Otohime, l'impératrice des mers | ... AND SPLASH. *à vendre*
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Otohime, l'impératrice des mers | ... AND SPLASH. *à vendre*

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Otohime, l'impératrice des mers | ... AND SPLASH. *à vendre* || Ven 8 Juin - 18:01

YAMAMOTO KYOGOKU




NOM & PRÉNOM : Yamamoto Kyogoku
ÂGE : 28 ans
SURNOM : Otohime, l'impératrice des mers ♫
RANG : S
PROFESSION : Pop Star • Cheffe de Kyuunan
AGENCE : Kyuunan
ALTER : Water's Shape - L'alter Water's Shape permet à son utilisateur de manipuler l'eau et d'en contrôler les états. On peut ainsi passer de la vapeur à la glace, en passant par tous les intermédiaires, et manipuler l'eau sous toutes ses formes.ici
AVATAR : Ren Kougyoku - Magi
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Présentation


PHYSIQUE & CARACTÈRE
De nature charmeuse, Kyogoku affichait noblement son corps avec lequel rien ne pouvait lui faire obstacle. Une silhouette en sablier, des hanches rebondies et des jambes longilignes, pour ne citer que ces qualités, étaient amplement suffisantes pour que tout le monde s'accorde sur le fait que l'héroïne possédait un charme certain. Forgée par des années d'entraînements, la jeune femme était élancée : un mètre soixante-dix de haut et soixante kilogrammes bien répartis. Elle était considérée comme une nymphe des temps modernes, enfin elle était en réalité la première personne à se considérer ainsi. Elle aimait utiliser ses atouts physiques à des fins frauduleuses, ne serait-ce que, par exemple, pour gagner un combat en jouant de son charme : combien d'hommes avait-elle réussi à soumettre de cette manière ? Sa poitrine généreuse, sa sveltesse incontestable et sa fébrilité apparente trompaient ses adversaires, c'était un atout pour cette combattante qui se voulait femme fatale à tous les niveaux.

Glamour, féminine et extravagante, elle aimait faire sensation lors de ses sorties. Fière des formes qui avaient fait d'elle cette égérie de Kyuunan, elle appréciait les vêtements de soie assez souples pour permettre la fluidité de ses mouvements. Son opulente chevelure azuréenne longeait son visage aussi blanc que la porcelaine, accentuant le teint bleu de sa coiffure et la froideur de sa beauté. En effet, Yamamoto-Hime semblait comme intouchable et inatteignable, une beauté aussi cruelle et froide que l'était le tranchant d'une épée. La jeune femme ne laissait personne indifférent à son charme, mais elle avait la réputation de n'être qu'un fantasme, née pour soumettre les hommes. Cependant, même si quelques mauvais perdants s'entendaient à dire que Kyogoku n'était rien d'autre qu'une playmate, il suffisait de regarder son regard rose pour comprendre qu'elle était poussée par la détermination et la soif de victoire. De plus, comme si cela ne suffisait pas, les hommes qui avaient eu la chance de pouvoir l'embrasser disaient ses lèvres aussi pulpeuses et douces qu'une pêche.

Yamamoto Kyogoku était une femme terriblement confiante et orgueilleuse. Imbue d'elle-même, elle se pensait insurpassable : sa force résidait à vrai dire dans cet excès de confiance, mais n'était-ce pas un défaut que de ne jamais se remettre en question ? Elle pensait pouvoir porter tout le poids de l'agence sur ses maigres épaules. Elle avait peur de perdre ses proches et elle avait appris par le passé qu'on ne pouvait compter sur personne d'autre que sur soi-même pour les protéger. De cette confiance, elle en tirait néanmoins quelques atouts : son charisme qui portait haut les couleurs de la société héroïque, sa rhétorique qui lui permettait de remettre à sa place n'importe quel fauteur de troubles et bien plus encore, son ambition qui ne connaissait aucune limite. Petite, on lui avait enseigné qu'il fallait pouvoir compter sur ses coéquipiers, mais elle avait appris à ses dépens qu'on ne pouvait pas leur faire confiance. Néanmoins, depuis qu'elle dirige Kyuunan, elle a dû se résoudre à redonner une petite partie de sa confiance à ses coéquipiers : elle ne pouvait pas gérer l'ensemble de l'agence sans l'aide de ses adjoints. Et même si ses vieux démons du passé ne l'avaient pas quitté, il fallait avouer que la complicité qui existait au sein de la troupe de son équipe lui avait permis de franchir une étape.

En tant que cheffe, elle savait néanmoins contrôler son orgueil et sa méfiance. Kyogoku n'était pas seulement une femme aux formes aguicheuses, c'était une ancienne élève de Yuei, la fille du précédent chef et, qui plus est, une talentueuse tacticienne et capitaine. Même si elle aimait se mettre en valeur, elle n'était pas pour autant un tyran qui ne cherchait que son propre intérêt. Bien au contraire, elle pesait chacune de ses décisions avant d'agir et elle prenait souvent celle qui lui semblait la moins compromettante et la plus profitable à tous. Mais, pour être honnête, elle agissait la plupart du temps avec son cœur. De plus, elle essayait de faire part de ses décisions avec la plus grande rigueur : celle qu'on exigeait d'un dirigeant digne de ce nom. Elle possédait également un esprit assez ouvert, la différence ne lui faisait pas peur et il était, selon elle, inconcevable de ne pas profiter des qualités de chacun pour mettre à bien ses objectifs. Après tout, si nous étions nés tous différents, c'était bien pour une raison.

Charmeuse et tacticienne, l'héroïne plaisait aux hommes et n'hésitait jamais à se servir de ses atouts de femme pour remporter une victoire. Sa langue de vipère était bien plus tranchante que n'importe laquelle de ses épées : elle n'avait aucun remords à blesser ses adversaires par les mots et encore moins à les déstabiliser pour remporter une victoire. Après tout, ne disait-on pas que lors d'un combat, tout était permis ? Les femmes, dépourvues de la résistance colossale masculine, devaient bien trouver un moyen de retourner la balance : si les hommes étaient de biens plus endurants combattants, les femmes étaient bien plus perfides et vicieuses. Son maître d'armes lui avait toujours appris que le guerrier qui était maître de soi pouvait tout surmonter, elle ne devait jamais céder face à ses sentiments et rester maître d'elle-même. Cependant, mauvaise joueuse, elle avait horreur de perdre. Que ce soit lors d'un combat ou lorsqu'elle jouait, la jeune femme ne supportait pas la défaite. Son esprit vif et avisé aimait avoir le contrôle des opérations et, par conséquent, le facteur chance était l'une de ses phobies avec laquelle elle n'avait jamais su s'entendre.

HISTOIRE


C'était un hiver de l'année X273. La neige tombait sur les toits de Kyoto et des cris retentissaient au même moment dans la demeure du clan Yamamoto. Yamamoto Ayako, qui était la femme de Yamamoto Zeiko, accouchait de son dernier enfant : l'absence de phallus était incontestable, c'était une fille. Elle était la cadette d'une famille de quatre enfants. Ils la prénommèrent Kyogoku. Au fil des saisons, elle grandissait et ressemblait de plus en plus à sa mère. Ses cheveux azuréen et ce regard rose étaient les mêmes que ceux d'Ayako et cette beauté naturelle qui était sienne avait échu à la fillette. Pour son bien, et parce que l'ascension de Zeiko au sein de l'agence Kyuunan inquiétait de plus en plus la vie de sa famille, il fallait qu'elle s'en aille et la meilleure solution avait été de l'envoyer chez ses grands-parents. Yamamoto Kouha, son grand-père, n'y voyait aucune objection : son fils était, selon lui, bien meilleur héros que bon père. Cette enfant, choyée de tous et surnommée la Yamamoto Hime, se trouva être une aubaine pour ce noble à la retraite. À l'âge de quatre ans, elle démontrait des aptitudes hors du commun de manipulation aquatique. L'intuition de Kouha l'avait amené à apprendre l'art de la guerre à sa petite fille, tout en lui apprenant comment maîtriser son alter. Le clan Yamamoto était réputé pour ses alters en rapport avec l'eau, ce fut donc tout naturel que le plus ancien apprenne à la plus jeune à s'en servir.

Les années passèrent et ses capacités hors du commun lui offraient de nombreuses possibilités et elle surpassait désormais son grand-père, qui s'était improvisé en maître d'armes. Son alter n'était pas simplement basé sur la manipulation de l'eau, en réalité elle pouvait même en contrôler les états. Elle venait de fêter ses quinze ans lorsqu'il fut décidé de l'envoyer continuer son apprentissage à Yuei, reçue parmi ces élites qui présentaient toutes des prédispositions à devenir les héros de demain. Yamamoto Kyogoku avait fait preuve de capacités surprenantes lors des examens d'entrée et elle avait ainsi réussi à exaucer l'un des souhaits de son grand-père. La jeune femme allait devenir une élève du célèbre lycée, mais elle ne reverrait pas de si tôt sa famille. Ses débuts dans l'école furent plutôt satisfaisants. Elle avait d'ailleurs rencontré peu de temps après son arrivée Hayasa Ryūzaburō, un camarade de classe avec lequel elle s'entendait particulièrement bien. Ce fut d'ailleurs lors de ses entraînements à la maîtrise de son alter qu'elle noua une profonde amitié avec le garçon, ce dernier n'hésitant pas à jouer la cible pour aiguiser la précision de la jeune fille. En cours, elle montrait certaines facilités et notamment lors des cours de stratégies ou de contrôle : elle semblait être une tacticienne née. Espiègle et belle, elle s'amusait déjà à faire tourner la tête des adolescents du lycée. Elle éprouvait cependant quelques difficultés avec les cours de gestion. Aussi têtue et acharnée que pouvait l'être sa mère, elle redoubla dès lors d'efforts pour assurer et acquérir les compétences indispensables pour reprendre la tête de l'agence familiale.

La cadette du clan Yamamoto présentait également un intérêt tout particulier pour la chanson : petite, elle avait déjà montré quelques signes avant-coureurs, mais c'était désormais véridique. Kyogoku désirait briller et diversifier son image. Elle suivait à cette fin des cours particuliers afin de maîtriser sa voix. Tout comme elle avait pu s'entraîner avec ardeur pour améliorer ses capacités, elle avait travaillé d'arrache-pied pour parfaire son chant. Posséder des capacités exceptionnelles ne faisait cependant pas tout. La jeune femme était assidue en cours et comptait parmi les meilleurs de sa classe, mais l'écart se creusait lorsqu'il s'agissait des exercices pratiques. Elle se débrouillait au corps-à-corps, mais sa véritable force résidait dans son esprit vif et avisé, ainsi que sa maîtrise de l'eau. On pouvait dire qu'elle connaissait toutes les caractéristiques de l'H20 et elle se servait de ses propriétés pour agir efficacement. La plupart de ses missions étaient couronnées de succès. Et ses défaites ? Elle ne les acceptait pas et elle culpabilisait le plus souvent de ne pas être parvenue à être assez forte. Les élèves la surnommèrent rapidement Otohime, en raison de sa réputation de charmeuse et de son attaque fétiche : le torrent du dragon aquatique.

Depuis son arrivée au lycée Yuei, Kyogoku avait montré de nombreuses facilités dans tout ce qui avait attrait au sauvetage. Simple mission de repêchage comme protection des habitants lors d'une catastrophe naturelle, ses capacités faisaient d'elle une sauveteuse émérite. Ce n'était pas la spécialité de l'agence familiale pour rien, le clan Yamamoto était formé pour être l'élite des héros du pays. Après ces trois années de travail acharné, elle s'était constituée un petit réseau qui lui permettait d'agir efficacement. Elle avait également su se vendre lors des différents tournois et avait percé dans le milieu du Show-Business en tant que Pop Star. Nombre de candidatures lui avaient été adressées, mais une seule l'intéressait : celle de l'agence centrale de Kyuunan. Elle n'avait alors que dix-huit ans quand elle obtint sa licence héroïque.

L'an 294 était une année qu'elle n'oublierait jamais : c'était la mission Fournaise. Yamamoto-hime était chargée d'évacuer une île en pleine éruption volcanique avec son équipe. La mission paraissait plutôt simple en théorie, mais quelques éléments vinrent ajouter des complications à la situation. L'éruption se révéla plus ardente que prévu, elle n'avait pas réussi à contenir le magma et deux membres de l'agence avaient péri. Elle était l'unique survivante, alors qu'elle s'était portée garante de leur sécurité. C'était la fin d'une époque fastueuse et glorieuse. Ces premières tâches ternissaient la lumière qui rayonnait à cette époque autour d'elle. La célèbre Otohime avait échoué, entraînant la mort de deux sauveteurs talentueux. Pour elle, il n'était plus question de repartir en mission. Otohime ne voulait plus perdre ses camarades et, dans une profonde déprime, préféra arrêter temporairement ses activités. Elle se concentra dès lors dans sa carrière de pop star pour redorer le statut de héros et faire de la publicité pour son agence.

Les premiers morts, c'était toujours quelque chose de douloureux. Il s'écoula un peu moins d'une année. Durant ce laps de temps, elle avait pu affiner son image d'héroïne populaire, mais des affaires bien plus urgentes à régler vinrent la préoccuper. Yamamoto Kyogoku, capitaine de l'unité de sauvetage maritime, désormais seule, ne pouvait supporter que d'autres membres de l'agence périssent. Elle avait prévu son plan dans la foulée, renseignée par ses intermédiaires et propulsée sous l'eau grâce à son alter. Une mission de sauvetage virait au cauchemar, un paquebot coulait et des vilains s'attaquaient tant aux héros qu'aux civils. Parmi les plus rapides sous l'eau, Otohime, bien qu'effrayée, ne put réfréné cette sensation qui poussait tout un chacun à voler au secours de ceux qui en ont besoin. Elle utilisa ses pouvoirs pour stabiliser le navire et renversa la situation, permettant à l'agence de réussir la mission. Elle était désormais revenue sur le marché des super-héros, riche d'une popularité de pop star héroïne et de l'amère expérience de la mort. C'était sa façon à elle de signer sa rédemption, sa façon de tourner la page et de pouvoir reprendre du service au sein de l'agence.

Kyuunan était réputée pour la qualité de ses interventions et les compétences de ses membres pour palier aux pires catastrophes naturelles, mais elle avait désormais un nouveau visage. Ses qualités de stratège émérite et sa popularité lui permirent de rapidement gravir les échelons et, en moins de deux années, elle obtint la considération et le respect de ses collègues. Ses talents au sein de l'unité de sauvetage lui avaient permis de mener à bien de nombreuses missions, notamment les missions maritimes. Le « vieux », comme elle aimait l'appeler, comptait sur elle pour reprendre le flambeau : Kyuunan ne manquait pas de membres compétents et braves, l'agence avait juste besoin d'une forte tête charismatique. Yamamoto Zeiko avait foi en ses capacités et ses hauts faits avaient démenti la plupart des dires de ces médisants qui ne croyaient pas en elle. Une pop star à la tête de Kyuunan, ce n'était pas acceptable. Mais après tout, son charisme et sa manipulation de l'eau étaient incontestables. Qui plus est, il s'agissait de Yamamoto-hime, la fille de l'actuel chef. Elle était toute désignée à reprendre le flambeau, quand bien même elle n'avait pas le sérieux de son père, elle n'en restait pas moins appréciée de ses semblables. Et ce fut tout naturellement qu'en l'an 300, lorsque Zeiko se débarrassa de sa charge, Yamamoto Kyogoku fut instituée cheffe de Kyuunan.


Derrière l'écran


PRÉNOM : Rose
ÂGE : 22
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? : Par l'alliance entre la Bretagne et la Normandie.
MOT DE LA FIN : Bouh ?
 maxou’
Hibiki Ayane
Civil
Hibiki Ayane
Surnom : Sound Wave
Profession : Actrice
Rang : S
Points d'expérience : 1724
Renommée : 290
Alignement : Juge
Re: Otohime, l'impératrice des mers | ... AND SPLASH. *à vendre* || Dim 10 Juin - 4:27

Myyyyyyyr ! Very Happy

Je m''ennuyais de ton style si doux et agréable.

Alors beauté, je te valide rang S et cheffe de Kyuunan sans problème !

Infos/Rappels :
- Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
- Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
- Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
- Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

Pour ta couleur et toussah, un administrateur passera bientôt !

Bon RP parmi nous :3

PS:  Suzaku gagne 50 yens encore !
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