[AV/T] Klaus Jäger - Panzer Krieg - Terminée
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[AV/T] Klaus Jäger - Panzer Krieg - Terminée

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[AV/T] Klaus Jäger - Panzer Krieg - Terminée || Dim 17 Juin - 12:44

Klaus Jäger




NOM & PRÉNOM : Klaus Jäger
ÂGE : 28 ans
SURNOM : Panzer Krieg
RANG : A
PROFESSION : Restaurateur
AFFILIATION : Lieutenant du Syndicat (Accord de Mat) / Chef de L'Axe (L'Axe est un groupuscule qui travaille indépendamment du syndicat)
NOTORIÉTÉ : Il n'est soupçonné pour aucun des méfaits qu'il a commis. (Pour l'instant Wink )
ALTER : Panzer Krieg - Alter permettant à l'utilisateur de se transformer entièrement ou partiellement en char d'assaut.
AVATAR : Germany - Hetalia
[AV/T] Klaus Jäger - Panzer Krieg - Terminée 1528749329-1

Origines


Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?
« Monsieur Jäger ! »

Je levais les yeux au ciel, en effet. Mon regard se posait sur le luminaire au plafond, un luminaire que j'avais ramené d'Allemagne et qui magnifiait mon bureau de toute sa splendeur. Quelques rayons de soleil passaient à travers les stores fermés et en bas, je pouvais entendre mes employés s'affairer à leurs affaires comme tous bons employés le feraient. Je savais pertinemment ce qui allait se passer ici et comment cela allait se terminer. Je poussais donc un grand soupir avant de lancer un net et puissant.

« Ja ! Komm ! »

Et c'est ainsi qu'entrait cet homme tout de blanc vêtu. Cette vision m'arrachait un petit sourire, mais je reprenais rapidement un faciès sévère afin de ne rien montrer. L'homme en face de moi n'était ni un héros, ni un vilain. Juste un civil un peu trop chiant. Il commençait donc sa légendaire tirade qu'il posait à toutes les personnes qu'il rencontrait.

« Monsieur Jäger, enchanté de faire votre connaissance. » Me disait-il avec un sourire auquel je répondais par un sourire aussi faux qu'affiché. Il continuait à présent. « Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?»

Je fermais les yeux et tout en les gardant fermé, je poussais ma tête en arrière quelques secondes avant de revenir planter mes yeux bleus dans les siens.

« Tu veux savoir quel est mon avis sur la vie que j'ai mené jusqu'ici ? T'en a pas d'autres des questions plus bateau ? Mais bon, si t'insistes… J'ai mené une vie remplie, pleine de joie et de bonne humeur. J'ai rencontré de personnes formidables, mais surtout, j'ai monté une entreprise qui fonctionne très bien et dont les comptes sont plus qu'intéressant. Les gens me respectent, je vends ce que je veux comme je veux et à n'importe qui. À vous-même, à votre femme, votre enfant. Si je veux j'achète votre maison ce soir afin de vous mettre à la rue. Mes employés sont des employés modèles et chacun d'eux – ou presque – mériterait d'être sur ce cadre là-bas. »

Je lui montrais donc le cadre d'employé du mois mis en place spécialement pour l'occasion. Je pouvais voir la panique qui commençait légèrement à prendre possession de l'esprit de mon interlocuteur. En même temps, il savait à quoi s'attendre.

« Je n'ai rien à rajouter. Suivante. »

Quels sont vos rêves et idéaux ?
« Je vous remercie. Continuons si vous voulez bien. » Ajoutait-il d'une voix tremblante.

Il cherchait dans ses papiers, certainement les notes des questions qu'il allait me poser, mais je ne pouvais rien laisser au hasard. Par reflexe, je saisissais l'arme à feu qui se trouvait sous mon bureau. Chargée et prête à tirer. Mon doigt se trouvait sur la gâchette. Ma main se crispant tant mes nerfs étaient sur le qui-vive, prêts à réagir au quart de tour. La main du journaliste sortait de son sac… un crayon à la main et commençait à gribouiller quelques notes sur son bloc-notes. Je laissais donc l'arme là où elle se trouvait…

Il se racla la gorge avant de reprendre.

« Quels sont vos rêves et idéaux ? Si je puis me permettre. »

Je ne m'étais jamais vraiment posé la question, j'avais des buts, des objectifs. Mais des rêves et idéaux ? Ach.

« Vous savez, les hommes comme moi n'ont pas de rêves. Mon idéal, je le suis déjà. Si je dois tuer une personne un peu trop bavarde, je le fais. Si je dois blanchir l'argent du recel illégal d'armes ou de drogues, je le fais. Si je dois m'acheter la maison de mes rêves à Okinawa, je le fais. Mon rêve, c'est ma vie, mon idéal. Ma vie aussi. »

La panique du journaliste se faisait de plus en plus ressentir. Mais je m'en amusais. L'homme gribouillait à nouveau quelques notes et se lança sur sa troisième et dernière question.

Quelle est votre opinion sur votre alter et comment percevez-vous l'existence des alters ?
Il déglutissait de plus en plus difficilement et prenait une grande respiration avant de se lancer pour la dernière fois.

« Quel est votre opinion sur votre Alter et comment en percevez-vous l'existence ? »

Décidément. Mon Alter, je le connaissais par cœur, ses points faibles, ses points forts.

« Mon Alter n'est pas le plus fort, ni le plus faible. Il est juste très utile dans certaines situations. Mais vous savez, ce qui fait de moi une personne respectée n'est pas mon Alter. Ni son utilisation. Ce sont mes accomplissements. » Je marquais une légère pause avant de reprendre. « L'existence des Alter n'est ni bonne ni mauvaise, vous savez. Certaines personnes savent les utiliser pour en faire du profit, d'autres pour des idéaux de shônen et certains afin de travailler. Je suis en accord avec leur existence. »

Je laissais passer quelques secondes, le temps que mon interlocuteur termine de prendre ses notes. Il se levait ensuite, les bras croisés sur le torse afin de tenir sa sacoche et surtout afin de se protéger d'une manière inutile de moi.

« Je vous remercie pour votre temps, Monsieur Jäger. »

Je le coupais de suite.

« Attendez, j'ai moi aussi une question pour vous. »

Je cherchais la télécommande afin d'allumer la chaine Hi-Fi qui se trouvait dans un coin de mon bureau. Elle se mit à vrombir sous les notes parfaites de mon groupe préféré. Rammstein.

« Écoutez ça, Monsieur Hitoki. Amour Amour, alle wollen nur dich zähmen, Amour Amour am Ende, gefangen zwischen deinen Zähnen. J'adore cette chanson. Mais dites moi. »

Je prenais cette fois-ci le pistolet qui se trouvait toujours sous mon bureau.

« Que dois-je dire à votre famille après votre mort ? »

Cette fois-ci, la panique avait pris le dessus. Il essaye de sortir le plus rapidement possible, mais la porte était verrouillée, les fenêtres blindées. Il n'avait pas d'échappatoire.

« Je leur direz que vous les aimiez, plus que tout au monde. »

Et c'est ainsi que je logeais une balle dans la tête du journaliste. Je me levais ensuite afin de sortir de mon bureau et d'aller voir Louis, j'avais une faveur à lui demander. Je descendais les escaliers et la musique suivante se lançait sur la chaine Hi-Fi que je n'avais pas éteinte.

« Louis ! » Il arrivait aussi vite que possible. « Tu peux nettoyer s'il te plait ? Il m'a demandé d'abréger ses souffrances, il était très souffrant. » Lui dis-je avec un air le plus triste possible. « Je suis son héros maintenant. »


Trame


Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?
Je venais de recevoir ma première mission d'assassinat. Je me contentais d'habitude de mission simple ; vente, escroquerie, trafic en tout genre. Mais cette fois-ci, mon supérieur m'avait fait confiance. Je devais tuer un éminent banquier qui se préoccupait un peu trop des revenus de certaines entreprises ralliées au Syndicat.

J'avais été formé, ou plutôt je m'étais formé pour ce jour. Mon Alter ne m'aidant pas énormément – voir pas du tout – pour ce genre de situation. Je ne pouvais compter que sur moi-même et mes compétences d'humains. Mais, aucun Alter n'était nécessaire pour tuer.

Cela faisait maintenant une semaine que je filais ma cible. Le dernier délai pour l'assassinat était ce soir. Je n'avais pas droit à l'erreur. Si tout se passait bien, il allait passer ici dans quatre minutes. Les transports publics n'ayant jamais de retard, son emploi du temps ne pouvait pas être faux.

Tout était prévu. Cette grue allait laisser tomber sa cargaison sur les passants. Et comme par hasard, ma cible s'y trouverait. De a à z, rien n'avait été laissé au hasard. La bouche de métro commençait à dégurgiter son flot de passagers, signe typique de l'arrivée d'une rame en provenance de Marunouchi, quartier commercial de Tokyo. Celui-là même ou travaillait ma cible.

Encore trente secondes, trente petites secondes et ces briques s'écraseraient sur un flot de passants.

Trois.
Deux.
Un.

La cohue était générale, les sirènes se faisaient entendre de partout et les passants qui n'étaient pas morts gémissaient. J'étais descendu de mon perchoir afin de récupérer les documents du banquier. Ceux-ci récupérés, je me faisais passer pour un civil paniqué qui essayait d'aider tant bien que mal avant que pompiers et ambulanciers ne nous dégagent sans ménagement. Je profitais de la terreur qui régnait encore dans le quartier pour m'éclipser.

Comment votre personnage réagirait-il s'il était témoin d'un crime ?
Des cris. Stridents et de femme. Un homme debout, une arme à la main. Le visage marqué par des années de haine. Certainement une vengeance. La femme pleurait son mari et l’homme qui venait d’assassiner le second, retournait l’arme contre lui. Un meurtre-suicide pour une histoire de femme. L’humain était pathétique.

Moi, je n’en avais cure. Je m’en étais fait un crédo ; ne pas me mêler de ce qui ne me concerne pas. Pour plusieurs raisons, l’une d’elle était que ; ce qui n’avait pas été préparé, ne se maîtrisait pas. Trop de facteurs inconnus, trop de risques inutiles. Et de toute façon, est-ce que j’aurais pu intervenir ? Non. Est-ce que j’aurais voulu intervenir ? Encore moins. Qu’il se venge. Une veuve de plus ne fera de mal à personne.

Je reprenais ma route en direction de Shinjuku. J’avais rendez-vous avec un potentiel client très fortuné dans un restaurant chic du quartier. Je faisais les derniers kilomètres à pied. Si je devais tomber dans un guet-apens. Que je sois le seul à tomber. Aucun risque. Je ne parlerai jamais. Ce qui était moins sûr si mon voiturier était capturé lui aussi.

À quoi ressemblerait une journée type de votre personnage ?
Je venais de me réveiller. Les premières lueurs du soleil passaient à travers les stores fermés de mon habitation. Je mangeais un petit-déjeuner complet avant de descendre les quelques étages qui séparaient mon habitation de L'Axe.

Une fois en bas, je saluais mes équipes avant de prendre le petit escalier qui menait à mon bureau. Sur celui-ci se trouvaient les papiers usuels comme chaque matin. Un détail des revenus du restaurant de la veille, de Louis, des tous mes employés. Cela était important. Cela me permettait de savoir quel type de mission convenait le mieux à qui et comment. Se trouvait aussi sur mon bureau, une fiche explicative réunissant toutes les données possible et imaginable sur mes rendez-vous de la journée. De ce fait, je pouvais avoir un moyen de pression si un rendez-vous devait mal tourner.

J'avais à peine le temps d'enfumer mon bureau subtilement décoré que le premier rendez-vous arrivait déjà. Et les rendez-vous s'enchaînaient comme ça jusqu'à midi.

Je mangeais tous les jours au restaurant et l'après-midi commençait et allait se passer comme la matinée s'était déroulée… Ou presque.

Arrivait le dernier rendez-vous de la journée. Un journaliste venu pour me poser des questions. Celui-ci se terminait d'une façon un peu différente des autres. Une balle dans la tête. Qu'avait-il cru en venant chez moi afin de me poser des questions pareilles ? Je sortais ensuite de mon bureau, demandant à Louis de nettoyer mon méfait tout en jouant sur sa crédulité. Il était intéressant d'avoir un employé comme ça sous la main. À manier toutefois avec attention, cela pouvait être à double tranchant.

Il était dix-huit heures. Je n'avais plus grand chose de prévu pour aujourd'hui et je remontais à mon domicile sans même avoir mis le pied en dehors de l'immeuble de la journée.


Derrière l'écran


Pseudo : Klaus
Âge : 22 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Louis Montcalm, à mon plus grand malheur.
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : Faire grandir les possibilités de L'Axe ainsi que gagner en grade au sein du Syndicat.
 maxou’
Yurusu Kyôji
Apprenti Héros
Yurusu Kyôji
Profession : Élève 1S - Filière Héroïque
Rang : C
Points d'expérience : 490
Re: [AV/T] Klaus Jäger - Panzer Krieg - Terminée || Dim 17 Juin - 14:24


Bienvenue sur le forum


Hey !

C'est moi qui vais me charger de ta présentation, Mr. Char d'assaut allemand. Ah, et j'en profite pour te dire que je suis complètement fan de l'Alter que tu as choisi, je trouve ça juste génial. o/

Pour ce qui est de ta fiche, je l'ai lue et j'ai beaucoup aimé. Le nouveau modèle avec les questions a été respecté à la lettre, et tu as su jouer avec pour intégrer les questions directement en RP, et j'ai trouvé ça vachement intéressant à lire. Une petite pensée néanmoins pour ce pauvre journaliste qui ne cherchait qu'à faire son interview. Les risques du métier ! Et ce souvenir... aha !

Tout est bon pour moi en tout cas, je te valide donc au Rang A. Ta couleur, tes accès, ainsi que l'édition de ton profil arriveront prochainement. Wink

Infos/Rappels :
- Ta FT sera créée sous peu dans la zone HRP de ton groupe. N'hésite pas à consulter l'annexe expliquant le fonctionnement de ta FT et les modalités de passage ici
- Tu peux créer ton propre carnet de bord ici
- Pense à inclure le lien de ta présentation, celui de ta FT et éventuellement celui de ton carnet de bord dans ton profil !
- Si tu es à la recherche d'un RP n'hésite pas à faire un tour ici ou à rejoindre directement le Discord du forum

PS : @Louis Montcalm remporte 50 Yens pour t'avoir ramené parmi nous ! o/

Bon RP sur Dawn of Heroes

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