Surnom : Shadowman
Profession : Héros (sous supervision)
Rang : B
Points d'expérience : 446
Renommée : 115
Alignement : Rebelle
[AV/T]Adonis Lamperouge || Dim 20 Oct - 19:26 | |
| SURNOM : Shadowman ORIGINE : Franco-Japonais AGE : 22 ans ALIGNEMENT : Chaotique bon PROFESSION : Héros professionnel NOTORIÉTÉ : Encore inconnu au Japon. Un léger palmarès en France, en tant que policier. ALTER : OmbreAVATAR : Sung Jin-Woo (Solo Leveling) - @Adonis Lamperouge |
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Description Physique et Psychologique du personnageAdonis est une personne bien formée. Du haut de ses vingt-deux ans et ayant bien terminé sa croissance, il culmine à quelque un mètre quatre-vingt-dix de hauteur, un petit parmi les grands. Mais aussi un grand parmi les moyens, si l'on peut dire ça comme ça. Sa taille ne lui a jamais posé problème, elle est même plutôt un avantage pour son métier, lorsqu'il se retrouve confronté à un opposant. Plus simple d'impressionner lorsque l'on est un minimum intimidant et la taille joue pour beaucoup dans ce rôle. Il faut dire qu'il n'est pas non plus en reste côté poids, avoisinant presque quatre-vingt-cinq kilogrammes. Un corps sculpté avec force et ingéniosité qui ne laisse aucune place au hasard. Un torse large arborant de grands et fins muscles, d'épaisses épaules et un large dos s'affinant au fur et à mesure que l'on descend pour ne laisser qu'une taille svelte et élégante. Un excellent contraste soulignant à la fois la force et l'agilité de la personne. Puissant et habile, tous les avantages réunis d'une jeunesse bien vigoureuse.
Aucune pilosité, hormis cheveux cils et sourcils, n'est présente sur son corps. Il arbore une peau glabre, toute lisse et exempte d'un quelconque défaut. Sa coupe de cheveux dénote bien de son envie de bien paraître. Rasé sur les côtés et à l'arrière du crâne, une épaisse crinière est présente sur le dessus de la tête. Toujours bien coiffée et peignée, elle affiche une couleur d'un noir profond, semblable à de l'ébène, contrastant quelque peu avec sa peau assez claire. Il arrive souvent qu'Adonis se retrouvent avec les cheveux devant les yeux, sans pour autant altérer sa vision.
De part son alter, il essaye de ne pas trop s'exposer au soleil. De ce fait aucune forme de bronzage n'est présente sur son corps. Mais ça ne fait que rajouter une légère touche de charme au personnage, un côté mystérieux et vampirique qui ne laisse pas indifférente la gent féminine. Aucun tatouage ou aucune cicatrice n'est visible lorsqu'il est nu. Uniquement dû à un pouvoir très utile et un travail médical de premier ordre, car les batailles ont déjà été légions.
Une chose par contre saute aux yeux lorsqu'on le regarde. Il s'agit de la couleur de ses pupilles. D'ordinaire arborant une sorte de mélange de vert et de marron, un kaki légèrement foncé, ils changent radicalement lorsque Adonis utilise son pouvoir, devenant dès lors lumineux, avec une légère lumière blanche aux teints bleutés. De quoi donner encore plus une impression de domination et d'intimidation. Mais sans trop attirer l'attention, les yeux forment un ensemble parfait avec le reste du visage. Avec une forme en amande, petits mais montrant un regard vif et pénétrant, ils sont accompagnés de fins sourcils délicatement taillés pour un ensemble perçant et scrutateur. Le nez, léger et rectiligne, respectant une droiture sans pareille, donne accès à une bouche sensuelle et pincée, aux étroites lèvres roses. Tout cela couplé à un teint clair, frais, même parfois rosé et une forme de visage triangulaire, avec un menton pointu, donne une physionomie très charmeuse, une beauté à couper le souffle. Ce n'est sans compter sur une expression mélancolique, fermée et légèrement renfrognée qui ne donne pas forcément envie aux civils de le suivre, même si ses intentions sont bien louables.
Vestimentairement parlant, Adonis est souvent bien habillé. Pantalon de costume s'arrêtant aux chevilles, chaussures en cuir brillant et une chemise de grand standing bien serrée à l'intérieur du pantalon. De quoi donner une impression d'homme riche, grand homme d'affaire, quelque peu hautain et puissant. Mais ceci n'est bien sûr qu'une image.
Sa voix quant à elle n'a rien d'anormale. Une diction parfaite, une très bonne articulation, aucun bégaiement, de quoi être compréhensible par tout le monde. Légèrement grave, forte et puissante, elle permet donc de s'exprimer avec aisance, sans aucune hésitation, renforçant beaucoup son image de héros.
D’apparence générale et lorsqu’on le regarde pour la première foi, Adonis paraît froid, distant, hostile. Voir glacial. C’est surtout du fait de sa tenue et posture. Droite, élégante, majestueuse. Donnant presque l’impression qu’il se pavane avec une démarche ferme et assurée.
------------------- L'être parfait n'existe malheureusement pas. A l'image d'Eve ayant ouvert la boite de Pandore, tout le monde possède une multitude de péchés, cette transgression délibérée ou non de lois divines ancestrale, ayant traversé la nuit des âges. Personne ne peut les faire disparaître, les cacher ou même s'en défaire, c'est comme ancré dans l'âme des gens. Pour Adonis, son principal vice doit être la gourmandise, cette façon d'être toujours attiré par la nourriture, vouloir déguster tous les différents mets délicieux sans jamais s'arrêter, faire preuve d'une gloutonnerie à toute épreuve. Il faut donc avoir un mental solide pour ne pas finir en état d'obésité morbide. Comment résister à une entrecôte fumante sortant tout juste du barbecue, dégoulinant de son jus et dont le sel posé dessus fond avec la chaleur ? Notre héros n'en a aucunement la réponse.
Mais dans la caste des envies subites et incontrôlées, la luxure joue parfaitement son rôle aussi. Ce goût immodéré pour la gent féminine, l’envie de caresser les courbes sensuelles et enivrantes d’une fabuleuse succube, créature du diable. Il en viendrait même à se poser la question de qui sauver en premier entre un enfant et une top-modèle. Ce presque fait qu’il ne bascule pas dans l’immoralité, heureusement pour son statut de héros. Il n’hésite d’ailleurs pas à fuir du regard les jeunes femmes, profitant de sa couverture ténébreuse générée par son alter. Sans ça, sa peau ne cesserait de rougir, le faisant rentrer dans un cercle sans fin de gêne et de honte.
L’amour est un sentiment compliqué. Tout le monde a, à un moment ou un autre, éprouvé, ressenti ou subit l’amour. C’est donc le cas d’Adonis, même s’il ne s’en souvient pas vraiment. Quelque peu délaissé par sa famille, n’ayant encore jamais eu de relation amoureuse, il ressent plus de la passion pour un moment spontané qu’un réel amour. La colère par contre, à contrario, est bien réelle dans ce monde et dans le cœur du jeune homme. Une sensation présente en permanence, agissant comme un étau serrant le cœur, contrôlant les actions et faisant agir sans réfléchir. Dangereux et pouvant avoir des répercussions importantes. Mais Adonis essaye de ne jamais y céder, succomber à ce cercle infernal. Car la colère mène à la haine et la haine à la souffrance. Un comportement qui n’est nullement adapté à un héros professionnel.
De son point de vue, l’arrivée des Alters a complètement remis en cause les religions. Pas croyant, il essaye donc de n’apporter aucune importance aux différents cultes et de ne pas juger les autres. Une volonté d’être laïque d’un côté, mais aussi un désir caché d’abolir les sectes et religions qui n’ont, à son sens, qu’une connotation sectaire et malsaine pour la plupart des gens. L’histoire ne cesse de prouver et démontrer la dangerosité de celles-ci et Adonis a tendance à ne retenir que les mauvaises choses. Pourtant très curieux, il s’intéresse à quasiment tout ce qu’il ne connaît pas, faisant de lui une encyclopédie sur pattes. Un avantage dû à son éducation et qui lui permet de se faire son propre avis sur tout et n’importe quoi, avis parfois pas tellement impartial.
Mais, et comme tout bon héros de ce nom, Adonis fait preuve d’un altruisme à toutes épreuves. Une bonté naturelle qui ne cesse de lui donner envie d’aider son prochain. Impossible pour lui de rester de marbre devant une situation mettant en danger un tiers. Agir devient dès lors plus fort que tout le reste, même au péril de sa vie. Sûrement très utile quand on est homme de loi, mais dangereux car on n’évalue pas tout le temps le danger présent. De part son alter, ayant été quasiment isolé des autres toute sa vie, il aime la solitude et tout ce que ça engendre. Quoi de mieux que d’être seul pour réfléchir, penser ? La camaraderie ne le dérange pas, mais il préfère quand même le travail en solo. Ne pas être gêné et ne pas avoir à communiquer, difficile d’être d’accord avec cette manière d’agir à la limite d’un justicier masqué ne travaillant pas de concert avec ses acolytes.
Heureusement, Adonis est capable d’énormément d’empathie. Se mettre à la place des autres pour ressentir leurs souffrances et malheurs. Une qualité lui permettant d’aider son prochain de la manière la plus appropriée possible. Car chaque personne demande une attention bien particulière et ça il l’a bien compris.
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Résumez nous votre Histoire.Tout commença il y a maintenant vingt-deux ans. Né dans un cadre prospère et agréable, d’une famille bien plus qu’aisée aux idéaux bien différents de monsieur tout le monde. Adonis est venu au monde dans une clinique privée de grand standing située dans le sud de la France. Un accouchement effectué dans des conditions idéales et optimales, assisté d’un personnel qualifié et reposé. Pas d’alter dans cet établissement, il ne fallait pas dégrader le nom d’un lieu si prestigieux. Le bébé fut rapide à sortir. Uniquement quelques heures, une efficacité hors du commun. La mère prit l’enfant dans ses bras, signe d’affection et d’amour, pour la première et dernière fois. Montrer de tels sentiments n’est pas digne de la noblesse, surtout quand le père n’était pas présent. Une enfance passée sans encombre. Tout étant servi sur un plateau d’argent, ne manquant de rien, si ce n’est de relations humaines, dans l’immense résidence familiale comprenant Adonis, sa mère, ses grands-parents maternels. Adonis était un bâtard, issu d’un adultère hors mariage. Une famille Ordélia à priori dont le nom était marqué sur son acte de naissance. Avec déjà une petite fille de tout juste un an du nom d’Apolline, mais il n’aurait cette information que des années plus tard. On trouvait aussi quelques domestiques dans la maison. Sa mère était une éminente chirurgienne en neurologie, vieille et respectée, elle-même fille de médecin. Une vieille institution familiale qui n’allait pas tarder à être brisé. Sa grand-mère, japonaise, avait été directrice d’université, également professeur en histoire et langue étrangère. Mais la nationalité japonaise n’acceptant pas de double nationalité, le tout jeune Adonis n’était que français. Chose uniquement sur le papier, car il était accoutumé dès sa naissance aux deux langues. A l’âge de trois ans il parlait déjà couramment deux langues, presque trois avec l’anglais. Langue obligatoire de la nourrisse qui passait la quasi-totalité de la journée et de la soirée avec le jeune garçon. ------------------- Trois ans. Âge où tout bascula. La révélation de l'alter d'Adonis, chose qui chamboula du tout au tout sa vie. Les yeux du tout jeune garçon commencèrent à s'illuminer, par intermittence. Arborant une légère lumière bleue, puis redevenant kaki, sans vraiment que ce soit remarquable. Accompagné de sa nourrisse celle-ci ne remarqua aucunement l'absence de son protégé. Une salle sombre, sans porte ni vitre, d'où il flottait. Dans l'incompréhension totale le futur héros était là, observant dans des reflets situés alentour des images représentant les lieux où il était quelques instants avant. Il y avait même les pièces voisines représentées, le bureau de son père, une salle de bain, les cuisines où s'affairaient des pâtissiers. Une charlotte aux fraises était en préparation, les boudoirs étaient déjà assemblés dans le moule, dont la crème commençait à être incorporée avec les fameuses fraises. Cette vision laissa saliver Adonis, qui par la même occasion se rendit compte qu'il ne pouvait plus respirer. Touchant de l'index la vision du gâteau, il se trouva assis juste devant, dans la cuisine, l'instant d'après. Pas choqué le moins du monde, il se demandait quand même s'il avait le droit de manger le délice en face de lui. C'est à lors qu'un employé de cuisine remarqua une légère fumée noire s'élever. Avait-il fait brûler quelque chose ? Une telle erreur n'était pas digne d'un cuisinier de son renom, impossible. S'approchant pour vérifier, c'est avec stupeur qu'il découvrit le jeune garçon, les yeux arborant une lumière éclatante et la peau dégageant une fumée ténébreuse, d'un noir intense et profond. On aurait dit un enfant des enfers, une créature fantastique qui n'avait pas sa place dans ce monde, et encore moins dans ce manoir. Quelle horrible chose était donc en train de devenir Adonis ? C'est exactement la question qu'étaient en train de se poser ses parents et le reste de sa famille lorsqu'ils eurent vent de cette malédiction. Comment leur cher fils, au sang si noble et pur, pouvait devenir un monstre de foire si disgracieux ? La nature était ainsi faite, sans que rien ne puisse l'altérer, et la vie se devait donc de continuer. ------------------- Six ans. C'est lors de cette année-là qu'il quitta enfin le domaine familial. Indésirable parmi les siens, vivant à l'écart tel un pestiféré, il fallait quand même parfaire son éducation. Bien sûr, l'usage d'alter était une chose formellement interdite et il devait s'y conformer. Direction l'institut de Rosenberg, situé en Suisse. Riche école pour tous les niveaux, uniquement sur demande, pour fils de noble, président, ou autres célébrités. Un coin idéal, reclus dans les montagnes, interdit aux visites et avec un internat. De quoi passer toute l'année sans interruption quelconque. Adonis avait appris à vivre seul, ne pas se faire d'ami, ne pas parler aux autres. Une vie d'ermite avec pour seul contact celui des professeurs. A force d'habitude, il finit par s'en accommoder. Un mental solide fut alors créé, une carapace mentale pour faire rebondir tous les problèmes et vivre sereinement à l'écart de ceux qui ne voulaient pas de lui. Les années passèrent et furent toutes rythmées par trois choses ; les cours, le sport individuel et la maîtrise de son alter. Cette dernière partie à l'abri des regards, ne voulant pas se faire remarquer et briser son destin qui était déjà en route. ------------------- Le futur héros savait déjà quoi faire de sa vie très tôt. Même s'il aimait la solitude, et n'osait pas se mêler aux gens, son empathie naturelle ne pouvait l'empêcher de vouloir venir en aide aux faibles et nécessiteux. Quoi de mieux donc que de rejoindre la police ? Ce n'est qu'une fois le bac scientifique en poche, et au grand damne de sa famille désirant le voir intégrer une faculté de médecine, qu'il passa le concours sous-officier de la Police Nationale. Concours obtenu avec brio, terminant même major de sa promotion. Il n'était aucunement l'occasion de montrer son alter, Adonis n'osait pas et cachait cette faculté avec beaucoup d'efforts. A peine au bout de trois ans et ayant démontré ses formidables capacités de déduction, le jeune policier fut propulsé au rang d'inspecteur pour Interpol. Presque l'apogée d'une carrière du haut de ses vingt-deux ans, de quoi attiser la haine et la jalousie des collègues. Mais il ne faut pas être dupe, en haut lieu, tout le monde était au courant de l'alter d'Adonis, un secret de polichinelle mal gardé, mais important pour le poste qu’il avait dégoté : chargé du contrôle des Alters. Il devait éradiquer les organisations utilisant les pouvoirs pour prospérer et commettre toutes sortes de crimes. Son histoire allait vraiment commencer à partir de ce moment-là. ------------------- Sa première enquête allait le mener sur des traces qu’il n’aurait jamais soupçonné. Berlin, les services secrets français avaient eu vent d’un culte bizarre instauré autour d’une obsession sur les alters. De fil en aiguille, un repère fut trouvé, avec différents recueils et documents censés rester secret. Une certaine Apolline Ordelia était mentionnée dedans. Ordelia ? Apolline ? |
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