enchevêtraient les cadavres fumants, les bêtes glapissantes, les entrailles putréfiées et les dépouilles d'enfants démembrés. Tout ce spectacle sous l'étendard de la justice, évidemment, les scènes de crimes étant autant de petits chefs d'oeuvres sous le regard contemplatif d'un esprit détraqué. C'est dans cet ordre d'idée que, en dehors de sa passion pour la mécanique et l'ingénierie, le petit Shinji découvrît, à ses 21 ans, le goût de la torture humaine, de l'horreur et de la souffrance. Aussitôt, il se rendît compte qu'il était né pour se délecter du désespoir de ses martyrs !
Mais alors, me direz-vous, face à cette rondeur de l'âme, face à cette sensibilité artistique et cette gourmandise exquise, que devint la réputation du jeune ingénieur chargé de traquer les méchants pas beaux ? Celle d'un gentleman un peu loufoque au sourire un peu drôle, pour résumer l'ensemble. Celle d'un homme de goût, d'un courtois gaillard jouant sur les mots et les formules de politesse, mais ne trompant personne sur sa double nature.
Un hypocrite dans toute la splendeur du rôle. Le meilleur de tous : l'hypocrite paradoxale, celui qui ment à monsieur tout le monde, mais qui l'avoue publiquement. Le meilleur dans le pire, en somme.
Bim, bam, boooooom !!!
Saitô rêve de détruire le monde et de le reconstruire à sa façon. Epris de ce funeste rêve, il ne cesse de se démener pour parvenir à trouver la clé qui lui permettra d'arriver à ses fins, tout en sachant que cette dernière nécessite l'aide de ses compatriotes pour trouver l'élu. Cet élu propice au changement et à la création d'un tout nouvel ordre lisse, épuré, divin. En dépit de ses efforts, Saitô ne considère pas que le nouveau monde est fait pour lui et, s'il reste un être malfaisant, il n'est pas égoïste au point de croire que tout doit lui appartenir. Comment priver les gens de leur bien le plus précieux s'il ne leur appartient pas ? Non. Saitô est plus malin que tous ces mégalomanes et il a plus de goût. Tout fonctionne selon des principes asymétriques, des processus contraires. Pour que l'énergie éclate, il faut la condenser. Pour que les gens s'aiment, il faut qu'ils se détestent. Pour qu'il y ait des héros, il faut des vilains. Mais surtout, pour que les gens souffrent, il faut qu'ils connaissent le bonheur ! Un bonheur si grand, si jouissif que le chagrin qui en découlerait n'en serait que plus splendide ! Les hormones du ciel et de la terre ! Le spectacle succulent de la déchéance humaine ! Fabulous.
Saitô s'est toujours senti comme une sorte d'apôtre des dieux en particulier du fait de la possession de cet alter qui, selon lui, le rapproche du big bang, ce qui justifie son surnom. Si vous avez l'esprit déductif et que vous savez lire entre les lignes, vous comprenez peut-être enfin notre petite trame, n'est-ce pas ?
Le big bang est considéré comme la source de la création, la genèse de l'univers. Tout se passe en une fraction de seconde. Un éclair de magie et de transcendance, derrière lequel on ne voit rien, ce qui symbolise dans la littérature scientifique la limite de l'étude, de la déduction et toute forme de raisonnement humain : l'épouvantable mur de Planck. Le sinistre et terrifiant mur de la connaissance, autel des débats les plus endiablés autour de la science, de la religion et du monde ! Le secret des dieux ! Qu'adviendrait-il si ces derniers avaient choisi, pour bien faire, de donner le pouvoir du big bang à un jeune homme ?!
Il va sans dire que Saitô a très vite déliré devant les possibilités et les présages que lui imposaient son alter. Un pouvoir sacré qu'il a hérité d'une entité supérieure, selon lui. Détenteur du big bang, le traqueur de Tsukeru incarne la fin de l'homme, et l'avenir du monde ! Un avenir dans lequel les êtres dépourvus d'alters n'ont sans doute pas leur place. |
Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?C'est l'histoire un peu gore et pas très catholique, je vous le concède, d'un jeune louveteau héritier du pléonasme et d'une louve pas farouche du tout.
Le soleil dardait de ses rayons d'azur lorsque l'aurore apportait à l'ingénieur son lot de bonnes nouvelles. A l'aide de plusieurs compatriotes, il avait réussi à avoir un date sur le Tinder japonais. Elle avait accepté. Elle s'appelait Hinimi et elle avait un quelque chose de spécial : un mari. Pour Saitô, c'était bien plus marrant comme ça. D'une certaine manière, il avait la possibilité de baiser deux personnes en même temps, si vous m'excusez l'expression. Or, me direz-vous, quoi de plus jouissif que de tromper l'ennui en trompant quelqu'un, tout en commettant l'acte le plus perfide du monde sous le masque solennel de la séduction candide ?
Ils se retrouvèrent à un restaurant qu'elle aimait bien et qui lui garantissait l'anonymat. Après plusieurs jours de tchat', il découvrait enfin sa promise et il était un peu surpris de voir qu'elle n'avait pas menti sur sa photo de profil. Contrairement aux autres. Contrairement à lui, d'ailleurs. Pourtant, elle ne semblait pas lui tenir rigueur de la tromperie. Après tout, puisqu'on en était là, autant continuer, non ?
Il avait promis de lui offrir ce repas et de garder la note pour ses frais, en tout bon gentleman qu'il était. La douce Hinimi y voyait quelque chose de macho mais cela lui plaisait. C'est toujours meilleur quand c'est gratuit, se disait-elle. Néanmoins, Saitô l'avait mis en garde : il avait encore du travail pour ce soir, et il n'était pas bon pour lui de s'éterniser. Elle n'y vit aucun inconvénient, au départ.
--- Je prendrais un poulet rôti, s'il vous plaît.
Elle ria. Cela lui faisait drôle pour une première rencontre. C'est comme si Saitô la connaissait depuis toujours, tant il manquait de manière. Et elle n'était pas au bout de ses surprises.
Lorsque le plat arriva, il était tout excité à l'idée de croquer dedans. Fumant, sa conquête semblait crier à l'appétit. "Dévore-moi", murmurait-il dans ses rêves. Il y mit tout son coeur. Il caressa la bête avec sa fourchette avant de soulever une patte et de la mettre en bouche. Puis il s'occupa de l'autre, avant de s'attaquer au coeur du projet. Il planta sa fourchette dedans comme un gros dégueulasse et ce fut un véritable massacre. La viande humide était onctueuse et ferme, aussi en profita-t-il jusqu'à l'explosion des saveurs.
A la fin du repas, lui et Hinimi n'en pouvaient plus, aussi prirent-ils congé de l'endroit.
--- Que dirais-tu de venir chez moi, Saitô ?
Fit-elle d'un air provoquant. L'aguicheuse demoiselle avait tout pour plaire et de fait, elle avait tapé dans l'oeil de l'enquêteur, quand bien même il se disait qu'il devait se préoccuper davantage de son travail. Pourtant, il avait déjà cédé dès les premiers mots.
Une dizaine de minutes plus tard, Hinimi ouvrait la porte de sa chambre.
La suite, vous la connaissez. Vous la connaissez puisque vous l'avez déjà lu. Vous l'avez déjà lu sans vouloir y croire et pourtant vous savez, esprit perfide, ce que représentait cette "fourchette". Reprenez à partir de la commande de poulet rôti, et retrouvez-moi quelques lignes plus loin.
Au terme du rapport, les deux infidèles (l'une à son mari, l'autre à son travail) gisaient sur une véritable scène de crime. Au sens littéral du terme, cette fois. Le ventre de Hinimi était ouvert et elle s'était vidée de son sang. Au pied du lit, Saitô était étendu de tout son long. Il semblait récupérer d'un traumatisme. Mais comment en était-on arrivé là ?
Quelques semaines plus tôt, le garçon atomique avait reçu un mail l'impliquant dans l'élucidation de trois meurtres en série à intervalles réguliers, soit un par mois. A fortiori, il s'agissait de trois célibataires étudiants que rien ne rapprochait en apparence, à part deux choses : le fait qu'ils étaient étudiants, et le fait qu'ils étaient célibataires et qu'ils fréquentaient les sites de rencontres. Jusque-là, c'étaient de maigres indices mais en creusant un peu plus loin, Saitô et son équipe découvrirent que quelques profils communs avaient été approché, dont un en particulier qui semblait réagir de manière particulièrement positive.
Elle s'appelait Hinimi.
Il n'avait pas fallu longtemps au brave Saitô pour commencer les échanges avec la demoiselle et elle confirma toutes les informations qu'il avait déjà collecté sur elle : une première approche solennelle, presque timide, puis de petits caprices jusqu'à la révélation de l'existence d'un mari. Un scénario bien ficelé qu'elle avait mis en place et qui semblait lui garantir l'anonymat, du moins en apparence.
Elle n'était pas bien maline, en fait. Les vrais tueurs en série ne passaient pas par internet et changeaient régulièrement de lieux et de méthodes pour ne pas se faire pincer. Pour celle-là, il suffisait d'aller à la cueillette. Alors, il l'invita au resto.
Le date eut un déroulement normal jusqu'à l'explosion des saveurs. C'est cette dernière qui changea des habitudes de Hinimi, qui avait pour principe d'attendre le moment final pour passer à l'acte morbide. Mais alors que sa main glissait sur son lit, à la recherche de l'instrument du crime, Saitô la bloqua, l'air de vouloir la dominer.
--- Comme tu es viril !
Fit-elle en simulant l'extase, tandis que son prétendant continuait de remuer contre elle.
--- Je suis chaud comme la braise !
Lui répondit-il avec un large sourire. Elle eut l'air de ne pas comprendre dans un premier temps, aussi prit-il le temps de la guider dans sa déduction.
--- Sais-tu quel surnom on me donne ?
La main toujours bloquée par celle de son camarade nuptial, Hinimi semblait vouloir se prêter au jeu.
--- Non, brave inconnu. Comment veux-tu que je t'appelle ?
Elle laissa s'échapper un sourire, mais remarqua toutefois quelque chose d'étrange. Saitô semblait ralentir, comme s'il s'apprêtait à faire quelque chose.
--- Big, Bang.
--- Qu'est-ce que... ?
Il renforça sa poigne afin de s'assurer qu'elle ne lui échappe pas.
--- Big... BAAAAAANG !!!!
Une explosion de jouissance et d'horreur ! Un moment de grâce durant lequel le masque du monstre fit face au masque de l'épouvante ! La chaleur monta jusqu'à la fameuse fourchette toujours logée entre les cuisses de l'infidèle Hinimi et, bien qu'elle tentasse de se débattre, cette dernière ne parvint pas à s'extraire du cauchemar qui s'était plongé en elle. La fourchette explosa comme une bombe atomique et déchira le ventre de son hôtesse, faisant gicler son sang dans toute la pièce ainsi que sur Saitô.
Exténué, il se laissa tomber au pied du lit, satisfait d'avoir à la fois résolu une affaire et commis un meurtre déloyal et splendide, plein d'horreur, de mensonges, de plaisir et de souffrance ! Une délectation qu'il savoura presque une minute entière, ce qui lui sembla n'être qu'une maigre seconde, tant c'était délicieux !
Il lui fallut alors se rétablir, et sonner ses collaborateur pour investir la scène. Ils arrivèrent dans les instants qui suivirent, alors que notre Nishiki national finissait de remettre sa chemise. Il leur adressa un regard méfiant, avant de clôturer le débat.
--- Cible neutralisée. Malheureusement, j'ai été contraint de l'abattre. Je n'ai rien pu faire. Nettoyez-moi ça et appelez son mari.
Un mensonge de plus, mais au point où il en était, cela devenait une habitude. Il fallut deux bonnes heures avant que le mari ne se présente sur les lieux, l'air effaré par ce qu'il constatait : sa femme gisait sur un brancard, le ventre explosé, et les murs de son appartement étaient couverts de son sang. Saitô s'approcha de lui avec un air de triomphe. Il lui expliqua la tendance psychopathique de son épouse, ses méthodes, la fréquentation des réseaux sociaux, et qu'ils avaient dû l'abattre. Il resta cordial jusqu'à la touche final, observant que le mari sombrait dans le désespoir.
--- Et puis, pour avoir visité votre lit également, je peux vous dire qu'elle n'était pas très farouche. C'est une manie de toujours mordre l'oreille de ses prétendants comme ça ?
La fin justifie les moyens. Mais surtout, la fin, c'est le début de la vie !
Si les arbres se nourrissent de l'humus, si les carnivores vomissent les plantes et qu'ils ne peuvent se repaître que de bêtes de sang, c'est que la mort a une relation privilégiée avec la vie. Donc, elle n'est pas si terrible. Selon notre Saitô atomique, le crime n'en est un que parce qu'on lui donne un nom, parce qu'on le moralise et parce qu'on le légifère. Si la pensée humaine et le progrès n'avaient pas parasité l'esprit des hommes, alors, dîtes-moi, qu'advient-il du meurtre ? Il est lot quotidien de l'animal sauvage et, dans son programme génétique, l'homme est pourvu de ces pulsions morbides. Aussi, si elles existent, n'est-ce pas pour qu'elles s'expriment ?
Dans un nouveau monde, Saitô voit rejaillir le règne du plus fort et il va de soi que dans cette perspective, il considère que l'homme retrouverait un peu de ses vraies valeurs. Les enfants jouent à se battre et ils continuent en grandissant dans les jeux vidéos et sur les forums RP parce que le faire dans la vraie vie est proscrit ; et pourtant, la plateforme du virtuel leur permet de retrouver un peu de leur superbe ! C'est bien scientifiquement ce qu'il faudrait démontrer, selon son point de vue. La catharsis du multimédia, reflet du caractère psychopathe de l'humain.
Les tueurs en série sont donc en quelques sorte les héros de Saitô, et c'est bien la raison pour laquelle il les traque. Endiablé par des idées corrompues, il ne cesse de savourer le spectacle de la criminalité dans tous ses états, en attendant le merveilleux jour où il trouvera l'élu, celui qui apportera la solution ultime. Cette maudite vis n'avançait à rien. L'ensemble du dispositif prenait un mauvais tournant et c'était peu de le dire, vu que le problème tenait à une vis. Il avait resserré les deux chapes l'une contre l'autre et l'alliage qu'il avait lui-même commandé pour la fabrication de cet engin de la mort n'avait rien d'un meuble Ikea sur le papier. Il voulait éviter de consolider l'ensemble par la seule technique de la soudure car, gré des utilisations de cette machine voleuse de vie, la chaleur serait peut-être trop conséquente et pourrait conduire à la dislocation pure et simple des deux compartiments.
Mais cette vis, putain.
Le fait que l'ustensile soit lui aussi fabriqué dans un alliage spécial destiné à résister aux sources intensives de chaleur n'arrangeait rien à la chose et même avec la machinerie lourde, il n'était pas parvenu à corriger le travers inexorable que prenait cette vis lorsqu'elle s'imbriquait dans l'orifice. D'autant qu'à chaque fois qu'il ratait sa tentative, tout l'engin explosait, disséminant ses pièces un peu partout, comme un château de playmobiles détruit, et cela le confrontait à la tâche répétitive du tri, de la refabrication, du réagencement.
Ca aurait été bien plus simple s'il avait décidé d'être un héros de Seigi, lui aussi.
Mais non, il avait choisi le boulot d'ingénieur et il ne devait ce choix qu'à lui-même et à ses lubies fantastiques. Seul dans son laboratoire, il continuait de peaufiner cet objet héroïque destiné à recueillir un maximum d'énergie pour déclencher un propulseur sous forme de flammes, permettant à son possesseur de pouvoir atteindre la vitesse grand V, et de dégommer des méchants beaucoup plus vite.
--- Mais bordel, il me casse les couilles, avec son engin de merde.
Cet appareil ne faisait pas partie de ses fonctions. A la base, il avait choisi de faire valoir ses talents d'ingénieur à Tsukeru pour des radars et autres bidules de détection. En valorisant le système des traques, il augmentait ses chances de trouver son élu et de s'approcher de son nouveau monde. Pour autant, il aurait été trop simple de réussir tout cela sans consentir quelques sacrifices : mais ceux-la, il les haïssait particulièrement.
--- J'ai pas signé pour fabriquer des pigeons, moi.
C'est un peu ce qu'il songeait, en composant une machine destinée à faire voler son petit héros beaucoup plus vite.
Sauf que, parce qu'il y a toujours un sauf, dans ses songes, ce petit héros s'écrabouillait contre un mur.
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Pseudo : Ryöhei/Nobusuke/Sora
Âge : 27 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Reroll
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : A court terme, assouvir ses désirs les plus pervers, d'ordre matériel. A moyen terme, mettre au point une machine de guerre capable de dévaster le monde. A long terme, faire partie du comité vainqueur désigné pour gouverner le nouveau monde.
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maxou’ |
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Bon on en avait déjà parlé hein :3
)
