[AV/T] Hayasa Ryūka
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[AV/T] Hayasa Ryūka

Hayasa Ryūka
Apprenti Héros
Hayasa Ryūka
Surnom : Izanami
Profession : Élève 3S - Filière Héroïque
Rang : A
Points d'expérience : 525
Renommée : 151
[AV/T] Hayasa Ryūka || Mer 13 Juin - 13:39

Hayasa Ryūka




NOM & PRÉNOM : Hayasa Ryūka
ÂGE : 17 ans
SURNOM : Izanami (déesse de la mort)
ANNÉE : Troisième
RANG : A ?
FILIÈRE : Héroique
AGENCE : Seigi
ALTER : Mikoyose | Nécromancie -L'utilisatrice est capable de manipuler tout être morts humain ou animal (via son squelette) ou morceau de macchabée comme elle le désire.
AVATAR : Jeanne d'arc - Fate
[AV/T] Hayasa Ryūka Mlkjh10

Présentation


PHYSIQUE & CARACTÈRE
Je hais les héros. Ils sont si Bling bling, si clinquant avec leurs bas collant et leurs capes. Certes, ils ne portent pas tous cela, mais ils ont tous un alter super intéressante. Prévue pour sauver des vies. La vitesse comme l’aîné de la famille ou alors le vent comme le second. Ils ont tous des capacités de rêves et pour cela, je les détestes tous autant qu’ils sont. Qu’ils se montrent hautain avec ma petite personne ou non. On appelle cela de la jalousie. On dit souvent que ce n’est pas joli joli, mais en ai-je quelque chose à ciré ? Non pas véritablement car peu de personnes savent à quel point je peux être envieuse de l’alter des autres et surtout, à quel point je déteste le mien.

Symbole de destruction et de ravage. La mort prend place partout, autour de tout le monde. C’est une évidence. Après la vie, vient la mort, mais pour moi, elle est pendant. Ma vie est lié à la mort de par ce pouvoir que je n’ai point désiré et que je maudis chaque jours. J’ai bien trop subit de brimades à cause de celui-ci. Sujet des moqueries des autres parce que glauques, flippant et surtout dégueulasse. Les enfants sont cruels entre eux et je ne le sais que trop bien. J’ai toujours été en quelque sorte le souffre douleurs et ce malgré mes deux frères présent autant que possible pour me protéger. Ils ont toujours été là, comme des véritables héros à me défendre et a prendre parti pour mon pouvoir en disant qu’il n’est pas si mal. Que cela soit Ryuji ou bien Ryuzaburo, ils ont toujours trouvé un moyen de me rendre le sourire quand petite tout allait de travers pour moi. En ça, ils sont mes héros et je les adules.

Autant que je les détestes.

Ils ne peuvent pas comprendre et personne ne peut comprendre ce que mon alter signifie, surtout dans notre famille où notre grand-père, qui possédait le même et à fini du mauvais côté de la barrière. Parano, je suis persuadé qu’ils se demandent tous quand je vais sombrer également et ce malgré leurs soutiens. Ils attendent que ça pour pouvoir parler aux grands jours et dire “je vous l’avais bien dit.” Tous des menteurs et des fourbes ! Après tout, mes propres parents ne m'ont-ils pas fait comprendre très tôt que je n'étais pas la petite fille qu'ils espéraient en adoptant Ryūmi ? Une petite fille plus jeune que moi, avec un alter plus acceptable que le mien. La fille qu'ils voulaient véritable. Je la hais.

Tout comme je hais les autres.

Et pourtant. Je veux qu’ils se trompent tous à mon sujet. Je veux leurs montré que je ne succomberai pas aux côtés obscurs de la force. Ma volonté est forte pour montrer que je peux devenir une héroïne et ce malgré cette alter qui ne semble pas prévu pour sauver, mais belle et bien pour terroriser les gens tout autour de moi.

Vous l’aurez compris, je suis le principe même de l’anti-héro. Une vilaine en sursis diront d’autre. Chacun me qualifie comme il le désire mais pour l’heure, je n’en reste pas moins Ryūka, une étudiante du prestigieux lycée de héro Yuei, une future héroine qui se montre discrète et sympathique autant que possibles aux yeux de tous mais emplie de noirceur.

Car c’est derrière un faciés expressifs aux possibles, mais mensonger que je me cache. Mentant sans vergognes avec des sourires et des regards taquins en disant que tout va bien, que les critiques des autres ne m’atteignent plus. C’est en dessous d'une jolie tignasse blonde bien coiffée que ma jalousie se terre et mûrit ma haine des autres. C’est sous des vêtements colorés que mes cicatrices du coeur mal refermées sont dissimulées. Et c’est ainsi dans un corps de taille moyenne et d’une féminité classique que la supercherie se joue.

Je ne suis pas un héros.

Pas encore.

HISTOIRE

Laisse moi être ton héros

Nii-san ! Vous pensez que j’aurais lequel de vos alters ?” Questionnais-je mes deux aînés, l’un ayant un alter de vitesse comme maman et l’autre de maîtrise du vent comme papa. Deux alters fascinants et magnifique à mes yeux surtout quand je vois leurs prouesses. Ils sont capables de faire tellement de choses. Oui, pour moi, mes deux grand-frères sont les deux êtres les plus puissants. Plus encore que papa et maman. Je les admire et j’avoue espérer avoir un jour un alter similaire à l’un deux. Je me languis déjà dû jour où le mien se manifestera s’il se manifeste bien entendu, car il est tout à fait possible que je n’en aie pas.

Vous pensez que c’est possible un mélange de la vitesse et du vent ?” Je suis curieuse, parce qu’en réalité, je n’ai pas envie de devoir ressembler plus à l’un de mes frères qu’à l’autre, j’ai envie de pouvoir les prendre tout les deux comme modèles, mais si réellement, j’avais le loisir de choisir, il est vrai que je prendrais la vitesse comme Ryūzaburō parce que lui, il est réellement mon modèle, celui que j’admire le plus, bien que Ryūji soit tout aussi admirable, mais le plus vieux est le plus expérimenté, le plus adulte,le plus mieux tout simplement… Parce qu’en vrai, je n’ai pas envie de partir dans les détails qui font que j’admire plus l’un que l’autre. C’est bien trop compliqué et puis, c’est relationnel aussi, je n’ai pas la même approche de Ryūza que de Ryūji.

Après tout, il est assez facile de comprendre que l’aîné, plus âgé a été plus prompte à venir vers moi lors de mes crises de larmes d’enfant, quand je tombais ou bien que maman ou papa me refusait quelque chose, là où le plus jeune des deux n’étant pas forcément assez réactif ou rapide bien que celui-ci étant également plus âgé que moi. Un écart de plus ou moins quatre ans avec Ryūji pour un de presque dix ans avec Ryūza. Comment dire qu’il aurait été normal qu’en réalité, je sois plus proche du plus jeune, mais quand les parents n’étaient pas là, c’est Ryūza qui s’occupaient de nous et ça, forcément, ça crée des liens.

Parce qu’en effet, papa et maman n’étaient pas tout le temps à la maison. Néanmoins, contrairement à beaucoup de nos camarades, ceux-ci ne sont pas des héros, ils sont de simple humain possédant un alter qu’ils n’usent que trop peu. Mais cela n’a point empêché l’un comme l’autre d’être absent un jour, un soir, un matin. Une vie active, forcément ça se sent et c’est nous les enfants qui en pâtissent, mais heureusement que Ryūza était là pour nous tout simplement.

Demain, on va sauver le monde

Nii-san, Pépito est mort !” Avais-je hurlé en me jetant dans les bras de Ryūji. Notre chat, dont Ryūza avait choisi le nom, venait de rendre l’âme et passer de l’autre côté après plusieurs années de vie avec nous. Un chat que l’on avait sauvé, qui avait été abandonné devant les portes de l’animalerie de nos parents et que l’on avait recueilli après avoir fait des pieds et des mains pour que les parents acceptent de nous laisser nous occuper de ce chaton. Et puis avec les années, le chaton était devenu un chat… Mais là, aujourd’hui, il semble avoir écoulé ses neufs vies.

Chouinant ainsi dans les bras de mon frère, je le tire alors vers le cadavre du félin pour le lui montrer. J’ignore de quoi il est mort. Attraper par une voiture ? Empoisonnement à cause d’un gredin de voisin ? Il y a plus d’une possibilité et je suis incapable d’y réfléchir, trop occuper à partager ma morve sur les vêtements de mon aîné. J’y étais attaché à Pépito moi… Il avait alors proposé qu’on l’enterre au fond du jardin pour qu’il reste quand même près de nous. Ainsi, ensemble, avec Ryūza, nous avons creusé sa tombe et fait une toute petite cérémonie pour que l’animal puisse reposer en paix.

La première nuit en l’absence de Pépito fut très longue. Emplie de sanglot. J’étais tellement attachée à lui et habitué à ce qu’il ronronne le soir contre moi. Il était un peu comme ma berceuse me permettant de m’endormir.

Mais il n’était plus là.

La seconde nuit, fut déjà un peu plus paisible. Petit à petit, je semblais me faire à son absence même si cela était pénible et que plus d’une fois je me réveillais pour le chercher sur mon lit. Il était MON Pépito.

La troisième nuit fut des plus étranges. Somnolante, dans la pénombre de ma chambre, les yeux clos, je cherche le sommeil. Quand un poids affaisse doucement le bord de mon lit, des ronronnement se faisant entendre. Machinalement, ma main se dirige vers cet endroit, comme quand Pépito était encore là. J’heurte alors un corps, des poils, terreux. “Pépito !” Avais-je alors crié de joie et de surprise tout en cherchant à allumer ma lampe de chevet pour être sûre de ne pas l’avoir rêvé.

Mais quand la clarté de la pièce fut plus acceptable pour mes yeux, un cri d’effroi avait franchit mes lèvres. Réveillant ainsi toute la maisonnée.

Pépito était là.

Les vers le dévorant également.

Cadavre ambulant venu profané mon lit d’enfant.

s’est roulée en boule, contre le mur face au cadavre de Pépito encore en mouvement que toute la famille m’avait retrouvée.

Mon alter s’était déclenché. Au grand malheur de tous, j’avais hérité de celui de mon grand-père. Le criminel de la famille.

J’en ai versé des larmes, je ne suis pas une superwoman

Depuis que mon alter est apparu, ma vie est devenue un véritable enfer. Comme si voir mon chat revenir d’entre les morts n’avaient pas été assez traumatisant. Ne le contrôlant pas des mieux aux débuts, j’avais à foison réanimé temporairement des animaux morts, comme par exemple, l’oiseau dans la cours de récré. Montrant ainsi à tous mes camarades de classe mon alter des plus glauques. Si au début, ils n’avaient rien dit, juste eu des regards dégoûtés et m’isoler à cause de l’odeur de nécrose qu’il avait pu sentir à cause de l’activation involontaire de mon alter, au fil des jours, cela était devenu de pire en pire.

A tel point qu’ils avaient même fini par reprendre une comptine pour me faire comprendre à quel point mon alter était méprisable et que dès lors je l’étais également.

♪♫ “Un deux, Ryūka pue un peu,
Trois quatre, les morts arrivent par quatre,
Cinq six, quel est donc ce maléfice,
Sept huit, c'est Ryūka la maudite,
Neuf dix, sortons nos crucifix. “
♫♪

Gardant ainsi pendant de longues journées ses brimades pour moi, il ne fallut que d’une seule écoute à Ryūza pour comprendre de quoi, il était question. C’était une fin de journée, il venait me chercher à l’école ayant un peu de temps et pour soulager nos parents. Attendant à la grille, il avait eu le loisir de l’entendre chanter par mes petits camarades de classe avant que l’on ne franchisse la grille pour rejoindre les adultes.

C’est là, que j’ai réellement fondu en larmes. Si depuis le début, je tentais de jouer les fortes parce que de toute façon, je n’avais pas le choix parce que quoi que je fasse, ça ne pourrait rien changer à mon alter. J’ai pleuré dans ses bras et lui… Lui ce qu’il a fait…. C’est prendre son Bob et me le poser sur la tête avec tendresse avant de me repousser un peu pour se mettre à ma hauteur. “Ton alter n’est pas si moche que cela. Je le trouve même très intéressant moi.” M’avait-il soufflé avant de commencer à partir dans un monologue des plus longs en me parlant de techniques que je pourrais bien développer. Il semblait s’amuser à parler ainsi de mon alter et c’est probablement cela qui m’a fait cesser de pleurer. Il avait même réussi à m’arracher un sourire à la fin. “ Puis, même si comme grand-père, tu deviens une méchante, tu seras la méchante des méchantes et ce sont eux qui auront peur.” Et sur ces mots, pour affirmer d'avantages mon sourire, il m’avait proposé d’aller manger une glace avant de rentrer.

De zéro en héros

Havre de paix, voilà comment pendant de longues années, j’ai considéré la maison familiale même si je savais que depuis la découverte de mon alter, mes parents étaient inquiet pour moi, la peur que je tourne mal comme notre grand-père. Mais malgré cela, ils ne semblaient pas avoir changé.

Semblaient…

Car l’année de mes dix ans, ils m’ont fait comprendre qu’en réalité, je n’étais pas la petite fille qu’ils avaient désirée et qu’ils voulaient élever. Ils ont pris la décision d’adopter une petite fille, Ryūmi. Plus jeune que moi et plus mignonne également. Elle ne ressemble à aucun de nous trois, Ryūza, Ryūji ou moi-même, mais pourtant, ils l’ont prise et ont commencé à la chérir comme si elle était réellement de notre famille. C’est le principe même de l’adoption.

Mais moi. Je n’ai jamais pu le voir de cette façon. Parce qu’elle est là pour prendre ma place, pour me pousser hors du cocon familial. Jalousie mal placée. Peur de l’abandon. Pourtant, hormis quelque caprice, je n’ai jamais montré tous ces sentiments qui prenaient place en moi… Parce que j’avais peur au fond que ça soit justement cela qui me pousse encore plus loin d’eux… Alors j’ai tout simplement commencer à chercher à être une bonne élève à l’école, à ramener des bonnes notes et à chercher des solutions pour montrer que mon alter n’était pas si néfaste que cela sous les conseils de Ryūza.

Pourtant malgré cela, je n’ai jamais cessé d’avoir cette impression qu’un mur se construisait de plus en plus entre eux et moi. Me faisant me retrouver seule de plus en plus. J’aurais pu appeler à l’aide, en parler à l’un de mes frères pour tenter de comprendre, mais l’un comme l’autre, je ne voulais pas les déranger puis ils semblaient bien apprécier Ryūmi également. Peut-être qu’au final, le problème, c’était réellement moi et mon alter ? Peut-être que je n’ai réellement pas ma place dans cette famille ?

C'est autour de toutes ses questions que mon adolescence à été faite. Doutant de moi, de mes capacités et du regard des autres sur moi. J’ai ainsi continué à cacher mes véritables sentiments, ma haine, ma peur et mes pleurs pour porter le masque d’une fille normale, qui vit assez bien avec son alter même s’il est assez problématique. Je n’ai jamais montré à Ryūmi que je ne l’aimais pas, tout comme à mes parents que j’avais compris qu’ils attendaient juste le moment où je suivrai les traces de grand-père. En réalité, c’est très jeune, trop peut-être même, que j’ai appris qu’on ne pouvait se fier à personne, pas même à sa famille. Je me suis isolée dans ma bulle.

Pourtant pour faire taire mes craintes et mes doutes, j’ai décidé de suivre la voie de mes deux frères, devenir une héroïne, ainsi, j’ai rejoint le lycée Yuei où je suis maintenant en troisième année. Pour moi, parce que j’ai besoin de montrer que même avec un alter de méchant, on peut être un héros. J’ai besoin de faire taire les rumeurs que j’imagine et que j’ai entendu. J’ai besoin de montrer aux yeux de tous que je ne suis pas une vilaine. Je deviendrais une héroïne !


Derrière l'écran


PRÉNOM : Stärkehre
ÂGE : 24 ans
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? : Top site en premier puis c'est Hayasa Ryūzaburō qui a eu raison de moi -_-'
MOT DE LA FIN :
Je suis faibleuh
maxou’


Dernière édition par Hayasa Ryūka le Dim 17 Juin - 12:48, édité 1 fois
Hayasa Ryūka
Apprenti Héros
Hayasa Ryūka
Surnom : Izanami
Profession : Élève 3S - Filière Héroïque
Rang : A
Points d'expérience : 525
Renommée : 151
Re: [AV/T] Hayasa Ryūka || Dim 17 Juin - 9:40

Petit message pour signaler que mon alter est maintenant validé. Je m'en remets donc à vos bons soins x)
Hibiki Ayane
Civil
Hibiki Ayane
Surnom : Sound Wave
Profession : Actrice
Rang : S
Points d'expérience : 1724
Renommée : 290
Alignement : Juge
Re: [AV/T] Hayasa Ryūka || Dim 17 Juin - 23:02


Bienvenue sur le forum


Coucou la petite soeur :3

Comment j'ai envie de câliner la pauvre Ryuka ! C'est méchant les enfants Sad

Du coup:

Un, deux, tant pis pour eux
Trois, Quatre, allons les battre
Cinq, six, ils sentent le criss
Sept, huit, un peu comme des huîtres
Neuf, dix, je veux qu'ils glissent...

Ouais nah en fait... j'ai pas assez pris le temps de réfléchir *fuit*

Allez ! pour la peine, je te donne ton Rang A de troisième année à Seigi :3

Infos/Rappels :
- Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
- Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
- Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
- Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

Bon RP !

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Re: [AV/T] Hayasa Ryūka ||

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