| [AV/T] Ame Setsujoku Yuna || Mer 15 Aoû - 17:29 | |
| NOM & PRÉNOM : Ame Setsujoku Yuna
ÂGE : 18
RANG : A
ALIGNEMENT : Dominatrice
PROFESSION : Etudiante en Médecine dans une fac de Tokyo
AFFILIATION : Totalement Dévoué à Setsujoku Koji
NOTORIÉTÉ : Le fait que je sois la fille adoptive d'un politicien n'est pas un secret mais n'est pas non plus crié sur tous les toits.
ALTER : Aquamancie
AVATAR : Asuna Yuuki - Sword Art Online |
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Quel est votre avis sur la vie que vous avez mené jusqu'ici ?Croyez vous réellement que l'on m'ait un jour permise d'avoir un avis sur ma vie ? Oh bien sûr, maintenant je suis contente de là où je me trouve. Être fille d'un politicien est vraiment agréable. Surtout quand celui ci est riche. Mais avant... Avant ma vie n'a été qu'une suite d'événement que je n'ai fait que subir. J'ai été conçu par des scientifique dans le but d'être vendue comme une "arme", j'ai étudié sous leurs ordres pour devenir cette arme de qualité, sans jamais rien demander. Comme un robot que l'on formate, dans lequel on insert des programmes pour le rendre de plus en plus polyvalent. Pas de sentiments, pas de raisonnement. Juste des actes répondant à une situation donné, ou à des ordres.
Mais ces idiots avaient tort d'essayer de me formater. Et ils ont payé cette erreur de leur vie.
Je ne regrette rien. J'ai su prendre les bonnes décisions lorsqu'il le fallait. Et la meilleur de toute fut le jour où Oni, envoyé par Setsujoku Koji, vint détruire le centre de recherche qui m'a conçue et formatée. Ce jour là, pour la première fois de ma vie, j'ai agis par moi même.
Ce jour là, j'ai tué un de mes geôliers.
Et c'est grâce à cela que je suis là où je me trouve à l'heure actuelle. Grâce à cette toute première décision prise de moi même. J'ai encore du mal à me projeter dans l'avenir. Jusqu'à mes dix ans, je n'étais qu'une bête de laboratoire. Aujourd'hui je suis libre de faire ce que je veux. Mes idéaux ? Monsieur Setsujoku m'a expliqué les siens. Il veut rassembler les gens possédant un alter pour que plus jamais il ne souffre du joug des sans alters. C'est à cause de ça que j'ai été créée et traitée comme une machine, alors je le comprends et je le suis. Parce que nous sommes plus évolués, des lois ont été créées dans le but de nous contenir, de nous rabaisser. N'est ce pas contraire à la liberté individuelle à laquelle j'ai eu le malheur de goûter et dont je ne peux plus me passer ?
Alors je veux que son souhait se réalise. Ne serait-ce que pour le remercier de m'avoir laissé une chance de vivre à ses côtés. Et quoi qu'il advienne, je refuse que tout autre personne que lui ne me donne des ordres. Et ce but ne me laisse pas le choix : je dois étudier et me hisser au sommet de la société.
Devenir médecin serait pas mal, pour commencer. Les alters ne sont autre qu'une partie de nous. Nous sommes nés ainsi, nous n'y pouvons rien, nous n'avons pas choisi. Regardez tous ces mutants qui se font pointer du doigt uniquement parce qu'ils sont nés différent, qu'y peuvent-ils ? Moi même, lorsque vient la pluie, je souffre d'une mutation de mon corps, et chaque fois que ça arrive, des gens se retournent sur mon chemin. Il y a des murmures, il y a des regards... Les sans alters sont jaloux de nous qui pouvons faire des choses extraordinaires. Et cette jalousie les ronge. Tant pis pour eux, la sélection naturelle ne les a pas choisit, c'est surement qu'il ne le méritait pas, alors qu'ils restent à la place qui est la leur, celle de nos ancêtres, d'une population qui finira, je suis sûre, par disparaître.
Quant-à mon propre alter, il est à l'origine même de mon existence, il me définit. Si je le haïssais, je me haïrais moi même. Alors je ne le juge pas, il est comme il est. J'ai été créée pour le posséder et sans lui je serais probablement morte. |
Avez-vous un souvenir dont vous souhaitez nous parler ?Assise à une table de la bibliothèque du centre de recherche, je lisais tranquillement un livre sur la psychologie humaine. Les lumières blanches et vives brouillaient toute notion du temps dans tout le bâtiment ou je vivais avec une trentaine d'autre "projet" comme ils nous appelaient, les hommes et femmes en blancs. L'un d'eux étaient d'ailleurs posté non loin de la porte, à pianoter sur son téléphone tandis qu'il surveillait les allées et venues de ce pouvant approcher de moi. Mais aujourd'hui, il y avait personne d'autre dans ce couloir. Et fait encore plus étonnant, les lumières se mirent à clignoter.
L'enceinte du bâtiment où nous vivions était parfaitement insonoriser, ne serait-ce que pour permettre aux projets de crier sans que personne n'en soit gêné. Il était donc impossible de savoir ce qui se passait au delà d'un couloir sécurisé. Que peut préoccupée par ce changement de luminosité du couloir menant à la bibliothèque ou je me trouvais, je ne levais pas le nez de mon livre, préférant chercher subtilement des réponses à mes questions sur les agissements des hommes en blancs. Je voulais les comprendre, savoir pourquoi ce type, là, devant cette porte, m'avait frappée pendant des heures alors que j'avais simplement osé, pour la première et dernière fois de ma vie dans ce lieu, poser une question. J'avais vraiment eu mal, et au fond de moi, je sentais que le regard que je portais sur cet homme avait changer.
Je voulais savoir ce que c'était.
L'homme, lui, était soudainement agité. Une main sur son oreillette, il essayait de communiquer avec le reste de son équipe. Mais personne ne répondit. Pire, quelqu'un activa son micro et un bruit de mort s'en échappa, puis plus rien.
Et finalement, quelqu'un arriva au bout du couloir, un sourire presque carnassier au visage. Cet homme n'était autre qu'Oni. Et tandis que mon geolier commençait à paniquer, moi j'explorais le chapitre sur la haine. Un sentiment fort, souvent néfaste, dû à une grosse rancune.
L'homme, en sueur sous le stress qu'il subissait et qu'à l'époque je ne comprenais pas, s'approcha de moi et m'ordonna de me mettre entre lui et l'homme qui s'avançait lentement mais surement vers nous. Un instant je restai là à le regarder, jusqu'à ce qu'une question me vienne en tête : "Pourquoi ? Pourquoi lui obéirai-je ?"
Une nouvelle première fois pour moi, je n'obéis pas à son ordre et repris la lecture de mon livre. La haine, ce sentiment qui donne envie de faire du mal à autrui. La vision de la chose hait est insupportable, une envie irrépressible né en nous de la faire disparaître.
L'homme en blanc insista, me menaçant des pires tourments qu'il m'avait déjà fait subir si je n'obéissais pas. Puis, perdant le peu de calme qui lui restait, me gifla au visage ce qui me fit tomber de ma chaise. Ayant fini mon paragraphe, je me relevais sans sourciller. Sans me porter plus d'attention, l'homme se tourna alors vers Oni qui avançait toujours, il ne lui restait plus que quelque mètres avant de nous atteindre.
Et moi, je décidais de suivre cette envie décrite dans le livre.
Ma main agrippa celle de l'homme en blanc sans qu'il ne le remarque tant la peur de l'adversaire le subjuguait. Lentement, mon pouvoir pris le contrôle de son sang, d'abord dans son bras que je tenais, puis dans son buste, dans ses jambes.
En dernier recours pour se défendre du criminel qui s'avançait, le chercheur tortionnaire dégaina une arme. Une sécurité nécessaire qu'il avait toujours sur lui au cas ou un projet se rebelle. Il pointa son arme sur Oni, et au moment d'appuyer sur la détente, rien ne se passa.
Son bras m'appartenait.
Et en l'espace d'une seconde, son bras se retourna contre lui, posant son flingue sur sa tempe, et son doigt pressa la détente.
BANG. Qu'en ai-je à faire des crimes, moi ? Si un homme braquait une banque dans une rue où je suis, je regardais sans doute un instant, puis je passerai mon chemin. Si quelqu'un se faisait frapper devant moi et qu'il n'y avait personne d'autre, j'appellerai la police avant, ne souhaitant pas me faire arrêter pour "non assistance à personne en danger", mais je ne resterai pas pour regarder la suite. Les crimes, la justice, je n'ai que faire de tout ça.
Il n'y a peut être que si c'était Oni le criminel où là, j'agirai en toute discrétion pour l'aider, mais s'il y a déjà trop de témoin autour, alors je ne ferai rien. Car la réputation de mon tuteur passe avant tout, et il n'est pas question que je lui fasse du tort.
Alors je me dois d'agir en civile modèle, sans histoire et surtout, sans utiliser mon alter. Ce qui me rend la tâche compliquée les jours de pluies. Car ma peau mouillée se recouvre d'écailles tandis que mes cheveux et yeux virent au bleu.
Finalement, si je devais vraiment participer à un crime, je suppose que ce serait en temps que victime de par la position de mon tuteur. Mais soyez sûre que la victime deviendrait très vite le criminel d'une affaire pareil au moindre signe de danger.
Comme dit le proverbe : Méfiez vous de l'eau qui dort... ♪ Sept heures je me réveille et dehors il fait clair...♫
Non. C'est pas ça du tout.
Je me lève le matin, je me prépare, je vais à la fac par obligation. Il parait qu'il faut un diplôme pour devenir médecin, alors j'y vais. Mais en vérité, la plupart des connaissances, je les ai déjà puisque j'ai passer toute mon enfance à étudier la médecine.
A la fac, je regarde les gens, plutôt de loin. Très peu sont comme moi, doté d'un alter, car la majorité des étudiants qui en possèdent vont étudier à Yuei pour devenir héros, vont devenir des chasseurs de personnes possédant des alters... Les gens sont vraiment stupide.
Le plus souvent je suis seule. Soit je lis mes livres, soit je regarde les autres étudiants s'amuser. Un principe qui m'est encore un peu trop étranger. De temps en temps, quelques personnes me prennent en pitié et viennent me voir. Mais au fond de moi, je reste méfiante à leurs questions, leurs différentes propositions. Je vois souvent des ordres là où il n'y a pas lieu d'en avoir.
Afin de me garder en forme, je fais parti du club d'escrime de mon université. Au départ, je n'étais que membre, mais cette position ne me convenait pas, alors j'en ai très vite défier le président pour prendre sa place. Bien évidemment, je l'ai vaincu. Cette activité m'occupe, et à la tête de la section, je prend un certain plaisir à diriger.
Lorsque je rentre le soir, il m'arrive de sortir avec Oni comme garde du corps. Quand mon tuteur n'est pas trop occupé, il m'accorde un repas avec lui.
Et lorsque je ne vais pas à la fac, je l'assiste dans ses tâches quotidiennes, dans ses plans de politiciens.
Il m'est déjà arrivé de sortir en mission avec Oni. Usant de mon alter pour mener à bien les tâches qui nous sont confiées.
Et plus rarement, j'échappe à toute surveillance la nuit et j'erre dans les rues, regardant les hommes et femmes se balader, essayant désespérément de comprendre leurs actes.
Et je me demande, serais-je un jour moi aussi capable de ressentir tous ces sentiments ? La magie de la science...
A notre époque, la médecine est capable de miracle, et notamment du miracle de la vie. Une mère porteuse ? Non mais attendez, on est en 301, les mères porteuses, c'est tellement hasbeen. Maintenant, il y a des incubateurs qui permettent d'offrir un environnement optimal au développement d'un fœtus, de la fusion des gamètes à la "naissance", représenté par la sortie de l'incubateur.
C'est ainsi qu'a été conçue Yuna, ou plutôt, numéro 6.
Dans un centre de recherche à des fins militaires d'une organisation privé souhaitant proposer son projet une fois réalisé, une trentaine d'enfants furent conçus grâce aux généreux "dons" de gamètes de possesseurs d'alter répondant à un appel d'offre grassement rémunéré. Ainsi, les chercheurs de l'entreprise entreprirent de réaliser des croisements de gamètes en fonction des alters des différents donneurs.
Il en résultat un grand nombre de "projet" conçut de la sorte, tous possesseurs d'alters plus ou moins bien "prédéfini" à la conception.
Dans ce centre, les enfants étaient testés tels des animaux de laboratoires. Et tout était mis en place pour leur permettre de développer aux mieux leurs pouvoirs uniques. Il n'y avait que peu de place pour l'amusement ou simplement la tendresse de parents. La technologie ne permettant pas encore de créer des robots avec des pouvoirs aussi diversifiés que les alters, ce centre se faisait un devoir de créer des enfants avec un mental aussi fort et inflexible que celui des robots.
Numéro 6, la 6ème conception, fut l'un de ces projets.
Comme tous les autres, elle grandit dans cette ambiance stagnante, bercée de tests, de contrôles mais surtout d'apprentissages. La plupart des enfant découvre leurs alters autour de 4 ans, mais au centre, la moyenne était plutôt autour de 2. Bien que dès la naissance, il vire sa caractéristique physique à changer de couleur d'yeux et de cheveux et à se recouvrir d'écailles lorsqu'elle était mouillée, son véritable pouvoir se manifesta le jour de ses deux ans. A la découverte de cet alter de manipulation de l'eau, les tests s'amplifièrent, et ils finirent par révéler ses capacités à influer aussi sur les liquides du corps.
Alors, elle commença à étudier la médecine et l'anatomie, en plus du combat au corps à corps et avec son alter. La douce enfant docile finit par grandir, jusqu'à atteindre l'âge de raison. Âge où elle commença à se poser des questions sur les relations qu'il existait entre ces adultes qui parlait autour d'elle. Relations qu'elle ne comprenait pas, étant pour la plupart du temps seule dans sa "chambre" nappée de blanc. Mais dans son monde, on ne posait pas de question car personne ne lui avait appris à le faire, ou simplement autorisé. Elle savait y répondre, simplement. Sauf que là, elle était sans réponse. Et elle le demeura pendant encore près de deux ans, sa liste de questions augmentant avec le nombres de ses incompréhensions relationnelles. Elle avait entendu des gens "rire", des gens hurler aussi, parfois. La colère, elle connaissait et ne voulais jamais la provoquer. Voulant savoir, elle chercha des réponses dans les livres lorsqu'on lui autorisait l'accès à la bibliothèque, mais à ses yeux, cela restait un mystère bien qu'elle commença à douter de ces hommes et femmes en blancs qui s'occupaient d'elle. Alors une fois, elle osa poser une question, une simple question : "C'est quoi "les sentiments" ?"
Sauf qu'un robot n'est pas censé avoir de sentiments. Et n'est pas censé non plus poser de question. Alors ses exercices devinrent plus dur, ses punitions plus sévères, voire douloureuses.
Et vint le jour où un homme chamboula tout son univers. Cet homme ne fut autre qu'un envoyé de Setsujoku Koji, Oni de son nom. Le politicien ayant entendu parler de cette infrastructure à force de recherche décida de tuer dans l’œuf le projet de cette entreprise privée mené par des sans alters qui souhaitait vendre ces recherches finalisées au gouvernement.
L'envoyé fit un véritable massacre sur place, devant combattre des enfants qui défendaient leurs geôliers parce qu'ils ne savaient qu'obéir aux ordres. Numéro 6 elle, était entrain de lire à la bibliothèque lorsque ce massacre se produisit. Un livre fort intéressant sur la psychologie humaine.
C'est surement à cause de ça que lorsqu'un chercheur qui s'occupait d'elle lors de ces punitions vint la voir en panique, elle se contenta de le regarder sans bouger. Surement pour ça que lorsqu'il s'énerva et la frappa, elle ne bougea toujours pas. Et lorsqu'Oni pénétra dans la pièce, obligeant l'homme en blanc à faire volte face, numéro 6 se leva enfin, et attrapa le bras de l'homme, qui apeuré par la lueur destructrice dans les yeux d'Oni, ne remarqua pas le contact de la jeune fille de 10 ans. Il ne remarqua pas non plus le changement dans ses veines, et la perte progressive du contrôle de son corps. Sa dernière action volontaire fut de pointer un flingue en direction du criminel. Puis numéro 6 pris le contrôle intégral de son corps et retourna l'arme contre le porteur, avant de l'obliger à tirer. Le figeant pour l'éternité dans une expression de frayeur intense.
Numéro 6 regarda alors Oni avec un visage n'exprimant aucun sentiment. Puis elle retourna s’asseoir pour lire.
C'est peut être ça qui plu à Oni ce jour là. Toujours est-il qu'après n'avoir laissé qu'une survivante, il décida de l'emmener avec lui jusqu'à Setsujoku Koji qui, durant l'intervention d'Oni, fut la cible d'un attentat l'ayant sévèrement empoisonné avec une substance inconnu des médecins qui s'attelait à faire de nombreux tests pour réussir à sauver le politicien pour le moment cloué sur un lit d'hopital.
Et après avoir montrer de forte réticence quant à devoir gérer une gamine apathique de dix ans qui plus est dans sa précaire situation de l'instant, il lui laissa finalement une chance de lui montrer en huit clos ce qu'elle savait faire...
Le lendemain, il était entièrement débarrasser de la substance inconnu qui avait circulé dans ses veines. At Numéro 6 qui, comme la lune influait les mouvements de l'eau et changeait d’apparence sous la pluie devint Ame Setsujoku Yuna.
Avec un caractère aussi extrême et destructeur tel qu'elle avait été façonnée, sans aucune notion de bien ou de mal, Yuna fut contrainte de prendre des cours à domicile durant plus de cinq ans. Après cette période, elle finit par gagner un caractère plus proche de ce que l'on attend d'une jeune femme sans pour autant comprendre complètement cette notion de "sentiment". Et, prenant exemple sur son tuteur légal, elle devint peu à peu très autoritaire et directive. Mais dans les situations critiques, elle redevient l'enfant docile et obéissante formatée pour survivre sur un champs de bataille.
La médecine étant son domaine de prédilection, elle fit le choix de continuer ses études la dedans, plus part habitude que par conviction. Et parce qu'elle comprenait maintenant que c'est dans ce domaine que son alter avait le plus de chance d'être destructeur.
Car plus jamais elle n'acceptera qu'on lui dicte sa conduite. Sauf si c'est Koji, parce qu'il est celui grâce à qui elle a enfin des réponses qu'elle cherchait. |
Pseudo : Izya
Âge : 25
Comment as-tu connu le forum ? : Lunalyn me l'a montré, donnez moi/ lui 50 yens !
Quel est le but de ton personnage à court, moyen et long terme : A court terme ? Que Koji lui file des sous pour s'acheter une nouvelle voiture, l'autre est dans un lampadaire... Pour le reste, ça dépendra de demain.
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maxou’ |
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