06. Les forces de l'ordre au japon
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06. Les forces de l'ordre au japon

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06. Les forces de l'ordre au japon || Lun 10 Sep - 15:16


Hiérarchie Japonaise


L'empereur

L'empereur du Japon est le chef de l'État japonais de facto. Depuis la Constitution promulguée en 1947 lors de l'occupation ayant suivi la Seconde Guerre mondiale, il a en réalité un rôle uniquement symbolique et détient sa fonction du peuple japonais. Il continue symboliquement à nommer le premier ministre, mais uniquement en se conformant au vote du parlement.
Il réside essentiellement au palais d'Edo, à Tokyo.


Le Cabinet du Japon

Le Gouvernement japonais est dirigé par un premier ministre qui préside le Cabinet du japon ou siègent tous les ministres d'états ainsi que le président de la Commission nationale de sécurité publique.


La Commission nationale de sécurité publique

La Commission est un conseil de Sept membres chargée de s'assurer de l'indépendance du système policier vis-à-vis du monde politique, et de l'emploi par les forces de l'ordre de méthodes respectant les droits de l'homme et les libertés individuelles. Elle gère l'Agence nationale de la police; qui regroupe les unités de chaque préfecture, le Département de la Police Métropolitaine de Tokyo, ainsi que les agences et écoles de héros. Les Sept membres sont toujours le Surintendant Général de la police de Tokyo, le Directeurs de Reiwa assisté de ses deux chefs de département, Le Commissaire général de l'agence Nationale de la police et deux Commissaire généraux choisis parmi les préfectures japonaises. Le président actuel de la Commission est le Surintendant Général de la police de Tokyo.

Il existe depuis quelques années une volonté de la part des héros et de leurs soutiens, de rajouter un huitième membre qui serait la directrice de Yuei, mais le gouvernement actuel tient à ce que les héros restent minoritaires au sein de la Commission par rapport aux policiers.  


Gouverneurs et préfectures

A l'échelon inférieur de l'état se trouvent les gouverneurs des 47 préfectures du japon. Disposant d'une grande autonomie au niveau local, les gouverneurs sont élus au sein de la préfecture, sans limite de nombre de mandats. Ils n'ont pas de pouvoir décisionnel direct sur les unités de police, mais peuvent éditer des ordonnances qui ont force de loi dans leur préfectures, y compris pour doter la province d'unités de protection locales sous leurs ordres directs.


Maires, villes et districts

Chaque préfecture est divisé en ville et en district ruraux dirigés par des maires municipaux ou de districts. Suivant les ordonnances du gouverneur local, leur influence comme leur pouvoir est très variable, mais se résume le plus souvent uniquement à la gestion administrative de leur district.



Dernière édition par Maître du Jeu le Sam 29 Sep - 23:39, édité 1 fois
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Re: 06. Les forces de l'ordre au japon || Lun 10 Sep - 15:30


Le Département de la Police Métropolitaine de Tokyo



Derrière un nom trompeur qui laisse penser aux touristes qu'il n'est que le département de la préfecture de Tokyo, le Keishicho est en fait l'équivalent japonais du FBI américain. Il compte prés de 50 000 hommes et se distingue des autres départements par la présence en son sein de nombreux bureaux et divisions spéciales liés à la capitale et au gouvernement. Il est dirigé par un Surintendant Général qui est le gradé le plus élevé de la Police Japonaise et qui ne répond qu'au cabinet du Japon, et malgré son nom relativement anodin, sa juridiction s'étend en fait sur tout le pays.

Outre ses services de police normaux, Le département de la police de Tokyo est surtout connu pour ses quatre bureaux spéciaux.


Le Bureau de la sécurité

Le bureau de la sécurité s'occupe des affaires de maintien de l'ordre dans la capitale et sur le territoire japonais. Il regroupe les divisions suivantes:

La Division d'assaut est la Première division des Kidotai, les divisions anti émeutes de la police japonaise. C'est sans conteste le meilleur groupe d'intervention de la police japonaise, tous les gradés des Kidotai préfectoraux sont passés par leur centre de formation, leur équipement est le meilleur du japon, et leur entrainement vaut celui de n'importe quelle force spéciale.

-Possibilités d'intervention :
Comme les escouades locales du kidotai, la division d'assaut dispose toujours de sections mobilisables instantanément, ainsi que des transports aériens nécessaire à un déploiement rapide sur tout le territoire en quelques heures.

-Équipement et entrainement :
Non seulement les hommes de la section d'assaut ont un entrainement aussi complet que celui de n'importe quelle force spéciale, mais ils bénéficient en plus du meilleur matériel de l'industrie japonaise. La plupart des prototypes d'armement passent leur test en condition chez eux.


La Division de la garde impériale assure la sécurité de l'empereur, de sa famille, et de tous ses lieux de résidence au japon. Elle compte un millier d'hommes recruté parmi des volontaires vétérans de la police de Tokyo, le plus souvent des anciens de la Division d'assaut.

-Possibilités d'intervention :
La garde impériale agit comme une force de police pour toutes les enceintes appartenant à la famille impériale. Elle peut y procéder à des contrôles, arrestations et détention en toute légalité.

-Équipement et entrainement :
La garde impériale est formée de vétérans de la police de Tokyo, le plus souvent d'ancien de la division d'assaut. Derrière leurs allures de gardes meubles traditionnels, les membres de la garde sont des professionnels extrêmement compétents, et qui ne reculeront devant rien pour accomplir leur mission. S'en prendre a l'empereur et a sa famille étant un crime majeur, la garde utilise un équipement militaire on ne peut plus létal.


La Division de protection des personnalités est chargé de la sécurité des membres les plus importants du gouvernement, des dirigeants des grands partis nationaux et des personnalités étrangères, Elle gère aussi la surveillance des locaux du cabinet du japon et de la Diéte.

-Possibilités d'intervention :
La Division de protection  agit comme une force de police pour tout ce qui touche a l'entourage des personnalités qu'elle protège. Elle peut procéder à des contrôles, arrestations et détention en toute légalité.

-Équipement et entrainement :
Bien qu'ils puissent provenir de tous les services de la police, la plupart des membres de la division de protection sont choisis parmi le bureau de la lutte contre le crime organisé. Tous les membres suivent pendant trois mois une formation spéciale au sein de la division d'assaut. Discrétion et politique oblige, ils privilégient des armements discrets et passe partout surtout acé sur la sauvegarde de leur personnalité. Mais chaque équipe possède généralement un équipement lourd a portée de main. Que ce soit un pistolet mitrailleur planqué dans une mallette ou un lance grenade rangé dans le coffre.  


Le Bureau de la Sécurité Publique

Version japonaise de la CIA, ce bureau est chargé de détecter et prévenir les crimes sérieux commis à l'étranger et qui pourrait toucher le pays et protéger le japon contre les méfaits du terrorisme et de l'espionnage. Il compte dix divisions chargés tout autant de surveiller les mouvements politiques extrémistes ou les syndicats, que d'assurer le contre espionnage vis a vis de la russie, et du bassin asiatique. Seuls les meilleurs agents peuvent espérer intégrer ses rangs.

-Possibilités d'intervention :
Les inspecteurs de la sécurité publique sont essentiellement des spécialistes du renseignement et de l’enquête. ils sont rarement au cœur de l'action, sauf quand ils servent de chaperon ou de coordinateur a des escouades de la police opérant des interventions ciblées.

-Équipement et entrainement :
Les policiers possédant des alters sont souvent fortement incités a intégrer ce bureau. De manière évidemment tout à fait informelle, après tout, seuls les héros ont le droit d'utiliser leurs pouvoirs. Mais tant qu'a en avoir, autant être sur qu'ils occupent les places les plus importantes.Suivant son service d'origine, chaque policier a des compétences particulières, mais tous sont des professionnels très bien entraînés au maniement de leurs armes et leur style de prédilection.


Le Bureau de Lutte contre le Crime Organisé

Cinq divisons spécialisés dans la lutte anti-gang, anti-drogue et anti-trafic d'arme. Chargés de la lutte contre le yakuza, et de la coopération avec les agences de police internationale. Ils s'occupent aussi des programmes de protection de témoin et travaillent très souvent avec les gardes cotes et l'agence tsukeru. Plus que de bonnes notes, intégrer le bureau demande une loyauté sans failles et un dévouement tout entier à son métier.  

-Possibilités d'intervention :
Les inspecteurs de lutte contre le crime organisé sont des spécialistes de l'infiltration et la lutte anti gang. Ils sont très liés a tsukeru avec qui ils partagent beaucoup de points communs. Sur le terrain ils passent généralement tout à fait inaperçu, et interviennent le plus souvent lors d'opérations ou ils sont chargés de coordonner les forces de police.

-Équipement et entrainement :

Les policiers possédant des alters sont souvent fortement incités a intégrer ce bureau. De manière évidemment tout à fait informelle, après tout, seuls les héros ont le droit d'utiliser leurs pouvoirs. Mais quand on est tout seul en mission d'infiltration dans un clan yakuza, il est toujours utile de pouvoir compter sur un as dans sa manche. Suivant son service d'origine, chaque policier a des compétences particulières, mais tous sont des professionnels très bien entrainés au maniement de leurs armes et leur style de prédilection.


Le Bureau des Affaires d'Alter  

Derniers nés des bureau de la police de Tokyo, le bureau des affaires d'alter est chargé de recenser, lister et surveiller les porteurs d'alter.

-Possibilités d'intervention :
Les interventions liées aux alters étant systématiquement l'affaire des agences de héros, il est rare que des membres du bureau des alters se retrouvent à intervenir sur le terrain. Leur boulot à eux est plutôt affaire d’enquêtes, d'analyse et de renseignement. Cela dit, c'est probablement le bureau qui travaille le plus régulièrement avec les supers héros, en leur fournissant des renseignements tirés de leurs bases de données.

-Équipement et entrainement :
Suivant son service d'origine, chaque policier a des compétences particulières, cela dit les membres du bureau ne sont pas vraiment recrutés pour leur adresse au combat ou leurs aptitudes physiques, ce sont des professionnels entrainés mais rarement des foudres de guerre.


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Re: 06. Les forces de l'ordre au japon || Lun 10 Sep - 15:35


L'Agence Nationale de la Police


Les préfectures de la police Japonaise

Fortes de 300.000 agents, les forces policières japonaises sont visibles et très actives dans tout le pays. Chaque préfecture est une entité quasiment autonome dirigée par un commissaire général, qui dispose à sa guise des forces placés sous ses ordres. Ils sont eux mêmes dirigés par un Commissaire général de l'agence Nationale de la police, nommé par le cabinet du japon.

Les gardiens de la paix arpentent leur secteur et discutent avec les habitants et les commerçants. Ils assurent des permanences dans les très nombreux kobans, ces petits locaux occupés par un ou deux agents. Dans certaines villes, ces mini-postes de police sont parfois séparés de moins de deux cent mètres.
Un maillage extrêmement efficace au niveau du service à la population et de la lutte contre la petite délinquance, mais une dispersion qui montre très vite ses limites dés que les circonstances s'aggravent. Pour compenser, chaque préfecture dispose donc aussi de brigades d'assaut et de patrouilles motorisés et d'une ou plusieurs divisons de Kidotai, des escouades anti émeutes compétentes aussi bien dans le maintien de l'ordre que dans les opérations plus techniques tels que prises d'otages, luttes antigang et autres opérations d'assaut et de combat à haut risques.

Grades et hiérarchie de la police:

Possibilités d'intervention :
En cas d'actes criminels grave, le policier japonais est le plus souvent enclin à prévenir et à sécuriser plutôt qu'a réagir, en attendant une intervention rapide nettement plus lourde et bénéficiant d'importants soutiens. Leur répartition leur permet de repérer très rapidement une infraction en cours et une fois repéré, de coordonner très efficacement l'intervention des autres services, brigades motorisées et Kidotai.

Équipement et entrainement :
La Loi requiert un usage non létal des armes, sauf en cas de nécessité et de légitime défense ou en présence d'auteurs d'infractions avérées passibles de la peine capitale. Il est également autorisé à l'encontre des personnes détenant ou susceptibles de détenir tout armement de caractère létal. Dans les faits, beaucoup de policier de rue n'emportent pas d'armes à feu classique, leur préférant des armes incapacitantes dont l'usage nécessite moins de précaution. Leur dotation standard comporte les derniers modèles de pistolet à décharges incapacitantes et des fusils à colle. Ils sont formés à la gestion des foules, à l'arrestation et l'immobilisation de suspect, mais sont souvent rapidement dépassés quand la situation dégénère.

Les policiers des brigades motorisés, très souvent confrontés aux bandes de motards ou premier a subir des tirs en arrivant sur les lieux d'intervention, sont eux toujours équipés d'armes plus lourdes. Chaque voiture emporte un fusil d'assaut et ils ne sortent jamais sans un équipement de protection complet. Ils travaillent en binôme et bénéficient d'un bon entrainement aux situations extrêmes. Ils sont souvent soutenus par des unités de surveillance aérienne, et disposent de drones de repérages volants lancés à partir de leurs voitures.

Les escouades du Kidotai de leur coté sont équipés du matériel militaire ou de maintien de l'ordre de leur choix. Ils sont formés a presque toutes les situations, et se déplacent toujours en groupe et munis d'un soutient conséquent. Quelle que soit la préfecture, une escouade du Kidotai se tient en permanence prête à intervenir en urgence sur le territoire, et les autres sont mobilisables très rapidement.



Dernière édition par Maître du Jeu le Lun 10 Sep - 15:40, édité 2 fois
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Re: 06. Les forces de l'ordre au japon || Lun 10 Sep - 15:39


La brigade pénitentiaire

Dépendant du ministre de la Justice, la brigade pénitentiaire s'occupe de tous les lieux de détention du Japon ainsi que du transport des prisonniers à l'extérieur des murs. Depuis les bagnes de rééducation pour jeunes délinquants jusqu'au prison de haute sécurité qui accueillent les porteurs d'alter et les condamnés à mort en passant par les centres de détention qui accueillent les prévenus en attente de jugement. A l'exception de ceux possédant des alters, les prisonniers sont orientés en fonction de leur durée d'emprisonnement et de leur age. Chaque prison n'accueillant que des longues ou de courtes peines, plus ou moins de dix ans. Chacune des six régions  japonaises compte une prison de haute sécurité ou sont enfermés les alters condamnés à une lourde peine et les condamnés à mort. Seule exception, la prison de la région de Sapporo a été fermé en 290 suite a une révolte des prisonniers. Les détenus venant de Sapporo sont maintenant transférés sur Tokyo.

Possibilités d'intervention :
Hormis lors de transport de prisonniers, les hommes de la brigade pénitentiaire n’opèrent jamais a l'extérieur de leur prison. En escorte ils ne disposent d'aucun pouvoir de police et se contentent d'assurer la protection de leurs prisonniers. Les transports à risque recevant généralement un renfort supplémentaire de la police.

Équipement et entrainement :
L'entrainement et l'équipement sont globalement similaires à ceux des agents de la rue, la sympathie et le relationnel en moins. Chaque prison dispose d'une unité anti émeute un peu plus équipé et ayant subi un début d'entrainement militaire.


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Re: 06. Les forces de l'ordre au japon || Lun 10 Sep - 15:40


La garde côtière du Japon

Dépendant du ministre du Territoire et des Transports, la garde côtière du japon est forte de 15000 hommes et de 400 bateaux. Elle supplée la Force maritime d'autodéfense japonaise en ce qui concerne la protection du littoral, le secours en mer, la police des mers et la lutte contre les navires-espions. Et travaille très souvent main dans la main avec Kyuunan

Elle dispose d'une flotte et d'un grand nombre de bases par région, à l'exception de la presque ile d'HokKaido. Les bases et la flotte qui s'y trouvaient ont en effet été déplacés plus au nord en 290, date ou l'archipel des iles Kouriles, rebaptisé territoire du Nord Japon, à été reprise à la Russie.

Possibilités d'intervention :
La garde côtière a la main haute sur tout ce qui se passe en mer et dans l'enceinte des ports du japon. Aussi bien sur des contrôles de permis de pèche que sur le trafic d'armes entre la pégre du japon et la chine. Ils ont la même autorité et pouvoir que la police.

Équipement et entrainement : Similaire aux brigades motorisés de la police.


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Re: 06. Les forces de l'ordre au japon || Lun 10 Sep - 15:49


La Force d'autodéfense Japonaise


La force d'autodéfense du Japon est l'armée du japon. Elle est placée sous les ordres du ministre de la défense et elle est très classiquement divisée en trois composantes, terrestre, maritime et aérienne et compte environ 300 000 soldats.


Force aérienne d'autodéfense japonaise

40 000 hommes essentiellement chargés de la gestion des systèmes antimissiles du japon. Très proche de puissances potentiellement hostiles et possédant l'arme nucléaire, le Japon a lourdement investi dans un vaste parapluie antimissile réparti sur toute les cotes et iles de l'archipel, et la majeure partie des hommes de la force aérienne est voué à s'en occuper. Son QG est la base de Yokota, dans la banlieue de Tokyo.


Force maritime d'autodéfense japonaise

Forte de 60 000 hommes répartis en six flottes, elle compte parmi les cinq premières flottes mondiales en terme de tonnage. La force maritime est chargé d'assurer la défense de l'archipel japonais, de ses eaux territoriales et surtout de ses voies maritimes dont dépend complétement l'économie japonaise. Son QG est la base navale de Yokosuka, à l'entrée de la baie de Tokyo. Elle dispose de cinq autres bases répartis sur tout le tour du littoral japonais, et chacune chargé d'un secteur maritime précis. Il est intéressant de noter que la base la plus au nord n'est pas placé sur le littoral d'hokkaido, mais juste en face, dans le district d'Ominato. Il a été question un temps de déplacer la base, mais le gouverneur d'Hokkaido a estimé que sa préfecture n'avait pas les moyens d'entretenir une base militaire de grande ampleur.


Force terrestre d'autodéfense japonaise

Comptant 200 000 hommes, la force d'autodéfense terrestre est la composante la plus nombreuse de l'armée japonaise. Ils sont répartis sur tout le territoire japonais et divisés en cinq armées répartis sur 10 bases militaires à travers tout le pays, à l'exception encore une fois de l'ile d'Hokkaido.

L'une des particularités majeures des forces d'autodéfense terrestre est leur participation active au maintien de l'ordre en tant que force de sécurité publique. Il est en effet possible de les mobiliser via un ordre direct du premier ministre ou sur demande d'un gouverneur de préfecture, pour peu que celui ci estime que l'ordre publique ne peut être maintenue sans l'intervention de l'armée.

Une possibilité qui n'a cessé de se reproduire de plus en plus fréquemment ces dernières années.

Possibilités d'intervention :
L'armée japonaise sert de plus en plus souvent de bouche trous a des services policiers ou a des gouverneurs débordés par le climat social de plus en plus inquiétant au japon. Il n'est donc pas rare de voir des militaires s'occuper de bloquer ou disperser une manifestation, jouer les contrôles sur des axes routiers, patrouiller dans les banlieues les plus pourris ou garder des bâtiments officiels. Ils utilisent alors les mêmes règles d'engagement que la police, et même s'ils sont le plus souvent placés sous contrôle policier, leurs officiers sur place et en mission ont le droit d'ordonner des contrôles, des arrestations, des détentions et des interrogatoires.

Équipement et entrainement :
La condition des fantassins de l'armée japonaise est globalement plutôt mauvaise, ce n'est pas qu'ils manquent d'entrainement, c'est surtout qu'ils manquent d'expérience. L'armée japonaise n'a fait que du maintien de l'ordre depuis la seconde guerre mondiale, et ses opérations sur le terrain sont essentiellement des répressions d'émeutes ou de la protection civile. Quand on ajoute à cela que la plupart des soldats sont des jeunes sans diplômes surtout désireux d'éviter le chômage qui frappe les banlieues, et que l'équipement du soldat de base est encore copié sur celui du soldat américain du siècle dernier, on obtient un bilan assez médiocre qu'ils compensent généralement par le nombre.
A noter que ce n'est pas le cas des sections plus valorisés, généralement les plus technologiques comme les divisions blindés qui sont d'un excellent niveau de compétence et d'équipement.

  • La division KAMI:
    Les hommes des la division KAMI sont au soldat japonais de base ce qu'un jeune scout avec un opinel est à un commando armé. Parce que même quand on appelle son armée force d'autodéfense, il faut avoir des gars qui peuvent aller faire de la défense préventive sur cible, réussir, et rentrer au pays sans se faire prendre. Ces types la forment la division KAMI.

    Possibilités d'intervention :
    La division KAMI n'obéit qu'au ministre de la défense et au premier ministre, ils n'agissent que sur ordre exprès, pour des opérations soigneusement préparés, rapides et terriblement efficaces. On ne sait pas ou est leur QG, qui ils sont, combien ils sont, et les milieux qui mentionnent leurs noms leurs imputent en général tout les trucs sur lequel on arrive pas à avoir d'infos, des trucs comme l’arrêt soudain du programme nucléaire nord Coréen ou la disparition inexpliquée du second secrétaire du Bureau politique chinois. Si vous ne savez pas et qu'il n'y a pas d'infos, c'est surement un coup de la division KAMI.

    Équipement et entrainement :
    Sans surprise, la division bénéficie de ce qui se fait de mieux dans un des pays les plus avancés technologiquement, et ayant bénéficié de la plupart des inventions américaines en matière d'armement. On parle d'armures de camouflages, de laser, de types ayant tous des alters en violation complète des règles des agences. Une chose est globalement assez sure, ces gens la ont le cout d'entrainement et de dotation le plus important de tout le japon.


  • Le Red Samourai:
    Ce qu'on sait de la division KAMI est pleine de trous, mais on est sur qu'elle existe. Ce qui existe sous le nom de code de Red Samourai est encore plus flou. A peine quelques rumeurs circulant parmi ceux qui en savent vraiment beaucoup et qui par conséquent, ne disent jamais rien.
    Le Red Samourai est l'ultime vestige du gouvernement responsable de la terreur. Une unité d'élite spécialement équipé et entrainé pour liquider des porteurs d'alter. Parce que oui, bien sur, il y a les héros des agences qui sont gentils et sauvent le monde. Mais il y a toujours eu au gouvernement des gens qui se souviennent qu'a l'époque, ces gentils héros ont quand même démoli le gouvernement légitime. Bien sur, ces gars la étaient des salauds coupables des pires crimes. Mais en attendant ils étaient quand même au pouvoir !

    Possibilités d'intervention :
    Aucune information.

    Équipement et entrainement :
    Aucune information.


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