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| Taiyo Kurutta le Flamboyant [AV/T] | Surnom : Le Flamboyant
Profession : -
Rang : B
Points d'expérience : 322
Renommée : 96
Alignement : Neutre Mauvais / Malfaisant
| Taiyo Kurutta le Flamboyant [AV/T] || Ven 27 Mar - 17:09 | |
| SURNOM : Le Flamboyant ORIGINE : Japon AGE : 25 ans ALIGNEMENT : Neutre mauvais ou « Malfaisant » PROFESSION : Sans Emploi NOTORIÉTÉ : Une enquête est en cours à propos d'un incendie à Tokyo, Taiyo est recherché comme suspect évident. ALTER : Combustion : L'utilisateur possède la capacité de générer et projeter des flammes. ( https://dawnofheroes.forumactif.com/t3790-combustion?nid=1#24084 ) AVATAR : Shizuo Heiwajima (Durarara) - @Taiyo Kurutta |
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Description Physique et Psychologique du personnageComment êtes vous physiquement, psychologiquement ?
Monsieur est à l'aise, soigné de verbe comme de geste et dont la négligence est toute simulée ; aussi serein que si détendu, là c'est sincère. Lui ne marche pas mais parade comme en plein défilée, ne joue pas les modestes mais est bien orgueilleux avec ses gestes étendus et ses mots lettrés, parfois grossiers mais jamais bâclés. Lui bouge comme on danse, l'esthétique en tête, de la tête aux pieds à chaque instant. Pas si imposant, en bonne condition physique et plutôt fin, presque athlétique, il prend pourtant de la place comme si c'était une montagne de muscle. Sans gêne, Monsieur s'étire tel un félin fainéant à longueur de temps, s'adosse et s'accoude à tout, du genre à s'asseoir à même le comptoir au beau milieu du bar.
Souriant, son attitude théâtrale se veut pleine de nonchalance et d'aisance... mais elle est aussi pleine d'insolence et d'arrogance ! Tout dans sa manière d'être est là pour vous expliquez, par A+B, qu'il n'est pas n'importe qui et que Monsieur Tout-le-Monde ? C'est pas lui.
A chacun de décider d'y voir la marque d'un homme confiant et assuré, acteur principal de la scène qui se joue à ce moment-là ; ou d'y voir un orgueilleux qui va partout comme en terre déjà conquise ; ou encore un fou qui joue les intéressant.
Les cheveux blonds, parce qu'après tout, c'est trop banal d'être brun quand on est aussi nippon. Et c'est une teinture, je vous l'avoue tandis que lui évite la question. Ce détail paraît insignifiant mais il en dit beaucoup ; il a volonté d'être intéressant et de s'ajouter de l'originalité ! Peut-être parce qu'il ne l'est pas vraiment ? Ou parce qu'il ne l'a pas toujours été ?
Tout le monde sait que pour être cool, il faut se foutre d'être cool... ou au moins que les spectateurs pensent qu'on s'en fout.
Lui ne s'en fout pas du tout. Et on y reviendra mais question de goût, il sait rester sobre dans les vêtements parce que son attitude compense suffisamment. Soigné, néanmoins, ne se coiffe pas spécialement mais a tout préparé pour que ses cheveux négligés restent bien coiffés. Peu à peu, et c'est de sagesse ancestrale, sa volonté consciente de bien présenté devient une habitude inconsciente. Pari gagné au moment de s'habiller de micros-cravates soigné, trois pièces ou parfois, plus traditionnels, de kimonos que lui porte à la façon d'un milliardaire en peignoir.
Je vous rassure, milliardaire ? Il ne l'est pas du tout mais quand on vole et qu'on cambriole, l'argent devient vite un concept abstrait.
Comme je vous disais... « Lui ne s'en fout pas du tout. » ! Et j'y reviens comme promis, rien ne le laisse plus furieux que de provoquer l'indifférence ou l'ennui. L'idée d'être banal, de ne laissez aucune impression le rend fou et brise son masque de beau gosse blond de manga qui ne se force pas.
Monsieur est égoïste et très centré sur lui-même, égocentrique même.
La terre tourne autour du soleil et lui avec ? De là où il regarde, c'est pourtant le soleil qui lui tourne autour. Ce n'est pas de l'ignorance, c'est de l'obscurantisme par choix et cette conviction qu'il faut vivre pour soit. Son idéologie, c'est que se considérer comme le centre du monde est le seul moyen d'être heureux... mais il ne peut y avoir qu'un seul centre du monde, n'est-ce pas ? Alors si Monsieur veut une réaction, il l'aura, je vous le garantit et le promet : il est prêt à vous agressez physiquement pour ça, il est prêt à tuer pour ça.
Bonne ou mauvaise, peu lui importe, ce n'est pas à lui de choisir votre réaction mais... quand on veut véritablement provoquer une réaction, on y arrive forcément tôt ou tard.
A part ça, un peu narcissique sur les bords mais pas complètement, lui s'estime intéressant mais entend ne pas être le seul à l'être. Et quand on est à ce point obsédé par le regard des autres, c'est bien qu'on a un peu d'amour pour eux ? Ses yeux sont marrons, sans transition, alors que notre homme se voit comme un artiste et... la vie, le monde, la planète, l'existence... c'est sa scène. La sienne ? Pas tout le temps, parfois on lui vole la vedette et ça ne lui plaît pas tellement, c'est encore une occasion de le voir devenir violent.
Les yeux marrons, c'est encore une fois trop commun à ses yeux mais... il compense et compensera comme il peut, à coups d'envolées lyriques ou de flammes dans la face.
Sur la scène dont je vous parle, il y a lui, l'acteur principal de sa propre vie ! Et vous connaissez peut-être ce dicton qui dit que chaque vilain est le héros de sa propre histoire.
Avec ça, nous avons les figurants... insignifiants, autant de sacrifices et dommages collatéraux qu'il consent à faire et provoquer sans remords. Les spectateurs, aussi, indispensables à sa vie mais qu'il ne voit que comme une masse informe de moutons n'existant que pour rester bouche « bééééééé » devant lui. Enfin, que serait un héro sans antagoniste ? Ce sont les forces de l'ordre, le plus souvent mais touts ceux qui se mettent en travers de son chemin... et ceux-là, qui rendent son histoire intéressante ? Monsieur les remercie tout particulièrement.
Puis il y a touts les rôles secondaires, importants et nécessaires mais secondaires puisque le personnage principal, c'est encore lui. |
Résumez nous votre Histoire.Ici, vous pouvez nous parler de votre passé, de vos expériences en tant qu’Homme, ou en tant que Héros. En somme, il s’agit de retracer votre parcours jusqu’à présent.
Mon père était un héro... était. Son objectif n'était pas la gloire, et je ne sais jamais su s'il était connu ou pas mais... pour moi ? C'était bien évidement l'homme le plus glorieux de tout les temps. Et un peu bête plus jeune, je lui demandais souvent ce que ça faisait d'être un héro, d'être adulé, d'être aimé ! Lui me répondait que ce n'était pas le but et qu'il n'était pas si connu que ça, que ça ne l’intéressait pas. Lui me disait que son acte le plus héroïque était de subvenir à nos besoins et... son credo ?
Ce monde vaut la peine d'être sauvée. Alors je lui demandais... tu sauves vraiment le monde entier ?!
Bien évidement que non mais à ses yeux, à chaque personne qu'on aide ou qu'on sauve est un fragment de notre monde ! Chaque problème résolu, c'est un bout de monde qu'on sauve et si chacun avait la dévotion de résoudre les problèmes ? On serait tous en train de sauver le monde tout les jours, morceau par morceau. Et... disons qu'il faudrait l'entendre me faire ses grands discours bien nobles, appuyés par son quotidien héroïque de travailleur désintéressé pour comprendre.
Mon père réussissait à m'expliquer qu'en rangeant ma chambre, je sauvais un peu le monde et... ouais, je rangeais ma chambre quand un dingue étant petit.
Encore aujourd'hui, je n'ai jamais su s'il était un héro au sens concret et officiel du terme, un justicier ou un policier ou un docteur ou une figure du monde associatif ou que sais-je... mais c'était un héro au sens premier du terme ! On se fiche des détails, finalement, mon père était quelqu'un qui se dévouait corps et âmes pour les autres, un pur altruiste.
Et pendant que lui sauvait le monde, je vivais avec ma mère dans un appartement à Tokyo. Bien que n'étant pas un héro si incroyablement connu ou même un héro au sens officiel du terme, c'était un simple héro de touts les jours comme il y en a tant si j'ose dire et il avait de quoi nous offrir un niveau de vie dont seul un ingrat oserait se plaindre. Évidement, mon père se blessait régulièrement, prenait énormément de risque et se "tuait" à la tâche. Et a fini par en mourir littéralement mais... sa mort n'a pas été celle que cette histoire semble amener.
A force, ma mère -au foyer- a toujours été anxieuse, angoissé et vivant dans la peur de tout, y compris celle de voir mon père se blesser encore une fois ou ne jamais rentrer à la maison. L'inquiétude la rongeait de l'intérieur, elle s'est mise à boire et est tombé en dépression. L'acte le plus héroïque de mon père fut alors de sacrifier sa carrière, passion et vocation pour un travail plus serein et sûr, cadre dans je ne sais plus quel entreprise.
Ma mère en était ravie, rassurée et enfin sereine, presque heureuse mais pas tout à fait non plus ; mon père s'est alors mis à boire puis est entré en dépression avant de « tomber » à travers la fenêtre de notre appartement.
Papa a trop bu et est tombé, voilà, un mélange de maladresse et de malchance. C'est la version de ma mère et celle qui est officiel, si vous voulez. Sauf que ce n'est pas la vraie, bien sûr que non. Et personne n'a poussé mon père à travers la fenêtre, il... il a sauté, tout simplement. Je n'ai aucune preuve mais ça me parait évident, depuis le temps.
Je ne me suis pas mis à boire mais ce fut à mon tour d'être pris d'une violente dépression. Renfermé sur moi-même, j'allais à l'école pour attendre que ça se finisse et ensuite me cacher dans ma chambre.
Alors... oui, mon alter s'est manifesté peu après la mort de mon père mais... d'instinct, je l'ai ignoré et réprimé jusqu'à ce jour si particulier. Cet alter, ce pouvoir, ce talent, cette spécificité... je n'y ai pas vu une opportunité mais un danger et à l'époque, j'ai très bien fait sans. A ce point terrifié que jusqu'à ce jour si particulier, je n'ai jamais eu le moindre le mal à étouffer les brasiers que j'étais capable de faire naître. Passé quelques semaines à peine, aucun signe de mon alter ne se manifestait jamais et... ce fut comme si je n'en avais pas. En parler à ma mère ? Bon dieu non, ça aurait été pire que d'incendier tout mon immeuble et tuer touts ses habitants à mes yeux.
A ce moment-là, du moins.
Sans amis, sans activités, sans passion et me contentant de distraction à la maison ; ma mère n'était pas mieux que moi, me surprotégeait plus que jamais. Lorsqu'elle m'a proposée de prendre des cours par correspondances ? J'ai accepté sans sourciller, heureux de ne plus avoir besoin de me sociabiliser. Lorsque je fus en âge, ma mère commença enfin à me pousser à faire quelque chose et... au début très réfractaire, j'ai cru commencer à comprendre que ma vie allait changer. Que ma vie allait commencer ! J'ai postuler comme caissier dans une supérette ! Ça m'apparaissait comme une aventure si épique, si dangereuse et si... si glorieuse d'enfin sortir affronter le monde extérieur après tout ce temps !
J'ai obtenu l'emploi et... c'est tout, plus ou moins. Exactement la même chose qu'à l'époque où j'allais encore à l'école, et finalement, une fois l'habitude prise ? La lassitude m'a envahie et rien n'a changé.
Un beau jour, ma mère est morte et ce fut le plus beau... non, pas le plus beau non plus... mais le jour le plus utile de toute ma vie. Le jour où j'ai renoncé à toute sécurité ou tranquillité, le jour où j'ai décidé de vivre pour moi et personne d'autre au mépris de touts les risques. Mon père a tout sacrifié pour ma mère et... malgré le portrait que j'en décris, ma mère a aussi sacrifiée sa carrière pour prendre soin de moi et de mon père. Au final, tout le monde se sacrifie pour tout le monde et ça donne quoi ? La conclusion qu'il faut vivre pour soit.
Racontez-nous un événement qui a particulièrement marqué votre vie.
Le jour où j'ai tué ma mère.
Disons que le fait de tuer ma mère ne me paraît pas si marquant, en réalité. C'est surtout la décision qui s'accompagne qui est marquante dans ma vie. Vous voyez... ma mère a toujours été une personne anxieuse et inquiète, qui voyait systématiquement le danger au lieu de l'opportunité. Soit je ne faisais rien ou des choses insignifiantes, si prudemment, ce qui l'inquiétait sur mon avenir avec un présent si peu productif. Soit je faisais quelqu... soit j'avais l'idée de prendre une initiative et les risques qui vont avec, ce qui l'inquiétait quand à ce qui pourrait mal tourné.
La vérité, c'est qu'elle ne m'a jamais soutenu ou encouragé pour rien à part postuler à un job de caissier. Et je l'ai eu ce job, j'étais si heureux au départ, avant de me rendre compte que ça n'était pas assez grandiose pour moi.
C'était par amour, j'imagine. Par inquiétude surtout, cette dame a toujours vécue dans la peur et l'inquiétude, moi avec. Et un jour, j'ai décidé que je refusais de vivre plus longtemps selon ses critères à elle. J'ai compris que c'était elle qui était lâche, inactive et dépressive; pas moi.
Alors... je suis allé la voir, de ma chambre au salon où elle résidait. Quel grand voyage ! N'est-ce pas... mais j'étais passionné, décidé et confiant ; enthousiaste prêt à tout pour la convaincre. Sûr de la convaincre ! Même résultat qu'à chaque fois... à l'idée que je puisse me lancer, elle s'est effondrée, a fondu d'inquiétude jusqu'à la terreur à me voir.
A me voir autrement que comme un gentil fils sage qui ne prend jamais le moindre risque et qui reste prisonnier d'une sécurité toute relative.
Je sais bien qu'elle m'aimait, ne voulait que mon bien... ou plutôt, était obsédé à l'idée qu'il nem'arrive jamais le moindre mal. Sans comprendre que si on veut le meilleur, il faut le pire... et peut-être qu'elle ne me souhaitait que du moyen, du neutre. De l'ennui et de la normalité. Je la déteste encore pour ça, pour m'avoir bridé et je me déteste encore de l'avoir laissé faire si longtemps. Enfin, encore... disons que je me suis détesté une dernière fois et elle avec à ce moment.
Elle a été un sacrifice pour invoquer toute ma grandeur. Et l’œil vide, sa bouche s'ouvrait pour que n'en sorte qu'un bourdonnement sourd et aigu à la fois, un espèce de bruit uniforme qui ne m’intéressait pas.
Non, ça ne m’intéressait plus... et grâce à ma mère, j'ai appris ce que je ne devais surtout pas faire. Pourtant, la vérité, c'est qu'elle m'aimait et moi aussi je l'aimais, je l'aime encore. De son côté, je doute qu'elle m'aime encore depuis l'au-delà mais peu m'importe, finalement.
Ce qui a tué ma mère, c'était mon incapacité à l'abandonner et à la laisser seule face à toutes ses angoisses.
J'ai serré le poing en disant que je participais aux frais de la maison, plus largement de la moitié en vérité. Et c'est peut-être de là que venait son obsession de me garder en « sécurité ». De me garder tout court, sans doute. La vérité n'est ni blanche, ni noire mais grise.
Puisque je devais partir et ne le pouvait pas tant qu'elle était là, la vérité, c'est que ma mère a fini toute rouge grâce à cet alter qu'elle m'a toujours interdit d'utiliser.
Et c'est la morale de l'histoire ; tuer ma mère est peut-être l'acte le plus horrible que j'ai jamais pu concevoir. Rien ne sera plus jamais trop horrible ou douloureux pour moi, je suis alors partit libre de toute morale ou remords.
Ma mère était carbonisée... l'appartement avec... et je n'ai pas vraiment fait attention à ce que le reste de l'immeuble est devenu, considérant l'endroit tout entier comme la tombe de ce que j'étais autrefois. Et je n'ai aucune envie de m'y recueillir, ce que j'étais autrefois... tellement pathétique. Je crois avoir lu dans un journal ou entendu à la télé qu'il y avait plusieurs mors, des grandes brûlés qui ne s'en remettront pas ou... ou pas ? Pour ce que j'en ai à faire.
Cette première oeuvre n'était qu'un brouillon et j'ai surtout pensé à fuir plutôt qu'à contempler.
Si c'était à refaire, je le ferais avec plus de soins et de mises en scènes mais... la première fois est toujours un peu brouillonne. Rien ne sert de se lamenter sur la forme, le fond y était et a fait ce que je suis aujourd'hui.
Le deuxième jet sera plus soignée et réfléchie, je travaille déjà dessus ! Qu'est ce qui vous motive ? Quels sont vos rêves ? Comment voyez-vous le monde et les valeurs du Pays/Société dans lequel vous évoluez ? Quels sont les buts que vous vous-êtes fixés ?
Une fois mort, il faut combien de temps aux gens pour disparaître... ? Cent ans, à peine ? Une ou deux générations ? C'est pathétique, j'accepte de mourir parce qu'entre nous, j'ai pas trop le choix... mais vivre éternellement ne me dérangerait pas, peut-être parce que j'ai déjà gâché un quart de siècle de ma si courte vie. Pas la peine que je vous liste toutes les figures historiques qu'on étudie encore aujourd'hui en classe, ces autres figures historiques dont on entend parler en-dehors des classes. Les légendes et les dieux qui sont encore comptés et vénérés.
J'en ferais parti. Mon objectif, c'est la postérité et ce qui me fait avancer dans la vie, c'est la renommée.
En bien ou en mal, j'écrirais mon dans l'histoire... en lettres d'ors ou de sangs. J'ai bien prévu de faire dans l'éclat et de marquer les esprits. Comme tout artiste qui se respecte, je serais reconnu par mes pairs, tôt ou tard, aujourd'hui ou demain ou bien après ma mort. Comme tout génie se le doit, je serais incompris et admiré, peut-être un temps de retard mais finalement, remercié d'avoir un jour été là.
Je suis artiste et art à la fois, ma propre œuvre... mais tel un artiste peint la toile, je peindrais le monde. Les sages se contentent peut-être d'être un grain de sable dans ce désert qu'est l'humanité, plein d'humilité. Pas moi ! Moi je suis une dune... une oasis ? Non, une pyramide ! Quoiqu'une pyramide, ça me paraît bien sobre, je serais le grand Sphynx.
Ou n'importe quel monument qui en jette.
Qu'il faille faire dans la charité ou la cruauté, jouer à Jack l’Éventreur ou à Robin des Bois, je jure que le Japon, et le monde au-delà, ne sera plus le même après moi. Me connaître ne sera pas une option. Et je refuse d'être bridé, par la morale ou la loi ou les représailles, je serais mort avant d'avoir renoncé à mon idée. Et je suis tout aussi prêt à mourir qu'à tuer pour mes rêves de postérités.
J'ai bien prévu de faire dans l'éclat et de marquer les esprits, soyez prêts car prêt ou pas, j'arrive !
Après, soyons francs... si l'occasion se présente à moi de pouvoir devenir immortel, mes priorités risquent de très vite changer mais... cette idée que je suis la huitième merveille du monde ne me quittera. Pardon. Maintenant que je le dis comme ça... je ne suis pas la huitième merveille du monde : je suis la première ! |
Que pensez-vous de votre Alter, et de l'existence même de ceux-ci ? Que pensez-vous de votre propre Alter, de l’existence des Alters plus généralement ? Que pensez-vous des lois mises en place, concernant les Alters ?
L'existence est un concept hasardeux... donc injuste... donc chaotique. On le savait déjà, j'ai envie de vous dire. Hors de question que je nie l'influence de la volonté et de la détermination... mais on naît riche ou pauvre, parfois entre les deux, le tout sur un gamme de nuance incroyablement vaste. Certains naissent avec des prédispositions naturelles, d'autres des handicapes. Certains ne font jamais rien de leur vie, n'ont aucun mérite mais sur un coup de chance, vont gagner des millions la première fois qu'ils jouent au loto. Pendant que d'autres investissent des fortunes au loto sans jamais gagner. Certains vont travailler comme des chiens, sans rien obtenir ou pire, vont simplement tout voir s’effondrer sur un coup du sort.
Dès fois, la vie est tout simplement injuste, vous ne pensez ? Et je l'admet assez facilement, faisant partit de ceux qui sont nés du bon côté de l'injustice. Qu'est-ce que nous en savons, d'ailleurs... est-ce que la volonté et la détermination ne sont pas des talents innés ? Honnêtement, je n'en sais rien et je m'en fiche... certains sont beaux ou apprennent à l'être, d'autres sont moches et n'y peuvent rien.
Et que dire de inintelligence ? Quelqu'un d’intelligent peut se rendre compte qu'il est bête et y faire quelque chose... comment un idiot peut faire pour comprendre qu'il est idiot et y remédier ?
Je suis suffisamment égoïste pour vous dire qu'à mes yeux, les alters... ce n'est que la nature intrinsèque de notre monde qui s'intensifie un peu plus encore. Peut-être que si moi-même je n'avais pas d'alter, j'aurais un regard différent mais le fait est que j'en ai un... et pire que ça, je n'ai pas un alter très handicapant ou contraignant. Certes un peu dangereux mais pleins de possibilités, qui ne fait pas de moi un monstre et si je peux l'activer, je peux aussi le désactiver pour vivre normalement.
Alors moi, l'existence des alters, j'en suis plutôt content. Déjà parce que j'en profite assez grassement ! Et ensuite parce que ça rend le monde un peu plus intéressant.
Quelle est votre définition de « Crime » et quelle serait votre réaction face à un crime ? Seriez-vous celui qui commet, celui qui défend, ou bien spectateur ? Avez-vous une expérience liée au crime? En avez-vous commis ? En avez-vous arrêté ?
On commet un crime lorsqu'on enfreint la loi. Et encore, même pas, puisqu'on parle aussi d'infraction ou de délit. On commet un crime lorsqu'on enfreint des lois majeurs ou essentiels. Aux yeux du gouvernement, est un crime tout ce qui nuit à l'ordre public de manière significative. Les Yakuzas, eux, ont plus tendance à considérer comme un crime l’absence de loyauté et la trahison. Le syndicat, lui, considère un crime tout ce qui nuit à ses intérêts. Au final, je me dis que c'est plus ou moins la même chose à chaque... on commet un crime lorsqu'on enfreint des lois ou des règles ou des traditions.
La morale entre en jeu, c'est plus abstrait mais le principe fonctionne aussi, la morale étant un ensemble de règle pour définir ce qui est bien et ce qui ne l'est pas. Ce qui est acceptable et ce qui ne l'est pas.
Le secret de la définition d'un crime, c'est de définir les lois, règles, traditions et morales que l'on décide de suivre. Si on estime être le citoyen d'un pays, on commet un crime si on en enfreint les lois officiels de ce même pays. Si on estime faire partie d'un clan yakuza, on commet un crime lorsqu'on en enfreint les règles. Le principe vaut pour toutes les organisations, groupes, familles ou associations jusqu'aux religions.
Et... pour ma part, je suis mes propres lois. C'est donc à moi que revient de définir ce qu'est un crime ou pas. Est un crime tout ce qui ne me plaît pas, me dérange et me révolte. Et au-delà, tout ce qui me nuit d'une manière générale.
On commence à se connaitre... j'inflige souffrances et morts lorsqu'on commet un "crime" selon ma définition. Héros : Comment avez-vous eu votre licence ? Pourquoi avoir choisi l’agence dans laquelle vous exercez ? Quelles types de missions faites-vous, depuis combien de temps ?
Vilain : Pourquoi ce choix de carrière ? Quels sont vos motivations profondes ?
Justiciers : Comment/ Pour quelles raisons êtes-vous passé du côté "hors la loi" ? En tant que Justicier, comment pensez-vous pouvoir changer les choses ?
Yuei à temps plein/Autres : Vous trouvez vous en retrait de l'évolution de la société ? Y participez vous activement ?
J'ai passé la plus grande majeure partie de ma vie à faire ce qu'on me disait de faire. A être « gentil », plus par lâcheté que par réelle bonté, j'étais « gentil » parce que je n'étais pas capable d'être autre chose. J'ai été obéissant et sage, par peur des représailles autant que par paresse mais aussi par... lâcheté, encore une fois. C'est dur de choisir pour soit, parce qu'on peut se tromper, parce qu'on s'expose au jugement des autres et à des conséquences qu'on doit ensuite assumer.
Un train qui suit ses rails ne peut pas être accusé d'avoir déraillé. Après tout, s'il a parfaitement suivi les rails sans malfonctions de son côté, ce sont les rails qui ont merdés !
Pourtant, j'ai finalement décidé que ça ne pouvait plus durer, que ça ne menait à rien et que ce n'était pas le bon chemin, pas pour moi en tout cas.
La prudence n'en vaut pas la peine et... je crois qu'être prudent, c'est le plus grand risque qui soit : le risque de gâcher sa vie, de perdre son temps. Je suis là pour faire des erreurs, pas pour contrefaire la perfection. Je suis là pour être moi... moi, je et moi-même, sans la moindre restriction.
Si j'ai choisit cette voie, finalement, c'est pour être mon « moi maximum plus ultra » et nul ne m'arrêtera.
Est-ce que j'en ai encore quelque chose à faire de vous nuire ou vous faire souffrir ? Je ne crois pas. |
Pseudo : Ça dépend du jeu ! Blizzard me connait comme étant "Player" et sur la PS4, je dois être "Caillou" ou un truc comme ça. Ici, ce sera Taiyo Kurutta j'imagine ? De toute façon, un vrai surnom, tout le monde sait que c'est choisit par les autres !
Âge : 24 ans
Comment as-tu connu le forum ? : J'ai cherché un forum rpg sur google et j'ai fini par tomber sur celui-là après plusieurs recherches. Désolé, j'ai pas fait gaffe à quelle site de classement c'était exactement mais s'en était un ^^ |
maxou’
Dernière édition par Taiyo Kurutta le Mer 1 Avr - 10:54, édité 1 fois |
| | Surnom : Cold Breath
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| Re: Taiyo Kurutta le Flamboyant [AV/T] || Mar 31 Mar - 11:41 | |
| Bienvenue @Taiyo Kurutta ! Alors tout d'abord je tiens a te dire que ta présentation était très agréable a lire, fluide, avec son propre style lyrique / poétique d'une certaine manière que j'ai bien apprécié ^^ Certaines fautes / oublis de mots m'ont cependant coupé de la lecture par moment ce qui est dommage, essayes de bien te relire  Je n'ai pas grand chose a redire sur ton histoire et son contenu si ce n'est ces quelques questions / précisions : c'est parti ! - Quand a eu lieu le meurtre de ta mère ? C'est récent ? Tu dis que ton personnage va finir suspect de l'incendie par la police mais je pense que c'est déjà le cas. Tu as disparu sans laisser de trace, pas de nouvelles de ta part depuis etc... tu es a priori le suspect numéro 1 surtout sans cause réelle accidentelle apparente du départ d'incendie dans cet appartement. Même sans savoir que ton alter est lié au feu, la police enquête forcément sur la piste criminelle et tu dois être, à mon sens, déjà recherché : ça sera a prendre en compte dans tes rp - Cet incendie meurtrier est finalement le seul crime que ton personnage a commis dans sa vie pour l'heure, non ? Tu parles par moment de vols / cambriolages ? Ce que je veux dire c'est qu'aux yeux de la loi il est un criminel désormais mais peut être que lui ne se considère pas comme tel : il voulait a priori seulement se débarrasser des chaines que lui imposait sa mère sur sa liberté pour vivre comme celui qu'il est réellement. Pourquoi vouloir semer le chaos maintenant du coup ? Par vengeance sur la vie ? Il pense réellement mener une vie de méfaits ou juste chercher a s'élever même par le bien ? Voilà ! Quand tu auras répondu a tout ça on pourra passer à la validation je pense  o/ |
| | Surnom : Le Flamboyant
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| Re: Taiyo Kurutta le Flamboyant [AV/T] || Mer 1 Avr - 11:19 | |
| Merci bien ! - Fubuki Nami a écrit:
- - Quand a eu lieu le meurtre de ta mère ? C'est récent ?
Tu dis que ton personnage va finir suspect de l'incendie par la police mais je pense que c'est déjà le cas. Tu as disparu sans laisser de trace, pas de nouvelles de ta part depuis etc... tu es a priori le suspect numéro 1 surtout sans cause réelle accidentelle apparente du départ d'incendie dans cet appartement. Même sans savoir que ton alter est lié au feu, la police enquête forcément sur la piste criminelle et tu dois être, à mon sens, déjà recherché : ça sera a prendre en compte dans tes rp Alors oui, c'est récent ! J'ai modifié la partie "Notoriété" pour que Taiyo soit actuellement recherché. Au départ, je ne savais pas s'il pouvait l'être ou non et j'ai hésité ^^ Mais j'hésite plus, c'est officiel, il est recherché ! - Fubuki Nami a écrit:
- - Cet incendie meurtrier est finalement le seul crime que ton personnage a commis dans sa vie pour l'heure, non ? Tu parles par moment de vols / cambriolages ?
Ce que je veux dire c'est qu'aux yeux de la loi il est un criminel désormais mais peut être que lui ne se considère pas comme tel : il voulait a priori seulement se débarrasser des chaines que lui imposait sa mère sur sa liberté pour vivre comme celui qu'il est réellement. Pourquoi vouloir semer le chaos maintenant du coup ? Par vengeance sur la vie ? Il pense réellement mener une vie de méfaits ou juste chercher a s'élever même par le bien ? Ça fait beaucoup de questions mine de rien ! Pour les vols /cambriolages, il ne l'a pas encore fait. Pas encore ! Au pire, il s'est servi au moment de l'incendie mais n'ayant pas de travail -et n'étant pas d'humeur à en avoir un- il va plutôt subvenir à ses besoins par des vols et cambriolages. De base, j'avais dans l'idée de commencer le rp sur le forum en commettant un cambriolage ! Simple et efficace ^^ Y a peut-être un peu de vengeance sur la vie mais l'idée c'est bien l'égocentrisme et l'égoïsme. Typiquement, pour le cambriolage, tuer des gens n'est peut-être pas nécessaire, on peut cambrioler façon gentleman. Sauf que... s'il y a des morts ou des grands brûlés pendant le cambriolage, ça rajoute du drame à l'histoire, ce qui augmente les chances de faire la une et de faire parler. Donc, ca ne se fera pas fait façon gentleman, tant pis si on tue des gens pour faire la une ! On pourrait s'élever même par le "bien" mais en restant prêt à tuer des gens ou les blesser juste pour se faire connaitre plus vite et laisser plus d'impact. Disons qu'on est pas dans l'idée d'un psychopathe qui tue des gens par besoin ou envie irrépressible ou par nécessité... plus un sociopathe que ça laisse froid de faire des victimes alors à partir de là, pourquoi pas ? D'ailleurs, l'idée à la base c'est bien de se libérer des chaines imposer par sa mère mais... rien n'oblige à la tuer pour autant ! On peut encore se dire que d'incendier l'immeuble -et quelques voisins avec- vient d'un manque de contrôle sur l'alter. Sauf que manque de contrôle ou pas, y a pas eu la moindre once de culpabilité au moment de le faire et y en aura pas plus après ^^ Et puisqu'il a tué sa maman pour qui il avait de l'affection, il n'aurait aucune hésitation à tuer policier/héro/yakuza/syndiqué ou n'importe qui voulant à nouveau lui imposer des chaines. "Ma liberté s'arrête où commence celle des autres", en théorie mais ici, la liberté ne s'arrête juste pas et peu importe celle des autres. D'où le "Malfaisant" puisque quoiqu'il fasse, ce n'est motivé que par un projet égoïste et que oui, peut y avoir un délire anarchiste ou robin des bois pour vendre la noblesse de sa grande personne mais... Disons que lorsqu'il fera un cambriolage, plutôt que de crier "Hold-up, tout le monde se couche ou je tire !", il serait plutôt du genre à tirer dans le tas et à ensuite crier "Hold-up !". J'espère que ça répond aux questions ! |
| | Surnom : Cold Breath
Profession : Héros Professionnel & Leader des Médiateurs
Rang : A
Points d'expérience : 546
Renommée : 198
Alignement : Dévouée
| Re: Taiyo Kurutta le Flamboyant [AV/T] || Mer 1 Avr - 11:33 | |
| Bienvenue sur le forum Merci pour ces éclaircissements ! Je comprends mieux Il doit par contre être conscient que tout acte possède ses conséquences et que faire parler de lui n'est pas la seule chose que ça apporte :' ) La police le traque déjà surement en tant que suspect potentiel vu qu'il a disparu depuis l'incendie et il se fera d'autant plus pister avec ses méfaits mais ça tu géreras irp, je suis sûre qu'il fera en sorte d'estomper ses traces a minima malgré son ego Tout est bon du coup ! Je te valide donc avec 90 de renommée ce qui t'offre le rang B et t'ajoute de ce pas dans les listings. Tes accès et ta couleur ne devraient pas tarder à t'être donnés Infos/Rappels :─ Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici─ Tu peux créer ton propre carnet de bord ici─ Pense à inclure le lien de ta présentation, de ton alter, de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil ! ─ Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum ! Bon RP sur Dawn of Heroes |
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