[AV/T] Le clandestin de Yuei !
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[AV/T] Le clandestin de Yuei !

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[AV/T] Le clandestin de Yuei ! || Sam 9 Juin - 22:37

Samui Kenta






NOM & PRÉNOM : Damien Rochefort, aka Samui Kenta

ÂGE : 41 ans

SURNOM : Nemui

RANG : S

PROFESSION : Ingénieur à Kyuunan & Professeur à Yuei (électronique en filière assistance)

AGENCE : Kyuunan

ALTER : ///

AVATAR : Emiya Kiritsugu - Fate Zero
[AV/T] Le clandestin de Yuei ! CnCXDTSS

Origines


Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?
« La vie ? 42. »

Mon histoire est loin d’avoir été un conte de fée. Et, pourtant, je ne considère pas avoir souffert inutilement. Issu du milieu modeste, j’avais acquis par la naissance une enfance vraiment banale, qu’aucun événement particulier ne vint perturber. J’avais eu une enfance heureuse, sans doute trop heureuse même. Je ne fus pas préparé à ce que la vie me réservait. Que je fusse brillant ou stupide, les événements de ma vie échappèrent longtemps à mon contrôle, jusqu’à ce que j’atteigne le Japon. Entre temps, l’impression d’avoir vécu des dizaines de vies toutes différentes s’était imprimée en moi. Si le voyage m’avait offert l’expérience qu’il me manquait depuis toujours, il m’avait pris tout autant. J’étais devenu fatigué, nonchalant et terriblement cruel. L’expérience avait remplacé mes sentiments.

Toutefois, endurer quelques années de précarité me permit de payer ma place dans la société. Je trouvai un emploi au lycée célébrissime qu’est encore Yuei. Autant dire que c’était un petit miracle, puisque mon diplôme n’était plus à mon nouveau nom. Cela dit, le directeur de l’époque avait été plus que compréhensif quand je lui avais avoué toute ma situation. Nous passâmes un marché : je ne faisais rien qui pouvait attirer des problèmes à Yuei et il m’accordait un travail. Hélas, je compris rapidement qu’il y avait « travail » et « travail ». Je ne devins pas professeur comme ce à quoi je m’étais attendu, mais plutôt agent d’entretien. Il s'agissait ni plus ni moins que la preuve que j’étais vraiment passé par tout et n’importe quoi dans ma vie.

Suite à plusieurs rebondissements, j’étais finalement parvenu à me faire accorder le tant vénéré job de professeur, bien mieux rémunéré. A partir de là, tout est allé comme sur des roulettes. Parmi le corps professoral, j’étais tombé sous le charme d’une jeune femme que je n’avais jamais osé approcher alors que je lavais les sols. Nous nous mariâmes et eurent une petite fille en 292. Ainsi, mes souffrances étaient désormais récompensées tous les soirs par le sourire de ma petite princesse.


Quels sont vos rêves et idéaux ?
« Je rêve d’une banque... »

De part l’absence d’altération de mes gènes m’octroyant un pouvoir, j’ai toujours été physiquement traité inférieurement à mes collègues, que ce fusse dans l’armée, au lycée ou à l’agence. Pourtant, quel mérite a-t-on à naître avec des capacités surnaturelles ? « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire ». Pour ma part, j’ai acquis ma situation actuelle avec les seules capacités de mes neurones et de mes efforts : je suis donc fier d’y être parvenu de cette façon ! En conséquence, j’aspire à valoriser la filière d’assistance pour toutes les jeunes et brillantes têtes qui seront les ingénieurs de demain, des jeunes qui, comme moi, ont rêvé d’alter mais qui n’ont été que déçu par le destin. Dans notre monde, il vaut mieux forcer le destin plutôt que le laisser faire ce qui lui chante, quitte à se projeter dans ses élèves.

En outre, les héros qui ne possèdent pas d’alter ne sont pas bien courants et malheureusement pas aussi efficaces que les autres, quoique sans doute à quelques exceptions près. Je n’ai jamais été un héros et, la seule fois où j’ai touché du bout des doigts le terrain, je me suis retrouvé empêtré dans un scénario qui a ruiné ma vie. Et pourtant, je souhaite du plus profond de mon cœur d’être un jour capable d’y retourner avec les moyens qu’offre la technologie, pour pallier à l’absence de tout pouvoir dans mon corps. Et si je pouvais rendre ma petite fille fière de son papa au passage...


Quelle est votre opinion sur votre alter et comment percevez-vous l'existence des alters ?
« Vous savez, je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation... »

Ne pas avoir d’alter est un fait invariable à travers le temps. En conséquence, ma raison m’impose de ne pas regretter d’avoir de tels pouvoirs, aussi intéressants pourraient-ils être pour mon travail. Vivre sans alter n’est pas un fardeau, mais vivre en ayant conscience que ces pouvoirs sont le plus souvent gâchés en est un bien réel. Et encore, s’ils pouvaient être seulement gâchés nous aurions réalisé un certain progrès : ils sont également employés dans des desseins délétères !

Bien que dépourvu de pouvoir, quiconque est capable de réaliser de grandes choses, à l’instar de ces héros des siècles lointains, pour lesquels la majorité de nos héros actuels n’arrivent pas à la cheville. Avoir des pouvoirs n’accentuant que ce que la personne aurait été sans, c’est aussi à cause des alters que tant de vilains existent. En somme, toutes ces capacités surnaturelles déséquilibrent aléatoirement la balance de l’ordre et du chaos en n’étant offertes qu’à quelques élus. De réelles prédispositions sont souvent plus efficaces. Parfois, nous pourrions même qualifier de surnaturel le succès de héros pourtant tout à fait communs. A cela, j’ajouterais la troisième loi de Clarke : toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie. Désormais, il doit être plus facile de comprendre mes objectifs, ce que je trame dans mon garage...


Trame


Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?
« J’ai oublié la question, vous pouvez répéter ? »

Quand bien même il s’agit d’un souvenir que je n’apprécie guère évoquer pour de multiples raisons, c’est sans doute le plus important de tous, celui qui a déterminé comment je m’étais retrouvé, le 12 mai 288, clandestin au Japon. Mais, pour le comprendre, il faudrait tout d’abord revenir plusieurs années en arrière, alors que j’étais encore un jeune et insouciant ingénieur militaire, diplômé depuis moins de deux ans de Polytechnique. Le contexte français se montrait bien différent de celui du Japon mais, bien que ma position fût relativement sûre, les héros n’affrontaient pas les vilains sans régulièrement avoir recours à l’armée. N’étant pas né avec un alter, j’avais su trouver ma place à travers la création d’armement pour ceux qui risquaient réellement leur vie au service des renseignements, et ce travail de création n’était ponctué que par de – trop –  régulières réparations.

Cependant, toutes les bonnes choses touchant un jour à leur fin, on avait fini par me demander d’aller sur le terrain pour remplacer un collègue blessé : après tout, j’avais aussi un entraînement militaire. Hélas, les scénarios de film restent le plus souvent dans les salles de cinéma : je n’avais rien d’un héros ! Tout plein d’émotions contradictoires, je n’étais assurément pas prêt pour cette mission. Pour finir, sur un manque de sang froid, j’avais fait tuer des dizaines d’otages. Enfin, pour la version officielle en tout cas. Dans les faits, le véritable coupable résidait dans la corruption : le domaine de mon unité se limitait à la reconnaissance. Et, pour éviter un scandale qui aurait mis à mal l’Etat comme l’armée, j’avais été désigné responsable par mes supérieurs. Le scénario facile, pour eux ! Pour ma part, la question de finir ma vie en prison ne se posait pas. Piégé par la corruption, j'usai cette fois de chantage pour m'évader, sans trop de remords. Il fallait désormais que je quitte le pays. Et puisque ce serait mes anciens équipiers qui allaient sans aucun doute me traquer, je saurais comment les éviter le plus longtemps possible.

Et c’est donc au bout de cette longue course-poursuite autour du globe que je suis parvenu au Japon, trois ans plus tard. A priori, j’avais réussi à négocier ma liberté contre mon silence. Cela dit, je n’allais tester ni la véracité de cette affirmation, ni la tolérance de mes supérieurs. Evidemment, je n’entrais sur aucun territoire tout à fait légalement et le Japon ne faisait pas exception. Dans des circonstances toujours plus médiocres à chaque fois, je m’étais retrouvé cette fois sous un pont et sans un sou, avec une simple veste pour me protéger de l’hiver. J’avais échappé à une mort, mais une autre m’attendait non loin. Ne pouvant prendre le risque d’être pris par des héros ou la police et être renvoyé chez moi, je ne pouvais me risquer à voler quoi que ce soit. Ce fut un mendiant japonais qui me sauva : s’imaginant avoir à faire avec un de ses semblables, il m’offrait l’hospitalité de ses couvertures. « Samui desu ka », qu’il disait. Je ne pouvais pas comprendre : avec l’argent que j’avais pu conserver, j’avais dû choisir entre un sandwich et un dictionnaire. Il disait ça en me tendant des couvertures, je répondais donc en hochant la tête. Le lendemain, je croisais un type littéralement gelé avec lequel j’aurais eu de nombreux points communs en comparant nos physiques. Machinalement, je ramassais argent et cartes d’identité. Je n’étais plus à ça près, depuis mon tour du monde. Il semblait que la fatigue que j’avais accumulée m’avait retiré une partie de mes émotions...

Quoiqu’il en soit, je compris bien plus tard que cet homme qui s’était appelé Samui Kenta était le cousin du bonhomme qui m’avait secouru. Ainsi était la vie : manger ou être mangé. Quelques années plus tôt j’aurais pu être sincèrement dégoûté. Désormais, ce n’était plus qu’un fait pour lequel ma raison ne portait pas plus d’intérêt que la neige qui tombait alors sur le sol. Toutefois, c'était également depuis ce jour que j'avais commencé à fumer, tapant dans les réserves du cadavre. Et ainsi se déroula le quid pro quo qui m'amena à prendre l'identité de Samui Kenta.


Comment réagiriez-vous si vous étiez témoin d'un crime ?
« Si vous êtes témoin d’activités suspicieuses, veuillez appeler le... »

Le fait de ne pas avoir d’alter n’est pas une raison suffisante à devenir quelqu’un qui reste passif devant tous les événements quelque peu négatifs de son quotidien. Je travaille dans une agence de héros ! La lumière de la justice doit toujours pouvoir percer à travers les nuages d’infamies qui obscurcissent le monde ; j’assiste les héros à ce que cela reste le cas pour toujours ! Mais, s’il n’y a pas de héros, alors aussi insignifiante que serait mon intervention, j’aurais le besoin, ne serait-ce que pour continuer de me regarder dans un miroir, d’agir pour le bien. Cependant, la tempérance est également la clef de nombreuses actions en ce sens, car tous les délits ne se valent pas. De la même façon, tout courage est limité par la prudence et le nombre d’actions potentielles en sera toujours impacté, car le pragmatisme dans une situation dangereuse restera toujours l’un de mes meilleurs alliés.

Ayant été recherché pour un crime que je n’avais pas commis, j’ai fui à travers le monde jusqu’à m’arrêter essoufflé au Japon, bientôt dix ans auparavant. Durant cette course-poursuite, j’ai été tenté de nombreuses fois par la voie de la facilité. Heureusement pour moi, je peux encore aujourd’hui affirmer que j’ai toujours été honnête, même si l’on pourrait éventuellement me reprocher de porter le nom d’un homme décédé. Au Japon, trois personnes seulement me connaissent sous l’identité de Damien Rochefort : ma femme, le précédent directeur de Yuei et l’actuelle directrice.

Par ailleurs, la fin ne justifie pas les moyens. Un crime quel qu’il soit reste un crime et je ne souhaite pas pouvoir avoir quelque chose à me reprocher sous prétexte que j’aurais fait du zèle, puis que je me serais retrouvé dans la situation inconfortable d’être du mauvais côté de la barrière, même si c’était pour mieux chasser le loup qui souhaitait d’aventurer de notre côté. La fange qui est de leur côté de la barrière resterait toujours accrochée à mes chaussures.


À quoi ressemblerait votre journée type ?
« Métro boulot dodo »

Je me lève à six heures tous les matins avec l’aide d’un bol de café. Mes exercices du matin peuvent être parfois longs, mais je suis toujours à l’heure pour réveiller ma petite princesse et la surveiller alors qu’elle prend son petit-déjeuner. J’embrasse ma femme qui part toujours vingt minutes après nous, puis j’emmène notre fille à l’école à pieds. Souvent, peut-être trop, elle fait le chemin sur mes épaules. Je me dis qu’elle ne pourra pas toujours grandir avec la facilité, mais tant que ça lui fait plaisir : elle a déjà vécu des épreuves que des adultes n’ont pas encore traversé. Je cours ensuite jusqu’au siège de Kyuunan, qui n’est pas si loin de la maternelle lorsqu’on fait le trajet au pas de course tous les matins. Je reste là-bas jusqu’à la pause déjeuner, en m’occupant généralement de donner un coup de main aux autres ingénieurs en leur offrant un œil neuf sur leur travail. Je ne suis pas suffisamment présent pour produire un travail régulier, mais je me rends tout de même indispensable grâce à mon expérience.

Je mange le plus souvent sur le chemin entre Kyuunan et Yuei. Si je fais beaucoup de sport, ce n’est pas pour autant que je mange très sain tous les jours... Cette fois, je fais le chemin en bus pour gagner du temps. Il faut dire que ce n’est pas la porte à côté ! Là-bas, je rejoins ma femme dans la salle des profs et nous finissons de grignoter notre repas ensemble : nous nous croisons rarement, dans ce gigantesque lycée. J’ai ensuite cours d’électronique avec une ou deux classes, mais je passe davantage de temps dans la salle des profs à corriger des copies plutôt qu’à donner des cours. C’est ça, d’être professeur à temps partiel dans une matière à petit coefficient... Mais je crois en mes élèves, certains sont vraiment doués et auront un brillant avenir ! Si seulement ils faisaient tous autant d’efforts...

Quand la sonnerie annonce la fin des derniers cours de la journée, nous revenons chez nous en voiture en passant par l’école de notre fille. Voilà une journée d’achevée ! A la maison, c’est souvent moi qui prépare le dîner mais, cette fois, les repas sont très équilibrés. Nous rangeons, nous regardons peut-être un film, puis tout le monde va dormir, moi excepté. Je n’ai pas besoin de beaucoup de sommeil, alors je vais dans le garage pour bricoler. Un jour, je finirais ce que j’y prépare, et mon monde changera alors vraiment. Je m’endors souvent en y rêvassant.


Derrière l'écran


PRÉNOM : Kenta, c'est moi. Comprendra qui pourra.
ÂGE : 19 ans.
COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? : Team FnO !
MOT DE LA FIN : Psykokwak.[/size]
[size=17]
 maxou’


Dernière édition par Samui Kenta le Ven 29 Juin - 0:56, édité 14 fois
Yurusu Kyôji
Apprenti Héros
Yurusu Kyôji
Profession : Élève 1S - Filière Héroïque
Rang : C
Points d'expérience : 490
Re: [AV/T] Le clandestin de Yuei ! || Sam 16 Juin - 11:20

Hey !
Première relance, où en est ta fiche ? Cela fait une semaine que nous n'avons plus de nouvelles de toi, tu es toujours avec nous ? =)
Hibiki Ayane
Civil
Hibiki Ayane
Surnom : Sound Wave
Profession : Actrice
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Renommée : 290
Alignement : Juge
Re: [AV/T] Le clandestin de Yuei ! || Dim 24 Juin - 4:46

Coucou mon petit Kenta d'amour <3

Comment avance ta fiche ? C'est ta deuxième relance :3

Si tu as des questions, n'hésite pas minou.

Bisous !
Invité
Invité
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Re: [AV/T] Le clandestin de Yuei ! || Ven 29 Juin - 0:52

Up pour dire que la présentation est bien terminée !
Pas d'alter à valider, vu que Kenta n'a pas d'alter.
Rang S accessible après test RP vu que j'étais inscrit avant le 15 juin (et la prez' date du 9 juin). J'suis archi-désolé du temps que j'ai mis ! D:

Bonne lecture ~

PS : Je me rends pas bien compte de la taille de la prez' ni des détails qui sont donnés, vu que c'est la première fois que j'en fais une avec cette méthode de questions/réponses. Si nécessaire à la compréhension du personnage, je peux recommencer en faisant l'histoire complète (y'a tout plein de blancs qu'il faudra que je raconte en flashback !).
Hibiki Ayane
Civil
Hibiki Ayane
Surnom : Sound Wave
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Rang : S
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Renommée : 290
Alignement : Juge
Re: [AV/T] Le clandestin de Yuei ! || Sam 30 Juin - 12:47


Bienvenue sur le forum


Hoyyy !

Mon beau Kenta d'amour ! Le pauvre petit sans alter que je valide de ça pas :3

Allez je te file le rang A[/url] dans l'agence Kyuunan :3

Même si je t'aurais préféré à Tsu :3

Si tu as des questions, n'hésite surtout pas !

Bisous !
[b]Infos/Rappels :

─ Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
─ Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
─ Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
─ Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

Bon RP parmi nous !

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Re: [AV/T] Le clandestin de Yuei ! ||

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