Surnom : Titania
Profession : Ex- Héroïne
Rang : A
Points d'expérience : 423
Renommée : 107
Alignement : Juge
| [AV/T - NS] Ogawa Kazue || Sam 24 Nov - 11:23 | |
| NOM & PRÉNOM : Ogawa Kazue
ÂGE : 26 ans
SURNOM : Titania
RANG : A
ALIGNEMENT : Juge [Loyal/Neutre]
PROFESSION : Héroïne du département de renseignements.
AGENCE : Tsukeru.
ALTER : Magnétisme
AVATAR : Sombra - Overwatch |
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Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?Satisfaisant est le premier mot qui me vient à l’esprit. Vivant dans un foyer entouré de personnes moyennes, avec un train de vie moyen et n’ayant finalement que des amis de ce même acabit. Mon enfance n'est guère intéressante et vous comprenez bien qu’une personne qui, comme moi, éprouve une véritable passion à récolter des informations ne va pas s’amuser à offrir les siennes. Donc, mon enfance était banale à souhait, où je vivais ? Inutile d’en parler, mes notes à l’école ? Correcte, sans plus. Petit ami ? Restons professionnel.
À Yuei, c’était tout autant le cas, mais j’avais déjà les prémisses de mon futur job qui se dessinais, m’amusant à enquêter sur les autres élèves dans le but de connaître leurs alters ainsi que leurs limites. J’arrivais même à me faire un peu d’argent en revendant certaines informations aux fils à papa dont regorge l’école. Ils doivent affronter quelqu’un, mais ils ne connaissent pas ses faiblesses ? C’est à moi qu’il venait demander des informations. Il n’était d’ailleurs pas rare que les deux camps viennent me demander de l’aide. Dans un même temps, c’était Tsukeru qui m’accueillait pour une formation plus approfondie, et surtout pour mes premiers pas sur le terrain, ils avaient connaissance de mon petit trafique, ce qui en toute logique me conduit directement dans la section de renseignement de l’agence, section dans laquelle je suis encore à l’heure où je vous parle.
Mes années à Yuei se passèrent sans accroc, blablabla…
Puis les missions d’espionnage, souvent sous couverture pendant quelques semaines, commencèrent. Un exercice auquel je tombe rapidement sous le charme, l’idée de jouer à un jeu à longueur de journée, passer pour quelqu’un que je ne suis pas réellement. J’y découvris énormément d’astuce de groupe criminel de bas étages. Étant une femme plutôt attirante, ils me pensaient inoffensive, n’hésitant pas à en montrer bien plus que prévu. Qu’ils sont naïfs…
Mais ce sera à l’étranger que mon principal fait d’armes aura lieu, au Mexique pour être plus exacte. Un riche homme d’affaires japonais avait fui le pays après avoir vu ses financements envers plusieurs groupuscules, mis aux yeux de tous. Nous étions plusieurs à être dépêché dans les différents pays où les groupes financés se trouvaient, la mission retrouver le fuyard et le ramener à Tokyo pour qu’il y soit jugée.Ca nous a pris, six mois, six putains de mois à retrouver sa trace, quel calvaire de devoir vivre à Mexico et a devoir faire copain-copain avec le groupe en question, les Los Muertos. Mais je finis par le retrouver, Tsukeru engagera alors des Héros américains dans le but de m’aider à rejoindre les états unis avec ma trouvaille, quelques jours plus tard, je revenais, enfin, au Japon accompagner du vieillard milliardaire.
Résultat des courses, je reçus une belle prime, tout comme Tsukeru en reçu une colossale de la part du gouvernement. À partir de là, je me suis vu offrir une place de choix dans l’organigramme de l’agence, je sais énormément de choses, sur un nombre colossal de personnes influente, et bien que je ne revende plus mes informations, j’ai toujours la possibilité de les utiliser. Mon rêve ? Avons-nous besoin d’un rêve pour avancer ? Je n’en sais rien, après tout, je n’ai pas réponse à tout. Mais si j’avais un rêve, ce serait sûrement celui d’être la personne la mieux informé de ce monde, être capable de connaître tout de la vie de chacun de mes interlocuteurs. Vous n’avez pas idée à quel point, les gens sont truffées de petits secrets honteux. Rien de mieux qu’un individu tenu tranquille par peur de voir divulguer au grand jour des informations compromettante, et j’aime tellement, voir quelqu’un d’apparence sans histoire, être pris aux dépourvues faces à ses actes qu’il pensait secret. Vilains, civils, politiques, héros… Ils ont tous des vilains petits secret, qui n’attendent qu’une chose être découvert. L’agence attends de moi, que je trouve cette aiguille enfouie dans une botte de foins, et je suis très douée dans cet exercice. Ils sont fascinants, si différents, les uns des autres, la plupart semblent déteindre sur le comportement de leur hôte. J’en ais vu des tas, ils sont tous à leurs façons incroyables, cette façon dont cela repousse les capacités humaines, cette puissance qui s’en dégage, je ne sais pas si les alter prouvent une quelconque supériorité, mais si certains viennent à le dire, je n’y vois aucune objection. Mon alter, est assez spéciale, et au contraire de certains, n’a pas vraiment déteint sur ma façon de voir le monde qui m’entoure, ou même sur ma spécialité. Contrôler la ferraille m’ouvrait des portes dans toutes les agences, j’ai sûrement choisie celle qui n’avait pas forcément besoin de mes talents, mais avec un peu d’ingéniosité, un alter comme le mien est utile dans n’importe quelle situation.
Et c’est pour cette simple raison que j’apprécie mon alter, il fait entièrement partie de ma vie, l’utilisant pour tout et n’importe quoi, c’est finalement rare que je l’utilise de manière offensive, sûrement due au fait, que mon job n’offre que très rarement des affrontements épique. |
Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?Six mois à attendre cet instant, à gravir chaque échelon de l’organigramme archaïque des Los Muertos, assise à la place du conducteur d’une voiture plutôt luxueuse pour le pays, j’attends patiemment l’arrivée de ma cible, une proie déjà aperçue, mais au grand jamais je ne pus aller plus loin qu’un contact visuel. Mais, ce soir, l’homme doit à nouveau changer de cachette, il paraîtrait que le Japon le cherche encore… Tu m’étonnes, je suis la personne venue le récupérer. Ayant pour mission de l’emmener au point indiquer, je suis seule à avoir été informée de ce transfert. La raison ? Il paraîtrait que je suis une personne de confiance, ce débile de trafiquant de drogue pense encore pouvoir me mettre dans son lit, je crois.
L’homme cherchant en moi une activité, extra-professionnelle arrive alors accompagner du dénommé Yajima Obha, le milliardaire s’installe à l’arrière et le chef de meute du gang mexicain ouvre la portière avant côté passager afin de me donner les dernières consignes.
– Tu te souviens du plan ? Amène-le à l’endroit prévu, sans te faire remarquer, celui qui nous cherche doit seulement surveiller les têtes pensantes du cartel, bonne chance.
Tête pensante, laisse-moi rire, son cerveau atrophier est comparable à un pois chiche, mais laissons-le y croire, la mission est bien plus importante que le remettre à sa place.
– T’en fait pas, je me souviens parfaitement du plan, ne reste pas dans le coin. Si le Jap' dont tu parles nous surveille, la mission tombe à l’eau.
Il acquiesce, me fait son sourire charmeur habituel, puis fini par s’éloigner de ma position actuelle. Une fois qu’il n’ait plus visible, j’allume simplement le contact et commence à rouler dans la direction indiquée par le plan, n’éveillons pas tout de suite les soupçons.
– J’allais oublier Señor Yajima, le patron à demander à ce que vous jetiez votre mobile, histoire d’être sûr que l’individu vous repaire pas grâce à ça.
– Il m’est rare d’entendre quelqu’un prononcé correctement mon nom, je vous félicite. Si Joaquin, me demande de jeter mon téléphone, je le fais, après tout il est sûrement plus habitué que moi à toute cette procédure.
Jetant alors sans discuter son téléphone, l’homme semble à l'aise avec cette idée, un homme de son envergure à dû perdre de son assurance en étant entourée régulièrement de criminels. Appuyant sur le bouton ouvrant, la fenêtre arrière coté passager, je le laisse y jeter son mobile, ce qui fera sans une once de regrets, j’appuie ensuite une nouvelle fois sur ce même bouton pour refermer la fenêtre teintée.
– Je suis heureuse que vous l’ayez remarqué, mais ce n’est pas si étonnant pour être honnête. Je n’ai beau ne pas en avoir l’air comme ça, sûrement à cause de mon père qui est d’origine brésilienne, mais je suis moi-même Japonaise.
Un silence s’installe dans la voiture, le milliardaire semble tiraillé entre l’idée que Joaquin ait engagé une criminelle Japonaise, ou l’idée qui est exact, celle que le héros qui le recherche et au final une héroïne et qu’elle se trouve dans cette même voiture. Ajustant le rétroviseur intérieur pour observer son passager, Kazue put voir ce dernier chercher son arme, qui comme tout bon membre de cartel qui ce respect, à toujours sur lui.
– Je ne ferais pas ça à votre place, Señor Yajima… Profiter juste de l’idée que vous retourner au bercail.
Il n’a pas décidé d’être coopératif, pointant son arme vers moi, il tremble, financé des terroristes, ne fais pas de toi un meurtrier finalement. Utilisant alors mon alter, il n’arrive pas à appuyer sur la cachette, elle semble comme bloquée et c’est bel et bien le cas. J’attire alors le pistolet vers moi, avant de l’utiliser pour lui en mettre un coup en plein visage. Assommer il sera moins récalcitrant à être emmené. Était-ce utile ? Pas forcément, mais se défouler n’a jamais fais de mal après tout.
Environs deux heures plus tard, nous finissons par arriver à la frontière américaine, que je passe alors sans aucun souci, suite à un coup de fil de Tsukeru, ayant prévue mon arrivée bien des heures plus tôt. Nous finissons par arriver à la frontière américaine, que je passe alors sans aucun souci, suite à un coup de fil de Tsukeru, ayant prévue mon arrivée bien des heures plus tôt. Puis la suite vous la connaissez, retour au Japon avec mon “colis”, la solide récompense qui s’ensuit et surtout le milliardaire qui encore à l’heure actuelle, est trimbalé dans différents pays, d’un tribunal à l’autre, devant répondre de toutes les crimes dont il est coupable.
Bilans des courses, c’était un chouette moment tout ce temps au Mexique… Je devrais peut-être envoyer une carte de vœux à Joaquin. Tout dépend de la gravité des faits, si nous parlons d’un simple vol à la tire, voir d’un cambriolage, il y a de grandes chances que j’appelle juste les forces de l’ordre et que je passe tranquillement mon chemin, si nous parlons que quelque chose de plus grave, je n’aurais d’autre choix que d’intervenir, ce qui ne m’enchante guère. Mon rôle à Tsukeru me demande, d’être discrète, je le rappelle.
Partons donc du principe que je doive à tout prix intervenir, qu’il en va de l’intégrité physique de la victime. Premièrement, je vérifierais autour de moi qu'il n'y ait que peu de témoins, je déteste me mettre en spectacle. Deuxièmement, je me dirigerais vers le lieu où le drame est en cours, sortant dans la foulée mes billes en aciers habituelle, elles sont parfaites quand il s'agit d'arrêter quelqu'un sans lui causer de graves blessures. À la suite de cela, tout s’enchaînera naturellement, désarmé l'agresseur, très facile, s'il utilise une arme faite en acier, ce qui est le cas 80% du temps, puis j'utiliserais mes armes pour le frapper jusqu'à ce qu'il soit assommer.
À la suite de cela, et, car les petits criminels ne m’intéressent pas, j’appellerais la police du coin pour qu'ils viennent récupérer le criminel. Et vu que la situation n'est jamais assez chiante, je devrais sans doute répondre aux questions des autorités, remplir un rapport… C'est surtout pour ça, que je n'aime pas intervenir. Une journée type... Il y a vraiment des héros avec un tant soit peu d'importance ayant une journée type ? Je n'en suis pas convaincue, j'aime justement ce que je fais, car chaque jour est différent, je peux me retrouver du jour au lendemain à l'autre bout du japon, pour une mission de six mois. Enfin, ce n'est plus vraiment le cas depuis que l'on m'a augmenté mes responsabilités. Disons qu'en temps normal, j'ai une vie assez tranquille, ayant le devoir d'être à Tsukeru, je me lève généralement à peine trente minutes plus tôt, j'habite à deux pas, du quartier général. Cet appartement, bien que pas très grand, fut sûrement le meilleur investissement que j'ai fait de ma vie. Imaginez le nombre d’heures de sommeil gagnée grâce à lui. C'est stratosphérique !
Une fois à Tsukeru, ma journée dépend, d’où ils ont besoin de moi. Quand je ne suis pas sur le terrain, j'aime bien traîner du côté des moniteurs diffusant les images prisent par les caméras jonchant le bâtiment. Quand le programme est inintéressant ? Il y a toujours les caméras de Tsumago, ou bien une petite rediffusion de l'interrogatoire d'une pourriture, plus le mec semblait intouchable, plus le programme sera de qualité. Les heures passent, puis j’enchaîne par une autre activité intéressante, la lecture des derniers rapport de mission extérieur, étant une sorte d'intermédiaire là-dessus, je dois juste noter les dernières informations recueillis par les membres sous couverture. C'est blasant, peu intéressant, mais il paraît qu'il faut quelqu'un de confiance pour le faire, pas une simple secrétaire, pourtant, j'ai l'impression d'en être une dernièrement.
Puis la journée se termine, en fonction de quand je n'ai plus rien à faire, traînant beaucoup entre chacun de mes devoirs, on peut dire que je pars souvent tard. Puis je mange un truc à l'extérieur, rentre chez moi, regarde un film, lis un livre… J’en sais rien ça dépend pas mal de mon humeur, avant d'aller dormir pour recommencer le lendemain. Bon sang, ça me manque une petite mission d'espionnage. |
Pseudo : Jean-Michel Len'opold Stotch
Âge : 24 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Bonne question
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : S'occuper des criminels qu'on ne soupçonne pas, tel que les héros/policiers/politiques jouant sur les lois.
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Dernière édition par Ogawa Kazue le Dim 25 Nov - 23:00, édité 1 fois |
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![[AV/T - NS] Ogawa Kazue 1543165032-sombra2](https://2img.net/image.noelshack.com/fichiers/2018/47/7/1543165032-sombra2.png)
